Vivendi: la vente de GVT relancée ?
Actualité publiée le 04/08/14 11:15
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(CercleFinance.com) - Vivendi souhaite toujours vendre sa filiale brésilienne de télécoms GVT et pourrait cette fois y parvenir. Si l'on en croit le quotidien La Repubblica, des discussions pourraient débuter entre le groupe français et Telefonica, qui aurait démarché des banques en vue d'une offre de reprise.
'Cette décision du groupe espagnol serait une réaction à une autre rumeur, qui circulait la semaine dernière et évoquait un rapprochement possible entre Telecom Italia et GVT au Brésil', a commenté Aurel BGC.
Telefonica et Telecom Italia, deux des poids lourds du secteur des télécommunications en Europe méridionale, opèrent déjà au Brésil (sous la marque 'Vivo' pour le premier et sous celle de 'TIM' pour le second) et pourraient donc s'affronter pour acquérir l'actif de Vivendi, en vente depuis de longs mois.
En décembre dernier, les négociations entre GVT et EchoStar pour la création d'une co-entreprise dans la télévision payante au Brésil avaient échoué. Plus tôt dans l'année, DirecTV, à l'époque seul candidat officiel au rachat de cet actif, avait jeté l'éponge.
Quant à Telecom Italia, il avait fin 2012 décidé de ne pas proposer d'offre pour le rachat de GVT en raison du prix demandé, d'au moins sept milliards d'euros.
Qui sait s'il n'a pas changé d'avis depuis...
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'Cette décision du groupe espagnol serait une réaction à une autre rumeur, qui circulait la semaine dernière et évoquait un rapprochement possible entre Telecom Italia et GVT au Brésil', a commenté Aurel BGC.
Telefonica et Telecom Italia, deux des poids lourds du secteur des télécommunications en Europe méridionale, opèrent déjà au Brésil (sous la marque 'Vivo' pour le premier et sous celle de 'TIM' pour le second) et pourraient donc s'affronter pour acquérir l'actif de Vivendi, en vente depuis de longs mois.
En décembre dernier, les négociations entre GVT et EchoStar pour la création d'une co-entreprise dans la télévision payante au Brésil avaient échoué. Plus tôt dans l'année, DirecTV, à l'époque seul candidat officiel au rachat de cet actif, avait jeté l'éponge.
Quant à Telecom Italia, il avait fin 2012 décidé de ne pas proposer d'offre pour le rachat de GVT en raison du prix demandé, d'au moins sept milliards d'euros.
Qui sait s'il n'a pas changé d'avis depuis...
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