Tesco: dévisse sur un point d'activité décevant.
Actualité publiée le 08/12/11 12:05
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(CercleFinance.com) - Tesco dévisse de 1,2% à 392 pence à Londres, sanctionné après son point d'activité pour le trimestre clos le 26 septembre dernier, marqué par une quasi-stagnation des ventes en données sous-jacentes.
Le géant britannique de la distribution a fait part d'une croissance de 7,2% de son chiffre d'affaires sur la période, mais hors essence et effets de changes et de périmètre, les ventes n'ont augmenté que de 0,4%.
'Ces chiffres sont inférieurs à la tendance constatée au deuxième trimestre (+10% et 0,9% en données comparables) et légèrement inférieurs au consensus (8%)', note Aurel BGC, qui confirme une opinion 'vendre' et un objectif de cours de 360 pence sur Tesco.
En données sous-jacentes, les ventes ont été tirées par l'international (+1,1%), en particulier les Etats-Unis (+11,9%), alors que les ventes sur son marché domestique sont restées pratiquement atones (+0,1%).
'Nous pensons que la stratégie menée par les distributeurs traditionnels au Royaume Uni, en l'absence de gain de part de marché significatif, va se traduire par une pression accrue sur les marges, compensée en partie seulement par le succès des marques distributeur', prévient Aurel BGC.
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Le géant britannique de la distribution a fait part d'une croissance de 7,2% de son chiffre d'affaires sur la période, mais hors essence et effets de changes et de périmètre, les ventes n'ont augmenté que de 0,4%.
'Ces chiffres sont inférieurs à la tendance constatée au deuxième trimestre (+10% et 0,9% en données comparables) et légèrement inférieurs au consensus (8%)', note Aurel BGC, qui confirme une opinion 'vendre' et un objectif de cours de 360 pence sur Tesco.
En données sous-jacentes, les ventes ont été tirées par l'international (+1,1%), en particulier les Etats-Unis (+11,9%), alors que les ventes sur son marché domestique sont restées pratiquement atones (+0,1%).
'Nous pensons que la stratégie menée par les distributeurs traditionnels au Royaume Uni, en l'absence de gain de part de marché significatif, va se traduire par une pression accrue sur les marges, compensée en partie seulement par le succès des marques distributeur', prévient Aurel BGC.
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