Vinci: pourrait s'intéresser à Abertis Airports.
Actualité publiée le 20/02/13 11:11
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(CercleFinance.com) - Vinci apparaîtrait comme un candidat potentiel pour l'acquisition d'Abertis Airports, que le groupe espagnol d'infrastructures pourrait céder, selon un article de l'Agefi repris par Aurel BGC.
Il rappelle que cette activité est en grande partie issue de l'acquisition de TBI en 2008, dont le principal actif est Luton et Dublin, et que son portefeuille contient aussi des actifs sud-américains. Abertis Airports a généré 93 millions d'euros d'EBITDA en 2012, soit un peu moins de 30% du CA de 319 millions.
'A notre connaissance, concernant la partie britannique, les aéroports sont non-régulés. Cela offre, concernant les redevances aéroportuaires, plus de flexibilité à la hausse lorsque la conjoncture économique le permet, mais c'est un système moins protecteur quand le trafic est sous pression', note Aurel BGC.
Le bureau d'études souligne que le groupe de construction concession veut continuer à se déployer dans l'activité aéroportuaire, mais que sur le court terme, il doit digérer l'acquisition d'ANA (3,1 milliards d'euros).
'Une fois finalisée, tout est possible naturellement mais d'une part Vinci ciblera les aéroports bénéficiant de 'contrat de régulations sains', sans trop d'investissements à prendre en charge et situés dans des pays 'toniques'; et d'autre part Vinci pourrait choisir de ne pas y aller seul', estime-t-il.
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Il rappelle que cette activité est en grande partie issue de l'acquisition de TBI en 2008, dont le principal actif est Luton et Dublin, et que son portefeuille contient aussi des actifs sud-américains. Abertis Airports a généré 93 millions d'euros d'EBITDA en 2012, soit un peu moins de 30% du CA de 319 millions.
'A notre connaissance, concernant la partie britannique, les aéroports sont non-régulés. Cela offre, concernant les redevances aéroportuaires, plus de flexibilité à la hausse lorsque la conjoncture économique le permet, mais c'est un système moins protecteur quand le trafic est sous pression', note Aurel BGC.
Le bureau d'études souligne que le groupe de construction concession veut continuer à se déployer dans l'activité aéroportuaire, mais que sur le court terme, il doit digérer l'acquisition d'ANA (3,1 milliards d'euros).
'Une fois finalisée, tout est possible naturellement mais d'une part Vinci ciblera les aéroports bénéficiant de 'contrat de régulations sains', sans trop d'investissements à prendre en charge et situés dans des pays 'toniques'; et d'autre part Vinci pourrait choisir de ne pas y aller seul', estime-t-il.
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