Safran: nouvelles rumeurs de rapprochement avec SNPE.
Actualité publiée le 17/10/08 11:29
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(CercleFinance.com) - Dans le cadre de la recomposition de l'industrie de l'armement française, Safran pourrait mettre la main sur les activités de défense du groupe SNPE (Société nationale des poudres et des explosifs).
La privatisation de la SNPE serait en tout cas à l'ordre du jour, selon le journal Les Echos, qui croit savoir de sources concordantes qu'un article de la prochaine loi de programmation militaire prévoit le passage dans le secteur privé du groupe de chimie.
Le texte aurait d'ores et déjà été validé par l'Elysée. Il devrait être adopté en Conseil des ministres le 29 octobre et un décret devrait suivre.
L'objectif serait de constituer un pôle français dans la propulsion nucléaire (missiles balistiques) et spatiale (lanceurs spatiaux Ariane).
Concrètement, ce mariage entre Safran et SNPE passerait par une fusion de Snecma Propulsion Solide, filiale à 100% de Safran, avec SNPE Matériaux Energétiques, société détenue à 100% par SNPE, précise le quotidien financier.
De son côté, la branche chimie civile de SNPE pourrait tomber pour l'essentiel dans le giron de Nexter (ex-Giat Industries) qui pourrait notamment prendre possession des 60% de la SNPE dans Eurenco, son fournisseur de poudres et explosifs en cours de recapitalisation.
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La privatisation de la SNPE serait en tout cas à l'ordre du jour, selon le journal Les Echos, qui croit savoir de sources concordantes qu'un article de la prochaine loi de programmation militaire prévoit le passage dans le secteur privé du groupe de chimie.
Le texte aurait d'ores et déjà été validé par l'Elysée. Il devrait être adopté en Conseil des ministres le 29 octobre et un décret devrait suivre.
L'objectif serait de constituer un pôle français dans la propulsion nucléaire (missiles balistiques) et spatiale (lanceurs spatiaux Ariane).
Concrètement, ce mariage entre Safran et SNPE passerait par une fusion de Snecma Propulsion Solide, filiale à 100% de Safran, avec SNPE Matériaux Energétiques, société détenue à 100% par SNPE, précise le quotidien financier.
De son côté, la branche chimie civile de SNPE pourrait tomber pour l'essentiel dans le giron de Nexter (ex-Giat Industries) qui pourrait notamment prendre possession des 60% de la SNPE dans Eurenco, son fournisseur de poudres et explosifs en cours de recapitalisation.
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