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au regard de la surévaluation manifeste de certaines valeurs, ....franchement oui...
Et je vois qu'il reviennent à la charge sur les 7635.
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Moins de trois % en gros, ça reste gentil comme réaction, je crois ?
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et c'est vrai, également que les volumes d'échanges, depuis des mois, sont moins volumineux que par les années passées .
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Je n'ai pas dit que l'intégralité du marché était imputable aux pp......
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vous avez raison salut
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Oui biensur
c'est bien connu que c'est les PP qui font le marché.
le 1er avril est passé hein
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Je ressens que les acheteurs sont sans doute en grande partie, des pp qui n'ont connu que la hausse, et à qui on promet la lune à longueur de temps.
Il y a sans doute aussi, des acteurs qui font du long terme, pour leur retraite par exemple, et qui se fichent d'être scotchés provisoirement.
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"Tempête sur les marchés"
Moi j'appellerai plutôt ça un coup de vent
je suis surpris d'une telle résilience de la plupart des valeurs.
ce qui a été annoncé est pourtant pas anodin pour le futur proche (3/6mois).
là c'est comme si le marché pensait que ces taxes soient du transitoire
pourtant il va bel et bien y avoir des retours de bâtons !
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Pas de panique…
Test en cours de sortie de la borne basse de la fouchette haussière.
L'évolution actuelle graphique montre qu'on a été bloqué à la hausse par la médiane haussière de la fourchette d'Andrews à 2 reprises et le troisième rebond sommital s'est traduit par la réintégration de la bande keltner qui traduit la fin de la spéculation haussière (= "Surachat").
Cela a coïncidé avec la fin de l'essentiel des bonnes publications annuelles 2024, et donc plus de soutiens haussiers avec les chiffres.
Comme je vous l'avais dit en message précédent ici, ( https://www.abcbourse.com/forums/msg1045998_un-petit-essai-de-timing-et-de-potentiel- ), il était probable qu'on vienne tester la limite basse de la Bande Keltner actuellement à 7712,98 pts. C'est ce qui est fait ce jour.
Cela corresponde actuellement aussi à la dent basse de la fourchette haussière.
La situation mondiale politico-économique se dégrade, on devrait donc prochainement :
• Sortir à la baisse sous la fouchette haussière : basculement en "Survente"
• Combler le GAP haussier entre 7681 et 7640
• Combler le gros GAP haussier entre 7592 et 7479
A noter qu'au niveau bas du gap (7479 pts), on est à 51% au dessus et 49 % en dessous des cotation du CAC 40 sur 2 ans, soit le niveau même de l'indécision…
Et donc logiquement vers 7417 / 7479, on arrive sur des niveaux de supports récents qui ont été travaillés en support et en résistance.
Dans l'immédiat avec la distribution de dividende à venir, on devrait en rester là. Et n'oubliez pas que les décisions de politiques économiques mondiales agitent le bocal à la hausse comme à la baisse et inversement.
Cela devrait comme je le vois actuellement sur mes portefeuilles favoriser le retour en grâce des Middle & Small Caps qui sont beaucoup moins soumises aux fluctuations des déclarations de guerre économique.
On devrait aussi assister à une bonification et une poursuite haussière de valeurs défensives de consommation intérieure.
J'observe pour ma part des baisses moins marquées sur mes portefeuilles compte tenu de l'investissement en actifs sous cotés et de la présence de beaucoup de Middle & Small Caps.
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Ne faudra t'il pas, au moins un temps, se rabattre sur des valeurs qui agissent sur un territoire plus européen ?
Aujourd'hui, les bourses sont choquées par les chiffres de taxe : +20%, +34%, ...
Mais n'est ce pas le premier effet KissCool ?
N'y aura t'il pas d'autres effets décalés dans le temps comme inflation, récession aux US et quels seront leurs effets sur le vieux continents dans 3 mois, dans 6 mois ?
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Le réveil a été brutal sur les marchés financiers. Jeudi 3 avril, à l'ouverture, les principales places boursières européennes ont vacillé face à la décision choc de Donald Trump d’imposer de nouveaux droits de douane massifs sur les importations européennes. Le CAC 40 a dévissé de 2,16 %, le Dax allemand de 2,45 % et le FTSE 100 de Londres a reculé de 1,46 %. Un plongeon déclenché par la concrétisation de la politique commerciale "America First", désormais dotée de tarifs « réciproques » allant jusqu’à 20 % sur les produits en provenance de l’Union européenne.
L’annonce, qualifiée de "jour historique" par l’investisseur John Plassard, marque un véritable tournant. Car pour la première fois depuis les années 1930, les États-Unis relèvent en bloc leurs droits de douane, avec un taux moyen désormais estimé à 23 %. Les pays asiatiques comme la Chine (54 %) ou le Vietnam (46 %) sont encore plus lourdement frappés. Seul le Royaume-Uni semble s’en tirer un peu mieux avec une taxe fixée à 10 %.
L’impact sur les entreprises ne s’est pas fait attendre. Les secteurs les plus mondialisés, automobile, luxe, tech et pharmacie, encaissent déjà le contrecoup. À Paris, les géants du luxe comme LVMH, Hermès et Kering ont tous reculé entre 2,6 % et 4 %. Côté automobile, Valeo et Forvia ont perdu près de 3,7 % dans la matinée. Même les valeurs pharmaceutiques, pourtant temporairement épargnées par les droits de douane, n’échappent pas à la nervosité ambiante.
Ce que redoutent les investisseurs, ce n’est pas seulement le choc tarifaire, mais l’escalade potentielle. Le ministre américain des Finances a averti : toute riposte entraînerait une contre-attaque immédiate. L’Union européenne n’entend pas se laisser faire. Selon la porte-parole du gouvernement français Sophie Primas, Bruxelles envisage déjà de cibler en retour les services numériques américains.
Le ton monte, les chaînes d’approvisionnement globalisées sont menacées et les marchés s’interrogent : sommes-nous à l’aube d’un nouveau monde commercial où chaque nation devra choisir entre alignement et confrontation ?
Les conséquences de l’annonce de Trump ne se limitent pas aux marchés d’actions. Du côté des devises, le dollar américain a cédé 1,2 % face à un panier de devises principales (indice DXY). L’euro, lui, a profité de ce recul en repassant au-dessus de 1,10 dollar. Matthew Weller, analyste chez Forex.com, rappelle que ces derniers mois, "l’augmentation des droits de douane a été un facteur négatif pour le dollar américain".
Symbole de l’inquiétude grandissante des marchés, les valeurs refuge flambent. L’or a atteint un nouveau record historique à 3 167 dollars l’once. Même tendance du côté du franc suisse et du yen, recherchés par les investisseurs en quête de stabilité. Les taux longs chutent des deux côtés de l’Atlantique, signe que les opérateurs se réfugient sur les obligations souveraines dans l’attente d’une accalmie.
Le choc est tel qu’il pourrait rebattre les cartes du commerce mondial pour longtemps. Comme le résume crûment John Plassard : « La Libération de l’Amérique, c’est peut-être le début d’un nouvel ordre commercial mondial. »
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