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Clariane : Chiffre d’affaires au 30 septembre 2023, Solide progression

Cours temps réel: 1,88  18,69%



LBWB LBWB
26/04/2024 12:49:49
0

UT 30


Tente un long vers 1,70

  
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LBWB LBWB
26/04/2024 10:59:38
0

Bonjour

franchissement oblique

les décomptes en cours

  
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gars d1 gars d1
08/03/2024 12:53:01
0

Sur le fil rouge baissier…

Je note que patiemment l'ogre "Crédit Agricole / Predica" attend tranquillement son heure et qu'on fait tout pour le faire patienter histoire qu'il n'ait pas le regretter.

Clariane sort donc du SBF 120 et encore donc un évènement favorable à "Crédit Agricole / Predica" qui va injecter les 2/3 des 300 md'€ de l'augmentation de capital.

La dilution promet d'être massive comme déjà annoncée, mais ça se précise. On est pas prêt de revoir les 2 Euros.

  
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gars d1 gars d1
08/03/2024 12:21:17
0

"à Tchao, bonsoir…" comme disait les guignol.

La sortie du SBF 120, ça va pas arranger les affaires pour ceux qui vont être dilués.


Je note : "Les annonces d'Euronext font plus de remous au sein du SBF 120. Clariane, Fnac Darty et Voltalia sont expulsés de l'indice et perdent respectivement 1,78% à 1,54 euro, 2,85% à 27,96 euros et 3,7% à 6,77 euros.

Ils sont remplacés par le cimentier Vicat (+0,28% à 35,30 euros) et le pétrolier Maurel & Prom (0,29% à 5,265 euros)."


https://www.abcbourse.com/marches/accor-remplace-alstom-au-sein-du-cac-40-fnac-darty-sort-du-sbf120_624167

  
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Rollier1 Rollier1
05/03/2024 20:27:23
0

Oui.

À la Générale des Eaux aussi. Les fontainiers faisaient 32 heures par semaine avant le passage aux 35 🙄

  
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Alioche Alioche
05/03/2024 19:51:23
1

Savez vous que les salariés d'EDF ont refusé les 35h ! ! !

Ben oui, ils font 28h30 en moyenne sur l'année, ....

Les artisans, beaucoup de cadres du privé, etc. font 70h par semaine, en effet.

Je les ai faits pendant 35 ans avant de lever un peu le pied (je ne faisais plus que 50h/sem)

  
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Rollier1 Rollier1
05/03/2024 19:40:44
1

Bah non, ce n’est pas normal. C’est pas moi qui dis le contraire 🙄


Même les Chinois ne font que 40 heures hebdomadaires 😊

  
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waine70 waine70
05/03/2024 17:56:40
0

Oui bien sûr.



Je tiens juste à souligner que ce n'est pas normal non plus.


Même si je délègue de plus en plus, j'aimerais, surtout l'hiver, travailler moins et profiter plus.


Mais bon, y a la mort pour ça ....

  
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Rollier1 Rollier1
05/03/2024 16:43:56
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Idem.

Tu n’es pas salarié.

Je me trompe ? 😊


« plébiscité par les retraités et pas par les salariés »

  
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waine70 waine70
05/03/2024 16:38:31
2

70 h/ semaine ?


C'est le tarif de mes heures en hivers. En été on passe à 100h/ semaine

  
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Rollier1 Rollier1
05/03/2024 16:16:33
0

Non, c’est illégal. Personne ne peut forcer à le faire.

Les libéraux ne sont pas des salariés.



  
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JCROIPLU JCROIPLU
05/03/2024 16:14:15
1

Les libéraux le font pour payer les fonctionnaires à 35 heures qui en plus ont un taux d’absentéisme anormalement élevé.

  
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Rollier1 Rollier1
05/03/2024 16:11:56
0

C’est illégal de faire 70 heures par semaine. Et depuis plus de 50 ans… 🙄

  
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JCROIPLU JCROIPLU
05/03/2024 16:08:32
0

Parce qu'on à fait 70 heures par semaine, donc on sait.

  
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Rollier1 Rollier1
05/03/2024 16:03:22
0

Très curieusement, l’abandon des 35 heures est plébiscité par les retraités et pas par les salariés. On sexe.ande bien pourquoi 🤔


Message complété le 05/03/2024 16:09:39 par son auteur.

*se demande

  
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JCROIPLU JCROIPLU
05/03/2024 15:54:37
1

Et les 35 heures sont à revoir me semble t-il.

Dans tous les secteurs la France coule.

  
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gars d1 gars d1
05/03/2024 15:32:34
1

Voilà encore qui donne vraiment une photo comptable objective des problème financiers des EHPAD...

Je cite : "«En moyenne, le déficit des établissements bretons tourne autour de 400 000 euros mais pour certains établissements, il atteint même le million», alerte Xavier Compain."

Si on multiplie les établissements au sein d'un même panier "comptable, on multiplie le déficit en exponentiel… C'est pas compliqué à comprendre.


Des maires bretons attaquent l'Etat en justice pour sauver leurs Ehpad

Las de voir les Ehpad souffrir financièrement, un collectif de maires bretons a décidé d’attaquer l’Etat en justice.
Le but de l’opération : que le secteur soit renfloué pour prendre soin correctement des personnes âgées dépendantes.


Publié le 19/01/2024

Les limites ont été dépassées. Xavier Compain, maire de Plouha dans les Côtes-d’Armor, s’inquiète de la situation des deux établissements pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) implantés sur son territoire. Hausse des coûts alimentaires, des factures énergétiques, manque de financement de la part des Agences régionales de santé (ARS) et des départements… mises bout à bout, ces difficultés ont porté le déficit des deux structures à près de 200 000 euros l’année dernière. «Cette année, la situation s’améliore un peu car nous avons mis en place des solutions comme la mutualisation de notre service lingerie, mais sur le long terme, ce n’est pas tenable», explique l’édile.

Le cas de Plouha est loin d’être isolé. Pour que ces préoccupations remontent et que de nouveaux financements soient accordés aux Ehpad armoricains, en avril dernier, se crée un collectif baptisé «territoires en résistance pour le grand âge». Il réunit aujourd’hui plus de 330 collectivités bretonnes, et 5 000 élus. «En moyenne, le déficit des établissements bretons tourne autour de 400 000 euros mais pour certains établissements, il atteint même le million», alerte Xavier Compain.

Une attaque groupée

Fort de ce nombre, les élus ont décidé de lancer une action concrète : attaquer l’Etat en justice. «Le sujet, ce n’est pas d’avoir la tête de tel ou tel ministre, mais de mettre l’Etat face à ses responsabilités en lui montrant qu’il ne respecte pas les droits fondamentaux des résidents d’un Ehpad qui sont d’avoir accès à la santé tout au long de sa vie, considère Xavier Compain. Nous sommes en face d'institutions qui sont dans les mathématiques plus que dans le côté humain. L'Etat a toujours un argument pour justifier son désengagement». Pour monter ce dossier, la trentaine d’élus qui se lance dans cette procédure est accompagnée par le cabinet d’avocats Coudray.

Concrètement, avant une attaque en justice auprès du tribunal administratif, le cabinet va engager une demande indemnitaire préalable pour 35 Ehpad auprès de plusieurs ministères, de l’ARS de Bretagne et des quatre conseils départementaux de la région. Il s’agit de pointer où il y a eu une défaillance et quelles sont les conséquences pour les établissements et leurs résidents. «Nous devons prouver par exemple que, faute de financement suffisant de l’Etat, il y a un manque de personnel qui a notamment pour conséquence de coucher plus tôt les résidents, de ne pas pouvoir les doucher plus d’une fois par semaine ou encore de leur servir le dîner à partir de 16 heures», liste le cabinet d’avocats.

Les procédures devraient être envoyées mi-février, pour près d’une dizaine d’établissements, dans un premier temps. Après leur dépôt, les administrations auront deux mois pour répondre. Si elles refusent le versement d’une compensation ou si elles ne répondent pas, le cabinet d’avocats aura alors deux mois pour saisir le juge administratif. L’attaque en justice pourrait donc être véritablement enclenchée mi-avril.

  
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gars d1 gars d1
04/03/2024 16:28:34
0

Pour ajouter au suspens du prix de l'AK et donc du nombre d'actions nouvelles émises, rien de tel qu'un coup de tonnerre...

Encore un signe des nombreux cadavres comptables qui séjournaient dans les placards des bilans des groupes cotés en bourse tels Orpéa et Clariane…


Crise financière des Ehpad : le groupe Medicharme placé en liquidation judiciaire

Le tribunal de commerce de Nanterre vient de placer le groupe d'Ehpad privé Medicharme en liquidation judiciaire. Les 43 établissements doivent maintenant trouver des repreneurs.

Publié le 29/02/2024 à 17h22

La décision était attendue. Le tribunal de commerce de Nanterre a placé, jeudi 29 février, le groupe d'Ehpad (Etablissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) privé Medicharme en liquidation judiciaire, une procédure qui doit permettre de trouver des repreneurs pour la quarantaine d'établissements, qui poursuivent leur activité. «Les offres de reprise existantes ou attendues feront l'objet dans les trois semaines à venir d'une analyse approfondie», indique Medicharme dans un communiqué transmis à l'AFP. Elles seront examinées par la justice lors d'une audience le 21 mars.

L'objectif est de «trouver des solutions pour un maximum d'établissements, dans l'intérêt des résidents, des salariés et des bailleurs», avait précisé lundi à l'AFP Delphine Mainguy, arrivée à la tête de Medicharme en 2022, peu avant la révocation de l'ancien président et fondateur du groupe, Patrick Boulard.

En difficultés financières, le groupe, qui gère 43 établissements en France, compte 1 200 salariés et propose plus de 2 000 lits, avait indiqué lundi qu'il comptait demander à la justice l'ouverture d'une procédure de liquidation judiciaire avec le maintien de son activité. Parmi les 43 établissements, on compte 34 établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), 7 résidences services seniors, une maison de retraite non médicalisée (Ehpa) ainsi qu'un Foyer d'accueil médicalisé (FAM).

Medicharme, détenu par le fonds d'investissement anglais G-Square, fait face à une situation financière dégradée en raison d'une augmentation des coûts à cause de l'inflation et de la faiblesse du taux d'occupation de ses établissements. Une situation à laquelle font face de très nombreux Ehpad du secteur public, associatif ou privé.

Sa demande de placement en liquidation judiciaire fait suite à l'ouverture en novembre d'une procédure confidentielle de conciliation, associée à un dispositif de «prépack cession», qui permet d'accélérer le calendrier en arrivant devant la justice avec déjà plusieurs projets de reprise. Les repreneurs pourront racheter les établissements pour un prix symbolique et n'auront pas à éponger leurs dettes.

Medicharme fait, par ailleurs, l'objet de deux enquêtes administratives dont les conclusions sont attendues pour début 2024. L'inspection générale des Finances (IGF) et celle des Affaires sociales (Igas) ont été chargées d'examiner, entre autres, ses «pratiques commerciales et financières» du groupe, ses «pratiques managériales» ainsi que le «temps de présence effectif des personnels» auprès des résidents.

  
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gars d1 gars d1
08/02/2024 23:29:51
0

On nous explique ici en gros que les actionnaires et notamment les petites porteurs n'auront d'autre choix que d'être largement dilués, mais ce serait pour leur bien…

Ne pas oublier que si on en est là, c'est parce que la direction s'est contenté de rouler la dette sans limite alors que des signaux importants annonçaient une hausse des taux et des durcissements de conditions de crédit. Croire qu'on peut durablement rouler la dette sans la rembourser une parfaite hérésie comptable : la preuve au dessous.


ANNEXE – Conclusions du rapport Finexsi

Addendum à notre Attestation du 22 décembre 2023 sur l’intérêt pour CLARIANE S.E. de mettre en œuvre le plan de renforcement de la structure financière annoncé au marché le 14 novembre 2023


Consultez la version source sur businesswire.com : https://www.businesswire.com/news/home/20240208017872/fr/

_________________________________________________

Propos liminaires

Nous avons établi en qualité d’expert indépendant une attestation en date du 22 décembre 2023 portant sur l’intérêt pour la société Clariane SE (ci-après « la Société », ou « Clariane ») de mettre en œuvre le plan de renforcement de la structure financière annoncé au marché le 14 novembre 2023.

Le présent addendum complète et remplace la conclusion qui figurait dans l’attestation du 22 décembre 2023.

Les autres éléments de cette attestation restent inchangés.

Conclusions


Depuis 2020, le secteur d’activité sur lequel opère la Société a été fortement impacté par (i) les effets de la crise sanitaire, (ii) la crise de défiance induite par le scandale Orpea, et plus récemment (iii) par l’environnement inflationniste et l’augmentation des taux d’intérêt.

Ce contexte s’est notamment matérialisé, depuis juillet 2023, par un durcissement des conditions financières du Term Loan de la Société suite à son extension jusqu’en mai 2026, entrainant de nouvelles contraintes (i) de ratio de levier financier (passant de 4,50x en décembre 2023 à 3,75x en décembre 2025) ainsi que (ii) de l’obligation de respect d’un niveau de liquidité minimum de 300 M€ pour le tirage et le renouvellement de la ligne de financement RCF (dont le tirage a été effectué le 3 novembre 2023 pour un montant de 500 M€).

Dans son communiqué du 24 octobre 2023, le Groupe a indiqué faire face à un resserrement brusque et durable des conditions de crédit, affectant son plan de financement consistant notamment à redéployer sa dette. Ces éléments ont conduit le Groupe à faire « de l’amélioration de la génération du cash-flow et de la maitrise du niveau d’endettement une priorité […] ». Dans ce communiqué, le Groupe a également annoncé que son levier d’endettement financier serait revu à la hausse autour de 3,8x en fin d’année 2023 « en fonction du calendrier de finalisation des opérations de partenariats immobiliers en cours ». En réaction à cette annonce, le cours de l’action Clariane a fortement chuté, suscitant l’inquiétude de certains partenaires financiers et compromettant notamment la finalisation prévue avant fin 2023 des deux projets de partenariats immobiliers en cours de négociation.

Dans ce contexte, les commissaires aux comptes de la Société ont adressé le 9 novembre 2023, en application de la procédure visée à l’article L.234-1 du code de commerce, un courrier à Clariane dans lequel ils sollicitaient des explications sur la situation du Groupe et les mesures envisagées pour en assurer la continuité d’exploitation (phase 1 de la procédure d’alerte). En suite de l’annonce au marché le 14 novembre 2023 d’un plan de renforcement de la structure financière du groupe, et après analyse des éléments présentés dans la réponse du Président du Conseil d’administration de la société, les commissaires aux comptes ont informé le Président du Conseil d’administration qu’ils suspendaient ladite procédure d’alerte.

Le plan de renforcement de la structure financière est composé de quatre volets : (1) la conclusion de deux partenariats immobiliers pour respectivement 140 M€ et 90 M€ ; (2) la sécurisation d’un prêt relais immobilier de 200 M€ ; (3) un programme de cessions d’actifs d’un montant d’environ 1 Md€ sur 2024 et 2025, et (4) un projet d’augmentation de capital de 300 M€.

Dans le cadre de la mission qui nous a été confiée par Clariane afin d’apprécier l’intérêt pour la Société de mettre en œuvre l’ensemble du plan de renforcement de la structure financière, nos travaux ont notamment porté sur la prise de connaissance du plan d’affaires 2024 – 2028 et sur l’examen critique de ses principales hypothèses ainsi que des prévisions de trésorerie 2024 établies par la Société et validées par le Conseil d’Administration du 14 décembre 2023.
PUBLICITÉ

Il ressort de nos travaux :

• En l’absence de mise en œuvre des différents volets du plan annoncé, et ce malgré une progression attendue de l’activité, la Société se serait trouvée dans une situation de difficulté financière avérée, avec un potentiel bris de covenants bancaires liée au non-respect du ratio de levier financier dès le mois de décembre 2023 (avec pour conséquence l’exigibilité immédiate du Term Loan de 500 M€ que la Société ne serait pas en capacité de rembourser), et ne disposerait pas de la liquidité minimum de 300 M€ requise pour le renouvellement du RCF dès avril 2024, impliquant un remboursement anticipé obligatoire des 500 M€ de RCF auquel elle ne pourrait faire face.
• Les deux premiers volets du plan (partenariats immobiliers, et tirage du prêt relais immobilier pour refinancer des prêts immobiliers à échéance début d’année 2024) mis en œuvre par la Société en décembre 2023, ont permis de sécuriser le respect du ratio de levier financier au 31 décembre 2023. Toutefois, cette situation n’apparait pas pérenne en cas d’abandon du projet d’augmentation de capital, car cela entrainerait le remboursement anticipé du prêt relais immobilier en avril 2024 et le non-respect de l’exigence de liquidité minimum à cette date, impliquant le remboursement anticipé obligatoire des 500 M€ de RCF auquel la Société ne pourrait faire face.
• En cas de réalisation des cessions d’actifs prévues en 2024, la Société ne serait toujours pas en mesure de respecter la contrainte du niveau de liquidité minimum de 300 M€ en avril 2024, avec les mêmes conséquences sur le remboursement anticipé obligatoire des 500 M€ de RCF. Cette situation s’accompagnerait également d’une marge de manœuvre insuffisante pour sécuriser le respect du ratio de levier financier au 30 juin 2024 et au 31 décembre 2024.
• Dans ce contexte, l’augmentation de capital de 300 M€ envisagée en juin 2024 doit, en complément des autres volets du plan, permettre de respecter le niveau de liquidité minimum à fin avril 2024 (la confirmation du projet d’augmentation de capital permettant le maintien du prêt relais immobilier, qui est nécessaire pour que la Société puisse disposer d’un niveau de trésorerie supérieur à l’exigence de liquidité minimum à cette date), sécuriser le respect du ratio de levier au 30 juin 2024 et au 31 décembre 2024, et mettre fin à l’exigence de liquidité minimum de 300 M€ en juillet 2024 (du fait du remboursement du RCF à cette date).

Nous relevons également qu’un éventuel abandon du projet d’augmentation de capital, et en l’absence de solution alternative, entrainerait une incertitude significative sur la continuité d’exploitation de la Société dont les commissaires aux comptes devraient alors apprécier les conséquences, ce qui selon nous les conduirait probablement à réactiver la procédure d’alerte suspendue le 14 novembre 2023. Il convient de préciser que cette situation, si elle se concrétisait aujourd’hui, serait de nature à remettre en cause certains financements existants.

Dans ces conditions, la réalisation de l’augmentation de capital ouverte de 300 M€ prévue en juin 2024 apparait comme un élément indispensable du plan de renforcement de la structure financière.

Le dimensionnement du programme de cession d’actifs (1 Md€ sur 2024 et 2025), apparait significatif et a également pour objectif d’atteindre un ratio de levier financier du Groupe sensiblement inférieur à 3x, à horizon 2025, après la réalisation de l’augmentation de capital et de l’intégralité du programme de cession d’actifs.

En ce qui concerne l’actionnaire de Clariane, il est rappelé que l’augmentation de capital de 300 M€ sera réalisée avec maintien du DPS, permettant aux actionnaires qui le souhaitent d’exercer leurs droits préférentiels de souscription aux mêmes conditions que Predica, afin de maintenir leur pourcentage de participation. Cependant, à l’issue de la réalisation de l’augmentation de capital, Predica, dans le cadre de son engagement de garantie à hauteur de 200 M€, pourrait être amené à accroître sa participation dans la Société et à en prendre le contrôle en fonction du taux de souscription des autres actionnaires. A ce titre, il est précisé que nous établirons une attestation d’équité sur les conditions financières de l’augmentation de capital lorsque celles-ci seront connues.

En conséquence, nous sommes d’avis que la mise en œuvre du plan de renforcement de la structure financière annoncé au marché le 14 novembre 2023 s’inscrit dans l’intérêt de la société Clariane, et apparaît indispensable pour résoudre ses difficultés financières et assurer la pérennité de la Société.


  
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LBWB LBWB
31/01/2024 12:03:17
0

MAJ

croisement MM7/MM20

  
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