Safran: valeur préférée d'un analyste, le titre progresse.
Actualité publiée le 16/01/13 10:20
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(CercleFinance.com) - L'action Safran signe l'une des plus fortes progressions de l'indice SBF 120 mercredi à la Bourse de Paris, la valeur étant la préférée de Crédit Suisse au sein du secteur de la motorisation aéronautique.
Vers 10h15, le titre ralentit quelque peu son allure et ne prend plus que 0,6% à 33 euros, contre une perte de 0,2% pour le SBF 120.
'Nous considérons Safran comme la meilleure façon de jouer le marché des pièces de rechange en 2013 compte tenu de l'exposition dominante du groupe à la flotte jeune et diversifiée de moteurs CFM56 pour fuselage étroit', explique Crédit Suisse.
Le bureau d'études - qui affiche une opinion 'surperformance' sur le titre en fait sa 'valeur préférée' au sein du secteur et l'ajoute à sa 'Focus List' avec un objectif de cours relevé de 33 à 39 euros.
Pour Crédit Suisse, le marché de la motorisation devrait connaître une croissance moyenne annuelle de 21% sur la période 2013/2014.
Les analystes ajoutent que malgré un risque amoindri en termes de fusions et acquisitions (M&A), le titre continue de se traiter sur la base d'une décote par rapport aux autres acteurs du secteur.
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Vers 10h15, le titre ralentit quelque peu son allure et ne prend plus que 0,6% à 33 euros, contre une perte de 0,2% pour le SBF 120.
'Nous considérons Safran comme la meilleure façon de jouer le marché des pièces de rechange en 2013 compte tenu de l'exposition dominante du groupe à la flotte jeune et diversifiée de moteurs CFM56 pour fuselage étroit', explique Crédit Suisse.
Le bureau d'études - qui affiche une opinion 'surperformance' sur le titre en fait sa 'valeur préférée' au sein du secteur et l'ajoute à sa 'Focus List' avec un objectif de cours relevé de 33 à 39 euros.
Pour Crédit Suisse, le marché de la motorisation devrait connaître une croissance moyenne annuelle de 21% sur la période 2013/2014.
Les analystes ajoutent que malgré un risque amoindri en termes de fusions et acquisitions (M&A), le titre continue de se traiter sur la base d'une décote par rapport aux autres acteurs du secteur.
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