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Pétrole: le baril de brut américain repart à la baisse. - Page 3

Cours temps réel: 7 957,57  0,54%



gars d'ain gars d'ain
16/12/2014 08:17:38
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ça commence à ressembler à un naufrage dans la fosse des Mariannes...

Le mot "Reprise de la baisse" me fait plutot marrer... Sauf le très court terme , sinon pour le CT, MT et LT, la baisse est continue depuis juin...

Appelons un chat, un chat : on est en pleine matérialisation d'un krack pétrolier, ça va baisser encore, on va passer les 50$ sans arrêt au stand, et va au moins descendre autour de 45$... Ensuite, ça devrait être un joyeux bazar, où l'on commenera à annoncer les pertes, les naufrages, les disparus, et les comptes d'apothicaires...
  
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tirelire19 tirelire19
15/12/2014 23:46:42
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Page de publicité sue la DEFLATION du prix du baril de pétrole , mes pensées , mes condoléances aux petits producteurs de pétrole de schiste américains
  
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gars d'ain gars d'ain
12/12/2014 09:32:17
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Pour la vitesse de la baisse, on est en passe de dépasser le mur du son.

Bientôt le bang donc, le big bang...
  
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gars d'ain gars d'ain
11/12/2014 23:40:50
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Pas précipitation pour la hausse, on en est loin... encore... très loin...

Pour l'instant, pas de stabilisation à la baisse, on verra en dessous des 50 $, si on va à la limite de la rentabilité du conventionnel pour finir la guerre, histoire d'affaiblir aussi économiquement ceux qui l'ont déclanché... soit 35 à 45$ / le baril.

Les américains ne vont pas abandonner le morceau aussi facile, et les pays producteurs entre 1971 et 1973 ont aussi montré leur pouvoir de nuissance pour ceux qui auraient la mémoire courte.

enfin, si la croissance mondiale s'écroule, la retour avorté à la hausse aura vécu, au mieux on pourra espérer 60$ comme l'a négocier Poutine avec l'Inde...
  
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tirelire19 tirelire19
11/12/2014 23:28:29
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Le pétrole de schiste américain aura favorisé sa croissance, il en sera son tombeau !
  
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jipes jipes
11/12/2014 23:27:52
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Attention, le retour à la hausse sera aussi violent que celui que nous vivons actuellement.
  
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tirelire19 tirelire19
11/12/2014 23:18:35
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23H19 : cours à 59.12 dollars la baisse se poursuit
  
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tirelire19 tirelire19
11/12/2014 22:21:01
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Les 60 dollars viennent d' être enfoncés , on est à 59.38 dollars
  
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gars d'ain gars d'ain
10/12/2014 18:30:30
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Très étrangement on a encore aucun chiffre des pertes matérialisés par les entreprises US du pétrole et gaz de schiste, alors qu'il a toujours été claironné qu'il fallait un baril entre 90 et 100 $ pour amortir les coûts d'extraction...

Plus les chiffres mauvais seront livrés tardivement, plus le potentiel de baisse de wall street sera important. Dans tous les cas de krack, c'est le retard d'information et la dissimulation d'informations capitales pour l'orientation des cours qui sont à l'origine du krack...
  
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tirelire19 tirelire19
10/12/2014 16:50:01
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Nous allons assisté au plus grandes faillites de l' histoire industriel des USA : celle des producteurs de pétrole et gaz de schiste , ajoutez y les pertes des banques mais ce n' est pas tout les stocks de dollars que détiennent les états dans le monde vont s' ajouter à la grande fête qui se prépare !
  
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pollueur pollueur
10/12/2014 16:45:25
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Etats-Unis : un gaz de schiste qui fait pschitt

by Mickael - Fondateur de News360x


Aux États-Unis, l’industrie du gaz de schiste pourrait voir son optimisme rapidement douché. Selon une étude de l’université du Texas, les réserves pourraient s’assécher bien avant que ne le prédit l’EIA.

« Pour le gaz naturel, l’EIA [service de statistiques du département américain à l’énergie] n’a aucun doute: la production continuera à augmenter sans interruption jusqu’en 2040», prévoyait en 2013 son directeur Adam Sieminski. Le virus de l’optimisme a contaminé jusqu’à Barack Obama, selon qui les Etats-Unis «disposent de réserves de gaz naturel qui peuvent durer environ 100 ans », déclarait-il en 2012 dans son discours sur l’état de l’Union.

Pas si vite, tempère le journaliste américain Mason Inman dans un article publié par Nature. Menée par une équipe de géologues, d’ingénieurs pétroliers et d’économistes de l’université du Texas à Austin, une nouvelle analyse met sérieusement en doute ces prévisions.

Défaut majeur des travaux de l’EIA, ils reposent sur une évaluation géographique très grossière, avec une évaluation des réserves par comté. Or ceux-ci, dépassant fréquemment les 1.000 km2, peuvent abriter plusieurs milliers de puits. Les chercheurs texans ont quant à eux mené un travail plus fin, avec des mailles de seulement un mile carré (environ 2,5 km2).

« La résolution est une question importante car tout bassin de gaz de schiste possède des points riches, ainsi que de larges zones moins productives. Or les compagnies ciblent d’abord ces « sweet spots », de telle manière que les futurs puits seront bien moins productifs que les actuels. Le modèle de l’EIA repose sur l’idée que les futurs puits seront au moins aussi productifs que ceux du passé dans un même comté», explique Mason Inman.

Une baisse rapide après 2020

Selon l’EIA, les quatre principaux bassins américains de gaz de schiste (Marcellus, Barnett, Fayetteville, Haynesville- devraient voir leur production augmenter jusqu’en 2020, puis connaître un plateau. Ils seraient alors relayés par d’autres bassins, ce qui expliquerait une production américaine en hausse jusqu’en 2040.

Or pour les chercheurs texans, la production des 4 bassins va certes augmenter jusqu’en 2020, mais rapidement décroître après cela, en raison de l’épuisement des points les plus intéressants. Une fois sortie de leur parenthèse Shale Boom, « les États-Unis vont connaître un réveil difficile », estime Tad Patzek, qui dirige le département du pétrole et d’ingénierie des géosystèmes à l’université du Texas.

Les prix du gaz repartiront rapidement à la hausse, avec le risque que le pays se retrouve avec plus de véhicules et d’usines fonctionnant au gaz qu’il ne peut en alimenter. Ce qui, à terme, pourrait avoir des effets déplorables sur l’économie américaine.

Avant même d’avoir connu leur Shale Boom, d’autres pays commencent à douter de leurs chances. Mi-novembre, le conseil des académies des sciences européennes (EASAC) mettait en doute le potentiel du Vieux continent en la matière. Et plusieurs pays pourtant bien dotés, dont la Chine, le Mexique et l’Afrique du Sud, pourraient avoir bien du mal à l’extraire, faute de ressources suffisantes en eau.

Source : Journal de l’environnement
  
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tirelire19 tirelire19
10/12/2014 14:06:32
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Bonne nouvelle pour les producteurs de pétrole de schiste américain : cours du baril à nouveau en baisse , ils ne rigolent plus les gus , ils vont morfler et déposer la clé sous la porte entrainant avec eux les banques qui ont prété !
  
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gars d'ain gars d'ain
09/12/2014 14:24:41
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Toutes les prévisions de limites à la baisse et d'éventuelles remontées des cours se sont avérées fausses, et celle-ci fera aussi plouf... dans le fond du baril.

Ce n'est pas par ce que l'expert pétrole d'un pays aimerait voir les cours remonter pour que son pays puisse continuer à se développer à son rythme actuel que cela va enrayer la chûte dudit prix du baril...

On va crever les 60$ à la baisse, et très rapidement...

Rappel : c'est un acte de guerre économique, les entreprises pétrolières américaines commencent à avoir des difficultés, mais font de la résistance. Le but avoué est toujours de couler la production de pétrole de schiste aux US. Tant que la situation ne sera pas explicite, la crise durera. Et s'il faut, on aura un nouveau coup d'accélérateur à la baisse après les fêtes de fin d'années... Le nouvel an, tous les espoirs seront permis, ce sera le moment idéal pour surprendre...

On va donc vers une ruine entière de pans d'économie.

Message complété le 09/12/2014 14:26:25 par son auteur.

NB : l'article est déjà dépassé : "son niveau le plus bas depuis quatre ans." Hier, on parle désormais de 5 ans

  
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pollueur pollueur
09/12/2014 13:20:38
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Les prix du pétrole ne baisseront pas davantage


Au moment où j’écris ces lignes, le pétrole baisse encore de plus de 3 %, ce qui est très mauvais signe pour la santé de l’économie mondiale, car la baisse du pétrole n’est possible en termes de fondamentaux que parce que la demande est faible et la demande est faible parce que la croissance est faible (pour ne pas dire inexistante). Attention donc car un krach (celui du pétrole) peut en cacher un autre à venir (celui des marchés actions).

Les cours s’approchent dangereusement des 60 dollars et je pense que l’on va aller tester ces niveaux-là. Après l’on peut voir une remontée assez forte des cours qui permettrait de rejoindre les prévisions faites ci-dessous. Attendez encore un peu mais à 60 dollars le baril, je pense que l’on peut jouer la hausse.

Charles SANNAT

ALGER, 7 décembre (Xinhua) – Les prix du pétrole qui ont atteint des niveaux jamais aussi bas depuis quatre ans « ne baisseront pas davantage », a indiqué dimanche à Alger l’expert algérien en pétrole Chergui Dgemoi, en précisant que de tels prix « vont être maintenus pendant encore six à huit mois ».

« Selon notre expérience, nous pouvons dire que les prix qui tournent actuellement autour de 70 dollars/baril ne vont pas descendre plus bas », a estimé l’expert dans une déclaration à la presse en marge du Sommet Nord-africain du pétrole et du gaz qui se tient à Alger.

Pour l’expert, les raisons qui ont fait descendre les prix ; à savoir la baisse de la demande mondiale vont se dissiper d’ici six à huit mois, avec la reprise de l’économie mondiale.

De ce fait, les prix vont remonter à nouveau pour rattraper le niveau des 100 à 110 dollars/baril.

L’Algérie compte à hauteur de 96 % sur ses exportations d’hydrocarbures pour réaliser ses projets d’infrastructures de base et ses subventions de biens et services de large consommation. Des prix inférieurs à 100 dollars/baril entraîneraient des ralentissements dans le plan quinquennal 2015/2019, avaient estimé des experts algériens.

L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a décidé, lors de sa réunion ministérielle de novembre dernier, de maintenir sa production de brut au niveau actuel, ce qui fait plonger le prix du baril autour de 70 dollars, son niveau le plus bas depuis quatre ans.
  
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Augustus Augustus
09/12/2014 10:43:49
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Il faudra ce demander qui a intérêt a la faire exploser ????
  
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tirelire19 tirelire19
09/12/2014 10:42:50
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Qui sera à l' origine de l' explosion du système financier mondial ?
Allez y dites le
  
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whatelse whatelse
09/12/2014 10:41:10
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Si le système financier explose, tu as intérêt à être armé, car ce jour là, ce sera la guerre civile mondiale
  
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tirelire19 tirelire19
09/12/2014 09:26:09
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Les cours du pétrole poursuivent leur décrue , la situation devient intenable pour certains états producteurs , par effet de domino , cela va produire des dommages collatéraux sur la croissance mondiale , c' est là dessus que je compte en dépit des politiques monétaires ultra accomodantes , j' espère voir se développer une guerre massive des monnaies qui conduira à l' explosion final du système financier .
  
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tirelire19 tirelire19
08/12/2014 17:39:07
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Pétrole en baisse : Chevron en fait autant , on a ré intégré le canal baissier noir
  
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tirelire19 tirelire19
08/12/2014 17:30:26
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Triangle noir : pétrole en baisse , Exxon baisse
  
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