Pétrole: la glissade se poursuit, les analystes réagissent. - Page 2

Mais rien n'empêche qu'à la fin de l'année le baril soit à 60 $ et que dans un court instant ( quelques jours ou semaines ) il descende dans un mouvement de panique à 10 $.

Aucune contradiction là-dedans. On sait tous que la spéculation amplifie les phénomènes, même si souvent la spéculation voit juste ( spéculation, du latin speculari, " voir au loin " ).

Il va bien falloir que la production iranienne trouve sa place sur le marché et comment peut-elle trouver sa place si ce n'est en se présentant à un prix inférieur aux 29 $ actuels ? C'est là que la spéculation intervient ...

Message complété le 17/01/2016 13:11:00 par son auteur.

Et comme les indices sont actuellement corrélés au prix du baril ...

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10 pas improbable, il y a un an si on m'avait dit qu'il descendrait en dessous des 30 dollars..... les traders sur le pétroles n'ont de limite que leur propre personne.
Le problème est qu'il est clair que sa ne durera pas, et que sa ne peut pas durer, tant au niveau de la production que de la consommation (qui a tendance a monter plus vite lors de baisse des prix)
à suivre mais le retour risque de faire mal au porte monnaie (du moins c'est ce que je pense, juste un avis)

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Eh oui!

C'est comme il y a quelques années, big moustache parlait d'un pétrole a 200 dollars le baril il me semble, et on les a jamais fait ...

alors 10 ... ...

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Les Bourses des monarchies pétrolières du Golfe ont fortement chuté dimanche, plombées par la baisse des prix du brut et la perspective du retour de l'Iran sur le marché.

Les Bourses des monarchies pétrolières du Golfe ont fortement chuté dimanche, plombées par la baisse des prix du brut et la perspective du retour de l'Iran sur le marché. Cette baisse, enregistrée au début de la semaine boursière dans le Golfe, fait suite aussi au recul des places financières internationales vendredi.

La levée des sanctions internationales imposées à Téhéran, suite à l'entrée en vigueur samedi de l'accord nucléaire avec les grandes puissances, va permettre le retour de la République islamique sur le marché pétrolier, déjà saturé par une abondance de l'offre.

Le prix du pétrole, qui contribue à plus de 80% aux revenus des pays arabes du Golfe, a reculé de 20% sous la barre des 30 dollars depuis le début de l'année après une baisse de 65% ces deux dernières années.

Les sept places du Golfe ont connu un petit vent de panique avec des mouvements de vente qui ont provoqué une plongée des indices. La Bourse saoudienne, la plus importante des pays arabes, a chuté de 6,5% après avoir ouvert à -5,5%. L'indice Tadawul All-Shares a perdu plus de 300 points quelques minutes après l'ouverture du marché, sous la barre de 5.500 points, tous les secteurs passant au rouge. Les valeurs pétrochimiques ont dégringolé de 8% et les bancaires de 5,3%. Depuis début 2016, cette place a cédé 21,1%, plus que toutes ses pertes de 2015. Les places de Dubaï et du Qatar ont cédé jusqu'à 6% chacune, avant de remonter légèrement.

Le Dubai Financial Market était en baisse de 5% à la mi-journée, sous la barre des 2.700 points. Les valeurs vedettes Emaar, géant de l'immobilier de Dubaï, et Arabtec, leader du BTP, cédaient respectivement 5,3% et 7%. Depuis le début de l'année, Dubaï a reculé de 15% et le Qatar de 17%. Le Qatar Exchange, deuxième marché du Golfe après celui de l'Arabie saoudite, a connu de fortes fluctuations à l'ouverture dimanche. Il était à -5,6% à la mi-journée, sous les 8.700 points.

L'Abu Dhabi Securities Exchange a cédé 4,3%, mais est resté au dessus de la barre des 3.700 points, tous les secteurs étant dans le rouge. Le Kuwait Stock Exchange a reculé de 3,2% sous les 5.000 points, son niveau le plus bas depuis 2004. Le petit marché d'Oman a perdu 1,5% et celui de Bahreïn 0,3%.

Depuis le début de l'année, les sept marchés du Golfe ont perdu plus de 150 milliards de dollars de leur capitalisation totale qui est estimée actuellement à 800 milliards de dollars. Tous les marchés du Golfe ont fini l'année 2015 sur de fortes baisses, emmenés par la Bourse saoudienne, sur fond de dégringolade du prix du pétrole.

Commentaire : il va bien falloir que tout cela s'ajuste. Comment ? Par le marché. Direction : 10 $ le baril.

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Oui, je vois bien l'avenir pétrolier du Canada avec des sables bitumineux à plus de 80$ de prix de revient...

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le cas du canada est pas mal aussi, canada qui est exportateur net de pétrole:
estimation et projection sur le site du gouvernement canadien (en francais en plus, comble du luxe)
https://www.neb-one.gc.ca/nrg/sttstc/crdlndptrlmprdct/rprt/2015shll/index-fra.html

Message complété le 16/01/2016 16:54:54 par son auteur.

l'opec sort son prochain rapport le 18 janvier (consommation et importations par continent, production mondiale, etc....)

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je sait pas si il faut s'en inquiété, mais les exportations de produits petroliers ont aussi augmenter....

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Quand ? Simple à dire , dès que la guerre du pétrole aura fait des morts ,à savoir schiste et off shore profond soit d'ici quelques mois ou semaines .
La Chine est un faux prétexte basé sur des anticipations fausses => pas les chiffres chinois mais leur traduction par les pseudos analystes occidentaux qui voient une récession là où la croissance dépassera encore les 5/6%

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Bien jouer sirius, du coup j'ai l'impression d'être nul en recherche d'information grâce à toi
et cri74 si on continue sur des prix bas pendant un moment sa va remonter comme une fusée c'est bien ce qui est le plus a craindre, la question est: quand?

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Effectivement, les importations ont légèrement augmenté en 2015, comme tu l'évoquais avec raison.
Sur la page de l'EIA, tu peux visualiser les données mensuelles en sélectionnant Monthly sous le graphique [1]. Le mois de décembre n'a pas encore été publié, alors je l'ai calculé grâce aux séries hebdomadaires [2].

Dec-15 = 9568 milliers de barils/j

En appliquant la même méthode aux deux mois précédents [3], le calcul approche les valeurs publiées à 0,4% près.

Ainsi, l'année 2015 s'établit à 9394,716 milliers de barils/j (+1,67% par rapport à 2014).

[1] http://www.eia.gov/beta/MER/index.cfm?tbl=T03.03B#/?f=M&start=201501&end=201511&charted=12-16
[2] http://www.eia.gov/dnav/pet/hist/LeafHandler.ashx?n=PET&s=WTTIMUS2&f=W
[3] http://www.eia.gov/petroleum/supply/weekly/pdf/wpsrall.pdf (appendice A)

Voilà, ça peut servir...

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merci sa aurait été mieux avec 2015 mais peut-être les chiffres ne sont pas encore sortie, les importations ont fortement baissé de 2010 à 2014 en lien avec la production d'huile americaine, c'est pour cela que 2015 aurait été bien de le voir (mois par mois encore mieux) car il m'avait semblé lire dans un article fin d'année dernière que les importations de pétrole avaient augmenté... à suivre et un grand merci pour la recherche

Message complété le 13/01/2016 14:56:06 par son auteur.

et il est vrément complet ton site avec le choix de graphique comme la consommation de pétrole par secteur (domestique, industriel, tertiaire, et même les organisations gouvernementale)
quand les chiffres 2015 sortiront sa ira mieux

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@ettircs,

Voici pour les importations : http://www.eia.gov/beta/MER/index.cfm?tbl=T03.03B#/?f=A

Message complété le 13/01/2016 14:04:00 par son auteur.

Lien trouvé à partir de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89nergie_aux_%C3%89tats-Unis#Importations_et_exportations_de_p.C3.A9trole

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Dans un reportage sur des études geologique pour la BP (de mémoire) .
Surement sur youtube .
<p>

Vous pouvez rechercher sur le net : Pétrole abiotique et non fossile par F.William Engdahl
Là on nage entre réel et irréel et surtout entre ce qu'on veut bien croire et entendre .
Sûrement qu'en fouillant à partir de quelques mots clefs sur le net il y a des choses à "creuser" sur le sujet .




Je ne specule pas sur le petrole .
Il y a quelques années la terre etait encore plate ...
maintenant elle est ronde,plate et bossue mais surtout elle est bleue !
</p>

Message complété le 13/01/2016 13:50:52 par son auteur.

Il y a cet article sur agoravox titré :Les avancées récentes sur l’origine abiotique du pétrole et du gaz
(Trouvé avec Bing)

Je n'arrive pas à copier le lien 😕

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elle serait de quelle origine?

Message complété le 13/01/2016 12:57:00 par son auteur.

la chute des cours est la sur-abondance de production (même légère au regard de la consommation)
et en plus la valorisation du pétrole est sous la main de traders donc parfois déconnecter du mon réel.... l'origine du pétrole n'est pas plus important finalement je pense
n'empêche sa m'interresse ton truc... tu peus nous mettre le liens de l'article?

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D'après des études géologique, certains gisements de pétrole ne serait pas dorigine fossile .
Il y a peut être aussi de ça sous la chute actuelle des cours ?

Message complété le 13/01/2016 12:38:48 par son auteur.

Je vous laisse mettre les pluriels où il se doit ... :)) !

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Pour ceux qui cherche du "pétrole".


Pas parole d'évangile mais mieux que "les échos" ou "le monde" sur le sujet.


http://prixdubaril.com/comprendre-petrole-cours-industrie.html


A recouper avec les infos Russes.

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ce qu'il serait interréssant ce n'est plus forcément les réserves de brut, mais j'aimerais bien connaître les importations de petrole pour les etats unis, et la production de petrole de schiste ainsi que le nombre de puit en exploitation.
pour les importations j'ai beau chercher je trouve pas de chiffres
les puits baissent et semblerait-il la production baissera encore en février 2016 (ce qui semble assez logique)
du coté russe le gouvernement s'attend à une baisse de la production dans les prochains mois, du fait des embargo de matériels pétrolier, et de la baisse des investissements...
sa finira par manquer si on continue sur cette voie

Message complété le 13/01/2016 11:49:42 par son auteur.

et l'api à annoncer hier une baisse des reserves de brut mais une forte augmentation des produits distillé

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En attendant , les prix du pétrole représentent une formidable économie pour l'immense majorité des entreprises , laquelle se retrouvera fatalement dans les comptes .

<p>J'attends la prochaine statistique contrariante style stocks US pour voir la gloutonnerie chapelière de tous ces analystes Panurgiens</p>

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Une appréciation du dollar pousserait vers les $20 le baril selon Morgan Stanley ! L'effet dollar compenserait une partie de la baisse du prix

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il faut pas oublier qu'ils sont payé pour sortir leur papier en tout cas certains

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