Statoil: abandon au Canada, découverte en mer de Barents.
Actualité publiée le 26/09/14 10:18
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(CercleFinance.com) - Statoil a annoncé le report d'au moins trois ans du développement du champ de Corner qui, situé dans l'Etat canadien de l'Alberta, dépend du projet de sables bitumineux Kai Kos Dehseh.
Patron de la major pétrolière norvégienne pour le Canada, Ståle Tungesvik annoncé qu''à ce stade, le projet n'irait pas plus loin'. Raisons invoquées : des coûts du travail et des équipements en hausse, et un accès difficile au marché puisque l'Alberta est relativement peu desservi par des oléoducs.
En conséquence, l'effectif affecté au projet Corner sera réduit d'environ 70 employés.
Par ailleurs, la major pétrolière norvégienne a fait part d'une découverte de gaz dans le cadre du gisement offshore Pingvin (licence d'exploration PL713), situé au nord de la Norvège, en mer de Barents.
La quantité de gaz découverte serait comprise entre 30 et 120 millions de barils d'équivalent-pétrole. Elle est jugée sans intérêt commercial à ce stade, mais il s'agit cependant d'un signe encourageant puisqu'elle est intervenue dès le forage du premier puits dans cette zone inexplorée. Les études géologiques indiquent par ailleurs que le sous-sol renferme des hydrocrabures et des sables bitumeux.
Statoil est l'opérateur de ce projet, dont il détient 40%.
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Patron de la major pétrolière norvégienne pour le Canada, Ståle Tungesvik annoncé qu''à ce stade, le projet n'irait pas plus loin'. Raisons invoquées : des coûts du travail et des équipements en hausse, et un accès difficile au marché puisque l'Alberta est relativement peu desservi par des oléoducs.
En conséquence, l'effectif affecté au projet Corner sera réduit d'environ 70 employés.
Par ailleurs, la major pétrolière norvégienne a fait part d'une découverte de gaz dans le cadre du gisement offshore Pingvin (licence d'exploration PL713), situé au nord de la Norvège, en mer de Barents.
La quantité de gaz découverte serait comprise entre 30 et 120 millions de barils d'équivalent-pétrole. Elle est jugée sans intérêt commercial à ce stade, mais il s'agit cependant d'un signe encourageant puisqu'elle est intervenue dès le forage du premier puits dans cette zone inexplorée. Les études géologiques indiquent par ailleurs que le sous-sol renferme des hydrocrabures et des sables bitumeux.
Statoil est l'opérateur de ce projet, dont il détient 40%.
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