STMicroelectronics:s'envole, l'Etat rachète 2,85% du capital
Actualité publiée le 27/02/08 09:10
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(Cercle Finance) - L'Etat a annoncé le rachat de 2,85% du capital de STMicroelectronics auprès de Finmeccanica, par l'intermédiaire du CEA. Le montant total de la transaction est d'environ 260 millions d'euros (soit 10 euros par action). L'Elysée indique que ce rachat vise à équilibrer les participations françaises et italiennes au capital du fabricant de semi conducteur qui se situent désormais au même niveau, à près de 13,75%.
L'accord prévoit en outre un éventuel complément de prix égal à 40% de l'écart, s'il est positif, entre la moyenne du cours de bourse (pondéré sur trois mois) dans un an et le prix d'achat de 10 euros (dans la limite de 4 euros par action).
L'Etat souligne que suite à la sortie de France Télécom en 2005 et jusqu'à aujourd'hui, les parties française et italienne détenaient respectivement environ 10,9% et 16,6% du capital de STM, soit un total de 27,5% du capital de STM, mais des droits équivalents en matière de gouvernance en vertu du pacte d'actionnaires. Ainsi, pour que la partie française conserve ses droits en matière de gouvernance sur STMicroelectronics à compter du 4ème anniversaire du pacte d'actionnaires, c'est-à-dire après le 17 mars 2008, il était nécessaire que sa participation au capital de STM revienne au niveau de celle de la partie italienne avant cette date.
STMicroelectronics signe laplus forte hausse des valeurs du CAC 40 et gagne 3,7% à l'ouverture.
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L'accord prévoit en outre un éventuel complément de prix égal à 40% de l'écart, s'il est positif, entre la moyenne du cours de bourse (pondéré sur trois mois) dans un an et le prix d'achat de 10 euros (dans la limite de 4 euros par action).
L'Etat souligne que suite à la sortie de France Télécom en 2005 et jusqu'à aujourd'hui, les parties française et italienne détenaient respectivement environ 10,9% et 16,6% du capital de STM, soit un total de 27,5% du capital de STM, mais des droits équivalents en matière de gouvernance en vertu du pacte d'actionnaires. Ainsi, pour que la partie française conserve ses droits en matière de gouvernance sur STMicroelectronics à compter du 4ème anniversaire du pacte d'actionnaires, c'est-à-dire après le 17 mars 2008, il était nécessaire que sa participation au capital de STM revienne au niveau de celle de la partie italienne avant cette date.
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