Scor: se rapproche des 18 E, un analyste est à l'achat.
Actualité publiée le 06/01/12 16:42
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(CercleFinance.com) - Le titre Scor se rapproche des 18 E avec un gain de près de 1% soutenu par une analyse positive de Bryan Garnier. Le bureau d'analyse est 'achat' sur le titre avec une 'fair value' à 22 euros, mettant en avant 'un track record convaincant', et des potentiels de croissance de l'activité et de hausse du titre.
S'il note que 'l'année 2011 restera dans les annales' pour le secteur, en termes de pertes économiques liées aux catastrophes naturelles, l'analyste considère que 'la crise financière crée des opportunités'.
'Le stress de solvabilité qui touche certains assureurs primaires constitue une opportunité pour les réassureurs, dans la mesure où il laisse entrevoir une baisse des taux de rétention des cédantes, synonyme de davantage de volumes pour les réassureurs, et où il est de nature à soutenir la fermeté des prix', explique-t-il.
'Historiquement, les périodes de hausse de prix dans la réassurance font suite à un choc majeur, qu'il soit assurantiel (sinistralité) ou financier (dépréciation d'actifs)', souligne Bryan Garnier.
Par ailleurs, l'analyste juge que les réassureurs présentent un niveau de sécurité supérieur à celui des assureurs primaires en termes de structure d'actifs, avec notamment une faible exposition aux dettes souveraines européennes sensibles et aux actions.
Copyright © 2012 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
S'il note que 'l'année 2011 restera dans les annales' pour le secteur, en termes de pertes économiques liées aux catastrophes naturelles, l'analyste considère que 'la crise financière crée des opportunités'.
'Le stress de solvabilité qui touche certains assureurs primaires constitue une opportunité pour les réassureurs, dans la mesure où il laisse entrevoir une baisse des taux de rétention des cédantes, synonyme de davantage de volumes pour les réassureurs, et où il est de nature à soutenir la fermeté des prix', explique-t-il.
'Historiquement, les périodes de hausse de prix dans la réassurance font suite à un choc majeur, qu'il soit assurantiel (sinistralité) ou financier (dépréciation d'actifs)', souligne Bryan Garnier.
Par ailleurs, l'analyste juge que les réassureurs présentent un niveau de sécurité supérieur à celui des assureurs primaires en termes de structure d'actifs, avec notamment une faible exposition aux dettes souveraines européennes sensibles et aux actions.
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