Pétrole: la glissade se poursuit, les analystes réagissent. - Page 3
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C'est exactement cela Jipes .
<p>Mr Panurge au sommet ..... des bureaux "d'ânes à listes" !</p>
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Quand les résultats dépassent les prévisions escomptées, en l'occurrence à la baisse, les analystes n'ont qu'une échappatoire "revoir leurs prévisions", ce qui leur donne l'impression de rester des gourous.
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Ben voyons : en maternelle , les gamins ont le même genre d'idées .
Demain , tout ce petit monde fera volte face en s'apercevant qu'ils avaient oublié quelque chose mais sans oublier de dire "on vous l'avait bien dit "
De la tartuferie dans les bureaux de pseudos analystes qui sortent des papiers pour suivre le marché et non des analyses fondées sur des éléments tangibles autres que la peur de son ombre .
Ah oui , la Chine ? 6.7 ou 6.5% de croissance en 2016 ?
Vraiment les causes sous jacentes d'un choc boursier , il n'y a pas à dire
Au fait , pour les biotechs qui valsent ce jour , quelqu'un peut-il démontrer l'incidence conjoncturelle sur ces sociétés alors qu'une OPA de 32 milliards a encore lieu ce jour dans le secteur ?
Demain , tout ce petit monde fera volte face en s'apercevant qu'ils avaient oublié quelque chose mais sans oublier de dire "on vous l'avait bien dit "
De la tartuferie dans les bureaux de pseudos analystes qui sortent des papiers pour suivre le marché et non des analyses fondées sur des éléments tangibles autres que la peur de son ombre .
Ah oui , la Chine ? 6.7 ou 6.5% de croissance en 2016 ?
Vraiment les causes sous jacentes d'un choc boursier , il n'y a pas à dire
Au fait , pour les biotechs qui valsent ce jour , quelqu'un peut-il démontrer l'incidence conjoncturelle sur ces sociétés alors qu'une OPA de 32 milliards a encore lieu ce jour dans le secteur ?
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(CercleFinance.com) - Les cours du pétrole perdent encore du terrain lundi matin, affectés par un mouvement de réduction généralisé des prévisions des analystes.
A l'approche de la mi-journée, le contrat février sur le Brent perd 1,2% à 32,9 dollars tandis que celui sur le WTI américain lâche 0,8% à 32,6 dollars.
Après trois mois de repli quasi-ininterrompu, le Brent de mer du Nord comme le brut léger américain reviennent en direction de plus bas de 12 ans.
'La correction des cours pétroliers atteint désormais une amplitude et une durée supérieures à tous les phases baissières depuis 1970, y compris celle de 1986', souligne Morgan Stanley.
'Aucune inversion de tendance ne semble se profiler pour les deux trimestres à venir et nous ajustons nos estimations en conséquence', ajoute le bureau d'études, qui recommande aux investisseurs de se montrer 'patients'.
Même analyse du côté de BofA-Merrill Lynch, qui juge qu'il est 'encore trop tôt pour affirmer qu'un plancher a été touché au vu des risques constitués par une nouvelle dépréciation du yuan ou d'une poursuite de la guerre des prix au sein de l'OPEP'.
Les analystes de BofA-Merrill Lynch - qui jugent qu'une stabilisation du dollar constitue également une condition nécessaire pour une remontée des cours - ont ramené lundi leur prévision moyenne pour le Brent à 46 dollars cette année, au lieu de 50.
Pour le brut américain, leur prévision passe de 48 à 45 dollars.
Les équipes de Société Générale réduisent elles aussi leurs prévisions pour 2016, à 42,5 dollars pour ce qui concerne le Brent (-11,25 dollars) et à 40,5 dollars pour le WTI (-9,25 dollars).
Selon les spécialistes, l'escalade des tensions géopolitiques entre l'Arabie Saoudite et l'Iran ne devrait pas conduire à un mouvement haussier des prix du pétrole dans un contexte marqué par une hausse des stocks.
Copyright © 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
A l'approche de la mi-journée, le contrat février sur le Brent perd 1,2% à 32,9 dollars tandis que celui sur le WTI américain lâche 0,8% à 32,6 dollars.
Après trois mois de repli quasi-ininterrompu, le Brent de mer du Nord comme le brut léger américain reviennent en direction de plus bas de 12 ans.
'La correction des cours pétroliers atteint désormais une amplitude et une durée supérieures à tous les phases baissières depuis 1970, y compris celle de 1986', souligne Morgan Stanley.
'Aucune inversion de tendance ne semble se profiler pour les deux trimestres à venir et nous ajustons nos estimations en conséquence', ajoute le bureau d'études, qui recommande aux investisseurs de se montrer 'patients'.
Même analyse du côté de BofA-Merrill Lynch, qui juge qu'il est 'encore trop tôt pour affirmer qu'un plancher a été touché au vu des risques constitués par une nouvelle dépréciation du yuan ou d'une poursuite de la guerre des prix au sein de l'OPEP'.
Les analystes de BofA-Merrill Lynch - qui jugent qu'une stabilisation du dollar constitue également une condition nécessaire pour une remontée des cours - ont ramené lundi leur prévision moyenne pour le Brent à 46 dollars cette année, au lieu de 50.
Pour le brut américain, leur prévision passe de 48 à 45 dollars.
Les équipes de Société Générale réduisent elles aussi leurs prévisions pour 2016, à 42,5 dollars pour ce qui concerne le Brent (-11,25 dollars) et à 40,5 dollars pour le WTI (-9,25 dollars).
Selon les spécialistes, l'escalade des tensions géopolitiques entre l'Arabie Saoudite et l'Iran ne devrait pas conduire à un mouvement haussier des prix du pétrole dans un contexte marqué par une hausse des stocks.
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