Vinci: voudrait une rallonge pour la LGV Tours-Bordeaux.
Actualité publiée le 13/04/11 11:22
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(CercleFinance.com) - Vinci aurait demandé à Réseau Férré de France une rallonge de 60 millions d'euros pour le financement de la ligne de TGV Tours-Bordeaux, selon les informations du Figaro.
Le groupe de construction concession souhaiterait donc révisé le prix du contrat, d'un montant initial de 7,2 milliards d'euros, invoquant l'augmentation du coût des matières premières.
Le journal explique qu'un contrat de concession définitif n'a toujours pas été paraphé alors qu'il devait être signé fin février.
D'après Le Figaro, Vinci n'a pas encore bouclé le financement bancaire de l'opération, et l'État n'a pas finalisé la contribution des 57 collectivités territoriales qui devaient apporter 1,5 milliard d'euros, un montant dont il manquerait 200 millions.
'Si le financement de la Ligne Grand Vitesse pourrait selon nous encore faire couler de l'encre, nous pensons que ce projet devrait toutefois aboutir', estime Aurel-BGC.
'Ce grand projet constitue un élément important destiné à relancer le secteur des infrastructures et soutenir les emplois dans le BTP en France', souligne l'analyste qui juge l'augmentation de prix 'parfaitement justifiée'.
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Le groupe de construction concession souhaiterait donc révisé le prix du contrat, d'un montant initial de 7,2 milliards d'euros, invoquant l'augmentation du coût des matières premières.
Le journal explique qu'un contrat de concession définitif n'a toujours pas été paraphé alors qu'il devait être signé fin février.
D'après Le Figaro, Vinci n'a pas encore bouclé le financement bancaire de l'opération, et l'État n'a pas finalisé la contribution des 57 collectivités territoriales qui devaient apporter 1,5 milliard d'euros, un montant dont il manquerait 200 millions.
'Si le financement de la Ligne Grand Vitesse pourrait selon nous encore faire couler de l'encre, nous pensons que ce projet devrait toutefois aboutir', estime Aurel-BGC.
'Ce grand projet constitue un élément important destiné à relancer le secteur des infrastructures et soutenir les emplois dans le BTP en France', souligne l'analyste qui juge l'augmentation de prix 'parfaitement justifiée'.
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