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Une chose est sur Bayrou parti nous n'aurons pas réglé le problème dans sa totalité ... Reste le plus grand responsable de la dette qui squatte à L'Elysée et dont il serait grand temps de se séparer de cette incapable , qui ne respecte pas la démocratie et le vote des Français . Un âne qui se prend pour un cheval de course !!!
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Bien joué, Alioche.
Un petit fumigène balancé entre Matignon et son budget et ton hôpital permettra d’oublier le sujet du jour, et d’embrayer sur les hôpitaux, les taxis et les bus.
A propos de budget : F. Fillon qui disait être à la tête d’un pays en faillite, c’est quoi ?
Bon, mais lui, il s’est fait tailler un costard par la bien pensance.
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On t’à reconnu depuis un moment avec ton discours consistant à culpabiliser les Français. Le même discours que celui du gang en place
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Ton exemple sent la propagande faisandée, pas le vécu.
Dans la réalité, tu as de la chance quand le 15 et les pompiers se déplacent encore parce de l’imposteur du Faubourg à saccagé les services publics. Un exemple à été médiatisé ces jours ci, ou la mère d’un jeune va porter plainte car son fils est décédé suite au non déplacement des pompiers appelés à deux reprises.
Et sans compter les dizaines de milliers de lits d’hopital que le sousdoué du faubourg a fermés.
Et sans compter les transports médicaux qu’il a fait derembourser.
Ta propagande sonne comme toi : faux
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Vous vous trompez de cible.
S'il n'y avait qu'un seul personnage politique qui a dénoncé les budgets en déficit, c'est bien lui.
Mais il était bien seul donc totalement impuissant.
Les politiques ne font que voter des dépenses que les français réclament.
Juste un exemple simple. La semaine dernière, mon voisin se sentait mal, les pompiers l'ont emmené aux urgence, sa femme l'a accompagné. Vers 18h, elle veut rentrer chez elle. L'infirmière a appelé un taxi payé par la sécu. Elle n'en a pas voulu, elle est rentrée par le bus. 100 € de taxi contre 2 € de bus.
N'y a t'il pas abus ?
Qui paie ?
Posez vous ces questions.
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notre lapin en avait marre de sa guenon Zira ,il s'est trouvé une carpe(tte) pour l'épauler !!
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Un pays ruiné, un pays en plein naufrage, une classe politique honteuse, un effondrement de la qualité de vie, un peuple docile, des médias serviles... Une ahurissante hypocrisie. Ceux qui se sont barrés de la chose immonde qu'est devenue la France il y a vingt ans ont eu tellement raison.
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"Petit problème : notre argent est surtout employé à financer des tonnes d’inutilités.
En France, les « investissements rentables » que tu cites, sont epsilon."
Pas seulement, il faudrait aussi compter les dizaines de milliards que l'Europe à dilapidé pour l'Ukraine.
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optima
« « On va droit au mur et voilà ..//..donner 500 € de plus pour continuer à rouler sur des routes correctes, emmener mes petits enfants à l'école, à la piscine ou au stade, je l'accepterai sans broncher ! » »
Petit problème : notre argent est surtout employé à financer des tonnes d’inutilités.
En France, les « investissements rentables » que tu cites, sont epsilon.
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30:ans ? Non, plus… premier mandat électif mars 1982.
Bon quand on a dit ça on fait quoi ?
Chute de Bayrou et de son gouvernement.
Nomination d’un nouveau Premier Ministre qui de toute façon ne débouchera sur aucun consensus, si ce n’est de façade et ultra provisoire.
ou autre possibilité (très improbable) démission ou destitution du Président en place.
Nouvelle élection présidentielle s’additionnant aux élections municipales. Pas forcément évident à organiser.
Élection d’un nouveau Président. Le problème restera le même il n’aura probablement aucune chance d’être porté à l’Assemblée par une majorité stable.
Ces mois à venir d’incertitude risquent d’impacter l’économie par le flou qui s’installerait.
Seule certitude la dette et ses taux d’intérêts continueront de croître.
A cela il faut greffer les incertitudes internationales et nous obtenons un tableau qui n’est rassurant pour aucun d’entre nous.
Les appels à une unité nationale ne peuvent que se heurter à l’individualisme forcené entretenu depuis des décennies rendant impossible l’effort que tous selon ses capacités devrons être amené à faire.
Bon courage au successeur qu’il soit Président ou Premier Ministre et surtout bonne chance à chacun d’entre nous pour les mois et années qui s’ouvrent devant nous.
En tout cas cela va faire beaucoup causer (pour ne rien dire).
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glanglois
« « Bayrou 30 ans en politique 30 ans qu'il ne sert strictement à rien , 30 ans qu'ils détournent de l'argent public à son seul profit... Voilà son CV. » »
On peut y rajouter 30 ans de complicité, (ou d’incapacité, ou de manque de volonté), de vouloir changer quoi que ce soit dans la gestion de la maison France.
Un gamin de 10 ans aurait été capable de comprendre que la dette, si elle n'est pas productive à terme, est très dangereuse, alors, des soi-disant cerveaux …..ne peuvent qu’être complices.
Va t’on encore continuer longtemps à engraisser près de 900 parlementaires qui n’y connaissent rien, ou qui veulent détruire le pays en le conduisant volontairement dans le gouffre ?
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On va droit au mur et voilà le langage vide qui monopolise l'opinion extrême ; Celle de ceux qui n'ont pas la capacité d'assimiler.
Je fais partie de ceux qui coûte 31 MILLIARDS PAR MOIS... Les retraités.... Et si je dois donner 500 € de plus pour continuer à rouler sur des routes correctes, emmener mes petits enfants à l'école, à la piscine ou au stade, je l'accepterai sans broncher !
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Budget explosif, colère montante, menace de chute : François Bayrou n’a plus le choix. Le 8 septembre, un vote de confiance décidera s’il reste Premier ministre… ou non.
C’est une rentrée sous haute tension politique pour François Bayrou. Le Premier ministre a annoncé, lundi 25 août, qu’il engagerait la responsabilité de son gouvernement le 8 septembre, en sollicitant un vote de confiance au Parlement. Une décision risquée, prise alors que les critiques enflent contre son projet de budget pour 2026, jugé socialement brutal.
À peine sorti d’un été marqué par une contestation rampante, Bayrou tente de reprendre la main en convoquant une session extraordinaire du Parlement. Il a indiqué : "J'ai demandé au président de la République de convoquer une session extraordinaire au Parlement où le gouvernement engagera sa responsabilité le 8 septembre, dans un vote de confiance".
Au cœur de la tempête : un plan de rigueur massif, dévoilé mi-juillet, censé générer près de 40 milliards d’euros d’économies. Parmi les mesures phares :
Autant de décisions impopulaires que Bayrou défend avec fermeté : "Notre pays est en danger parce que nous sommes au bord du surendettement", a-t-il averti. Il ajoute : "Autant que je le pourrai, je ne laisserai pas le pays s'enfoncer dans ce risque", tout en appelant à une prise de conscience collective : "Je me battrai bec et ongles en prenant tous les risques pour que ce danger soit évité par le seul moyen: la prise de conscience des Français".
Mais les oppositions ne comptent pas laisser passer ce qu’elles perçoivent comme un passage en force. La France insoumise a déjà annoncé son intention de faire tomber le gouvernement dès le 8 septembre. "Bien évidemment, nous voterons pour faire tomber Bayrou et son gouvernement", a déclaré Mathilde Panot.
Le Rassemblement national, par la voix de Jordan Bardella, a aussi rejeté le soutien à Bayrou : "François Bayrou vient d'annoncer la fin de son gouvernement, miné par son immobilisme satisfait. Jamais le RN ne votera la confiance à un gouvernement dont les choix font souffrir le peuple français".
À gauche, le Parti socialiste prend la même voie. Olivier Faure tranche : "Dans les conditions de majorité actuelle, (François Bayrou) sait qu'il ne peut obtenir un vote de confiance des oppositions. C'est une autodissolution. (...) Il est évidemment inimaginable que les socialistes votent la confiance au Premier ministre".
Le chef du groupe socialiste Boris Vallaud, lui, dénonce un coup politique : "Engagements non tenus, propositions provocatrices, refus du compromis (...) Après avoir créé les conditions de la défiance, François Bayrou sollicite un 'vote de confiance'", avant de marteler : "Il nous faut un autre Premier ministre et surtout une autre politique".
Même son de cloche chez les Écologistes : "Les Écologistes n'ont pas confiance dans ce (Premier ministre) qui porte un projet irresponsable aussi bien socialement qu'environnementalement", a affirmé Marine Tondelier.
Face à ces vents contraires, Bayrou tente de désamorcer : "Ne débattre que des mesures, c'est oublier la nécessité du plan d'ensemble", plaide-t-il, précisant que son projet est encore amendable et discuté avec les partenaires sociaux.
Mais la question demeure entière, alors que l’examen du projet de loi de finances doit commencer en octobre : "La question principale, c'est de savoir si oui ou non nous sommes d'accord pour reconnaître qu'il y a urgence".
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