Schneider Electric: dans un no man's land, selon UBS.
Actualité publiée le 30/07/15 12:44
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(CercleFinance.com) - Les analystes d'UBS ne sont toujours pas emballés par Schneider Electric, qui a abaissé ses prévisions annuelles de croissance lors de la présentation de ses comptes semestrielles. Tout en maintenant leur conseil neutre sur la valeur, les spécialistes ajustent leur objectif de cours en baisse de 65 à 62 euros.
A la Bourse de Paris, l'action Schneider Electric se tasse de 0,2% à 62,6 euros.
La baisse des prévisions du management en termes de CA s'explique par l'exposition du groupe à la Chine (15% du CA, sans doute davantage des bénéfices, estiment les spécialistes), où un ralentissement est en cours, ainsi qu'au secteur pétro-gazier étrillé par la chute du brut.
Conséquence logique, la dégradation des prévisions d'UBS pour 2015 s'explique essentiellement aux divisions Industry et IT, ainsi que de charges pour restructurations plus importantes que prévu. Les analystes se montrent plus pessimistes que l'ensemble du marché sur le segment Industry, et leurs prévisions de résultats se retrouvent de ce fait sous le consensus.
'De notre point de vue, Schneider se trouve pour le moment coincé dans un no man's land', estiment les analystes, qui sont à l'achat sur Legrand, Siemens, Hexagon et Krones, jugés plus attractifs, mais à la vente sur ABB, Kone ou Sandvik.
Cependant, 'après 14 trimestres de croissance organique nulle ou négative en Europe, Schneider est cependant parvenu à afficher une hausse de 2% au 2e trimestre', notent les spécialistes, ce qui prévient d'un conseil plus négatif.
Copyright © 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
A la Bourse de Paris, l'action Schneider Electric se tasse de 0,2% à 62,6 euros.
La baisse des prévisions du management en termes de CA s'explique par l'exposition du groupe à la Chine (15% du CA, sans doute davantage des bénéfices, estiment les spécialistes), où un ralentissement est en cours, ainsi qu'au secteur pétro-gazier étrillé par la chute du brut.
Conséquence logique, la dégradation des prévisions d'UBS pour 2015 s'explique essentiellement aux divisions Industry et IT, ainsi que de charges pour restructurations plus importantes que prévu. Les analystes se montrent plus pessimistes que l'ensemble du marché sur le segment Industry, et leurs prévisions de résultats se retrouvent de ce fait sous le consensus.
'De notre point de vue, Schneider se trouve pour le moment coincé dans un no man's land', estiment les analystes, qui sont à l'achat sur Legrand, Siemens, Hexagon et Krones, jugés plus attractifs, mais à la vente sur ABB, Kone ou Sandvik.
Cependant, 'après 14 trimestres de croissance organique nulle ou négative en Europe, Schneider est cependant parvenu à afficher une hausse de 2% au 2e trimestre', notent les spécialistes, ce qui prévient d'un conseil plus négatif.
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