Schneider Electric: Jefferies dégrade à 'sous-performance'.
Actualité publiée le 18/12/15 15:36
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(CercleFinance.com) - Jefferies a ramené vendredi son opinion sur Schneider Electric de 'conserver' à 'sous-performance' avec un objectif de cours réduit de 55 à 45 euros.
'Après la réalisation de pas loin de 19 milliards d'euros d'acquisitions, nous pensons que Schneider est devenu un bon indicateur pour jauger la santé de la production industrielle, avec une exposition pire que la moyenne du marché et des pressions à la baisse sur ses marges', explique le broker américain.
Jefferies met en évidence l'exposition du spécialiste des automatismes industriels à la Chine (15% de l'activité), au secteur pétrolier et gazier (7%) ainsi qu'à la Russie (3%).
Dans cet environnement de faible croissance, le courtier s'attend à ce que le chiffre d'affaires de Schneider stagne en 2016 avant de rebondir modestement en 2017.
Jefferies ajoute qu'il ne serait pas surpris que Schneider reprenne ses acquisitions mais souligne que pour que ses emplettes aient un réel impact, il faudrait qu'elles concernent de grands groupes évoluant à des multiples de valorisation suéprieures aux siens, rendant difficile le processus de création de valeur.
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Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
'Après la réalisation de pas loin de 19 milliards d'euros d'acquisitions, nous pensons que Schneider est devenu un bon indicateur pour jauger la santé de la production industrielle, avec une exposition pire que la moyenne du marché et des pressions à la baisse sur ses marges', explique le broker américain.
Jefferies met en évidence l'exposition du spécialiste des automatismes industriels à la Chine (15% de l'activité), au secteur pétrolier et gazier (7%) ainsi qu'à la Russie (3%).
Dans cet environnement de faible croissance, le courtier s'attend à ce que le chiffre d'affaires de Schneider stagne en 2016 avant de rebondir modestement en 2017.
Jefferies ajoute qu'il ne serait pas surpris que Schneider reprenne ses acquisitions mais souligne que pour que ses emplettes aient un réel impact, il faudrait qu'elles concernent de grands groupes évoluant à des multiples de valorisation suéprieures aux siens, rendant difficile le processus de création de valeur.
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