RWE: résiste bien à une dégradation d'analyste.
Actualité publiée le 22/08/11 12:53
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(CercleFinance.com) - En hausse de 0,6% à 25,3 euros, RWE résiste bien à la dégradation d'opinion de Crédit Suisse de 'surperformance' à 'neutre', avec un objectif de cours de 47 à 31 euros, à la suite des résultats semestriels et d'annonces du groupe énergétique allemand sur son capital.
Étant donné l'environnement actuel défavorable pour la valorisation des actifs, l'analyste craint que le programme de cession du groupe, destiné à protéger sa note de crédit AAA, entraîne des effets de dilution excessifs sur la valeur et les résultats. Il juge possible un effet dilutif de 25% sur le bénéfice par action 2013, ce qui ramènerait le dividende par action de RWE à 1,6 euro.
'Jusqu'à ce que le marché ait de la visibilité quant au calendrier et aux conditions des cessions d'actifs et des émissions de titres, nous pensons que l'action restera valorisée sur la base - défavorable - des attentes en termes de résultats à court terme et de rendement de dividende', estime le bureau d'études.
Par ailleurs, Crédit Suisse considère que le risque de récession et l'affaiblissement récent de la demande en électricité en Europe font peser des menaces sur ses hypothèses toujours positives de prix de l'électricité en Europe centrale.
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Étant donné l'environnement actuel défavorable pour la valorisation des actifs, l'analyste craint que le programme de cession du groupe, destiné à protéger sa note de crédit AAA, entraîne des effets de dilution excessifs sur la valeur et les résultats. Il juge possible un effet dilutif de 25% sur le bénéfice par action 2013, ce qui ramènerait le dividende par action de RWE à 1,6 euro.
'Jusqu'à ce que le marché ait de la visibilité quant au calendrier et aux conditions des cessions d'actifs et des émissions de titres, nous pensons que l'action restera valorisée sur la base - défavorable - des attentes en termes de résultats à court terme et de rendement de dividende', estime le bureau d'études.
Par ailleurs, Crédit Suisse considère que le risque de récession et l'affaiblissement récent de la demande en électricité en Europe font peser des menaces sur ses hypothèses toujours positives de prix de l'électricité en Europe centrale.
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