Orpea: discussions reprises avec la CDC et des créanciers

Une société de la Couronne au cœur d’un scandale en France
Les retraités français des EHPAD, finance les retraités canadiens

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1858352/orpea-scandale-france-bourse-office-investissement-regime-pension-canada
Rendements solides pour l’OIRPC
L’Office d’investissement du Régime de pensions du Canada (OIRPC) a enregistré une hausse de 6,8 % lors de son exercice 2022, achevé le 31 mars.
Le gestionnaire de fonds bénéficie de rendements importants dans ses placements en actions de sociétés fermées, en infrastructures, en biens immobiliers et en instruments de crédit.
L’actif net de l’OIRPC est en hausse de 6,8 % sur l’ensemble de son exercice 2022 clos le 31 mars, malgré une perte de 2,9 % au cours du dernier trimestre. Cette augmentation lui permet d’afficher un actif net de 539 milliards de dollars, comparativement à 497 milliards de dollars un an plus tôt. L’exercice 2022 a donc apporté 42 milliards de dollars supplémentaires à l’actif net de l’OIRPC, soit un bénéfice net de 34 milliards de dollars et des transferts nets du Régime de pensions du Canada (RPC) de 8 milliards de dollars.
La caisse établit un rendement net annualisé de 10,0 % sur les cinq derniers exercices, et de 10,8 % sur les dix derniers.
Ces performances sont attribuables aux rendements obtenus en actions de sociétés fermées, en infrastructures, en biens immobiliers et en instruments de crédit. « « Investissements RPC a généré de solides rendements au cours de l’exercice 2022, malgré des conditions de marché turbulentes dans la foulée de la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine, des perturbations de la chaîne d’approvisionnement causées par la pandémie et de la hausse de l’inflation », explique John Graham, président et chef de la direction, par communiqué. « Notre rendement sur dix exercices de près de 11 %, soit un résultat stable par rapport à la fin du dernier exercice financier, témoigne de la croissance durable de la caisse sur le long terme, d’une part, et de sa résilience constante en période d’incertitude, d’autre part. »
Les trois derniers mois de l’exercice ont vu le rendement tomber dans le négatif, perdant 2,9 %, en raison de la volatilité des actions de sociétés ouvertes. L’appréciation du dollar canadien a également freiné le rendement, avec une perte de change de 4 milliards de dollars.

https://www.avantages.ca/placements/non-traditionnels/rendements-solides-pour-loirpc/

Le dernier scandale d’état, comme aux grands heurs glorieux, de la barbouzerie d’état.

Bon, le sujet, ce sont les retraités français en EHPAD, nos élus, veulent nous vendre les bienfaits de la réforme des retraites. Ils veulent quoi, nous envoyer en EHPAD, au prix fort. Pour aider les retraités canadiens.

La caisse de retraite RSI, (anciennement AVA et ORGANIC), n’existe plus, l’organisme a fusionné avec le régime général (pas belle la vie). Coulez un organisme en silence, aucun élut, aucun syndicat, ne semble s’émouvoir des conséquences du projet, expliquez-moi, hier la gestion des retraites du privé, n'a pas fait l’objet d’enquêtes parlementaires, nous faire croire que la gestion serait exemplaire demain, apprêt avoir coulé les précédentes dans la passée.

LES FOSSOYEURS

Trois ans d'investigation, 250 témoins, le courage d'une poignée de lanceurs d'alerte, des dizaines de documents explosifs, plusieurs personnalités impliquées... pour révéler les dessous du groupe Orpéa, leader mondial des Ehpad et des cliniques. Personnes âgées maltraitées, salariés malmenés, acrobaties comptables, argent public dilapidé... Nous sommes tous concernés. Ce récit haletant et émouvant a mis au jour de multiples dérives et révélé un vaste réseau d'influence, bien loin du dévouement des équipes d'aidants et de..

en complément pour l'ambiance

https://flipbook.cantook.net/?d=%2F%2Fwww.edenlivres.fr%2Fflipbook%2Fpublications%2F777665.js&oid=2326&c=&m=&l=&r=&f=pdf

Il fut un temps, pas si lointain, où vivaient sous le même toit TROIS générations ; grands-parents, parents et enfants dans une harmonie pas toujours évidente mais qui faisaient blocs.

Le niveau de vie augmentant est arrivée l’air de l’INDEPENDANCE. Les aïeux voulaient voyager, être libres de ne pas devoir à longueur de journée supporter un gendre ou une belle-fille pénibles, des ados bruyants et insatisfaits, avoir des petits-enfants exigeants dans leurs pattes ; de leur côté les parents étaient ravis du départ de ces “vieux” pas toujours faciles et qui en fin de vie devenaient une charge insupportable les privant de toute ou partie de leurs désirs personnels. Les enfants devenus “étudiants” quittent le domicile parental pour pouvoir enfin “vivre leur jeunesse” mais souvent très vite rattrapés par des problèmes financiers qu’ils jugent scandaleux. Problèmes dont ils n’avaient cure quand papa et maman subvenaient (ce qui est normal) à tout ou presque pour eux.

Bref avide de cette liberté chérie depuis le début des années 1970 se transforma et se développa, ce que pudiquement on appelait au préalable les “hospices pour vieux” :

“LA MAISON DE RETRAITE”. Magnifique et trompeuse opportunité de régler notre problème.

Bien sûr très vite cela devint un business et comme tout business il fallait que le rendement soit “juteux”. Alors quelques organismes privés occupèrent le terrain et peu importe si pour un meilleur résultat comptable papi ou mamie restaient dans leur crotte, si la douche était presque “facultative”, si le budget des repas revus à la baisse.

On vient quand on a le temps voir pépé ou mémé, oh pas toutes les semaines car “on n’a pas que ça à faire” et puis “ils sont bien là”, “on s’occupe bien d’eux”, etc, etc…Tout le monde était satisfait sauf peut-être quelques vieux pas encore assez séniles pour ne pas se rendre compte de la misère morale de ces lieux tristes où quelques cris de détresse parfois résonnent sans réponse.

Et voilà qu’un jour un livre déclenche tout et plus moyen de faire semblant. Merde on est démasqué. Tous ces petits détails négatifs que les familles avaient bien sûr remarqués mais qu’on préférait pour notre confort moral ne pas voir étalés, voilà qu’ils éclatent au grand jour.

Alors zou tous y vont de leurs réflexions, de leur mécontentement, de leurs demandes, pourquoi pas, de dédommagements financiers pour “les souffrances et vexations” endurées pas grand-papa avant sa mort.

Le refrain général devient “c’est pas nous les responsables parce que nous nos parents on les aime. D’ailleurs si on avait pu on les aurait gardé à la maison ; mais vous comprenez pas assez de place, et puis il y a notre travail” bla bla bla dirait Greta.

Dans la vie rares sont les choses simples, ce qui nous permet de nous dédouaner à bon compte et de refuser d’admettre NOTRE responsabilité dans cette triste histoire.

Alors s’il vous plait n’en faisons pas trop sur notre indignation.