
L'analyste souligne que l'action n'a surperformé l'indice des banques européennes que de 6% depuis ses résultats trimestriels, malgré l'annonce majeure que les règles de Bâle III ne seraient mises en application qu'en 2018, ce qui éloigne le risque d'une augmentation de capital au moyen ou au long terme.
'Bien que le groupe sera moins capitalisé que ses pairs, il ne devrait plus avoir de déficit en capitaux réglementaires' note Crédit Suisse, ajoutant que la forte présence de Crédit Agricole en Grèce ne constitue plus désormais qu'un problème secondaire, étant donnée sa meilleure solvabilité.
Le bureau d'études juge l'action Crédit Agricole indument pénalisée, à 5,15 fois ses résultats attendus pour 2012 contre des ratios de 6,2 pour ses pairs français et de 7,9 pour les banques européennes.
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