Scor: Bryan Garnier reste à 'achat', abaisse sa cible.
Actualité publiée le 08/09/16 09:38
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(CercleFinance.com) - Bryan Garnier réaffirme sa recommandation 'achat' sur Scor, mais abaisse sa valeur intrinsèque ('fair value') de 38 à 35 euros dans le sillage d'estimations abaissées de 5% en moyenne, au lendemain du plan stratégique 2016-2019 'Vision in Action'.
Le broker juge les objectifs de ce plan atteignables, en particulier celui sur la solvabilité, tandis que celui de retour sur capitaux propres (RoE) dépendra selon lui des pressions auxquelles devra faire face le rendement des investissements.
'Nous pensons que l'entreprise en est pleinement consciente, puisqu'elle a décidé d'appliquer une stratégie d'investissement plus normalisée, moins réfractaire au risque (moins de cash, duration plus longue, profil de risque un peu plus élevé sur les obligations)', juge-t-il.
S'il reconnait que 'la dynamique à court terme n'est pas excitante (ce qui n'est pas seulement un problème pour Scor)', Bryan Garnier estime que les fondamentaux demeurent très solides et que le secteur de la réassurance offre encore des moteurs de croissance.
Copyright © 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Le broker juge les objectifs de ce plan atteignables, en particulier celui sur la solvabilité, tandis que celui de retour sur capitaux propres (RoE) dépendra selon lui des pressions auxquelles devra faire face le rendement des investissements.
'Nous pensons que l'entreprise en est pleinement consciente, puisqu'elle a décidé d'appliquer une stratégie d'investissement plus normalisée, moins réfractaire au risque (moins de cash, duration plus longue, profil de risque un peu plus élevé sur les obligations)', juge-t-il.
S'il reconnait que 'la dynamique à court terme n'est pas excitante (ce qui n'est pas seulement un problème pour Scor)', Bryan Garnier estime que les fondamentaux demeurent très solides et que le secteur de la réassurance offre encore des moteurs de croissance.
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