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@dub
en occident nous sommes dans un monde de prédateurs mais certainement plus d'investisseurs!
nous vivons dans le monde de picsou, donc le pillage par la finance continue à leur seul et exclusif profit en attendant le chao total
le covidshow au lieu de créer un ordre mondial dirigé depuis WDC a fractionné en deux la planète. Les mondialistes occidentaux de l'ancien monde basés sur leurs règles ont été pulvérisés même s'ils font encore beaucoup de dégâts. Le monde des BRICS lui a tout compris et construit l'avenir
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10 000 milliards € à ne surtout pas confier à un quelconque gouvernement français. Ils disparaitraient en moins de temps qu'il ne m'en a fallu pour écrire ce post !!!
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Bruxelles vient de faire un constat qui ne peut que nous être bénéfique.
Il découvre qu'il y a beaucoup d'argent qui dort sur des comptes non rémunérés.
C'est donc de l'argent qui pourrait aller n'importe où et très rapidement et sa peur est qu'il aille en dehors de l'UE.
Bruxelles fait donc une incitation à créer des comptes rémunérés ou défiscalisés.
Parce que le livret A à 1,7% et plafonné à 22 950€, c'est un peu juste.
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investir ailleurs et surtout aller vivre ailleurs avant qu'il ne soit trop tard
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Avec une France sans gouvernance, jouée au poker et aux dissolutions successives par son président et ministres immatures, il va de soi qu'il vaut mieux investir ailleurs (et ailleurs que dans des actions et des entreprises françaises massacrées et en dépôt de bilan) ...
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(ABC Bourse) - Alors que l’épargne des Européens atteint des sommets inégalés, Bruxelles tire la sonnette d’alarme. Près de 10.000 milliards d’euros sommeillent actuellement sur des comptes bancaires sans rendement, un capital colossal que l’Union européenne souhaite réorienter vers l’économie du continent.
La Commission européenne a dévoilé ce mardi un plan stratégique en deux volets : améliorer l’éducation financière des citoyens et proposer aux États membres des outils concrets, comme des comptes d’épargne-investissement plus accessibles et fiscalement avantageux.
Avec un taux d’épargne de plus de 15 %, l’Union européenne figure parmi les régions du monde où l’argent est le plus massivement mis de côté. Mais cette tendance a un revers : selon l’ancien ministre de l’Économie Eric Lombard, "20 à 30 % de l'épargne des Européens partait financer l'économie américaine". Un constat qui inquiète Bruxelles, alors que les produits financiers américains, comme les ETF, les comptes-titres ou les assurances-vie en unités de compte, affichent des rendements souvent plus attractifs.
Pour inverser la tendance, la Commission veut "aider les citoyens à prendre des décisions financières judicieuses". Elle explique : "Avec la bonne combinaison de connaissances et de compétences financières, les citoyens peuvent mieux budgétiser, éviter les escroqueries et la fraude, économiser plus efficacement et se sentir mieux équipés pour investir pour leur avenir".
Lire aussi : Assurance vie, un mois de juillet historique avec 18 milliards d'euros de dépôts
Mais l’enjeu est de taille : "les niveaux de culture financière restent faibles dans l'UE". D’après les chiffres avancés par la Commission, moins d'un cinquième des citoyens de l'UE ont un niveau élevé de connaissance en matière de finances.
Pour y remédier, Bruxelles souhaite un partage renforcé des initiatives nationales existantes et lance une campagne européenne de sensibilisation. Objectif : de sensibiliser les citoyens aux opportunités d’investissement et aux risques associés.
Le second pilier du plan de la Commission concerne la création de comptes d’épargne et d’investissement à l’échelle nationale, accessibles à tous. Il ne s’agit pour l’instant que d’une recommandation, les compétences fiscales relevant des États membres. Mais l’orientation est claire : ces comptes devront être "assortis d'incitations fiscales et de procédures fiscales simplifiées", pour offrir "des rendements plus élevés de l'épargne, par rapport à son maintien dans les dépôts bancaires".
Ce dispositif permettrait également aux épargnants de garder la main sur leurs placements, notamment les produits financiers ou les secteurs économiques dans lesquels ils choisissent d'investir.
À travers cette stratégie, l’Union espère dynamiser son tissu économique : "croissance économique et la création d'emplois dans toute l'Europe, conformément aux objectifs de l'union de l'épargne et des investissements".
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