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Et vous? votre avis? - Page 75

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argilo argilo
12/07/2017 08:54:15
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Hors hydroélectricité (déjà saturé), stocker de l’énergie en grande quantité sur une longue période serait extrêmement coûteux et volumineux. Une batterie contenant un mégawattheure occupe le volume d’un conteneur maritime.

<p>Stocker la production des énergies intermittentes équivalente à celle d’un réacteur nucléaire pendant un mois représenterait plus d’un million de ces conteneurs.</p>
  
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TRADMEN TRADMEN
12/07/2017 07:34:57
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Singapour (awp/afp) - Les cours du pétrole étaient orientés à la hausse, mercredi en Asie, à la faveur d'informations faisant état d'une possible baisse des réserves américaines de brut.


Vers 05H00 GMT, le baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en août, progressait de 74 cents à 45,78 dollars dans les échanges électroniques en Asie.


Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en septembre, gagnait 69 cents à 48,21 dollars.


La fédération privée American Petroleum Institute a estimé que les réserves américaines de pétrole avaient reculé de 8,13 millions de barils la semaine dernière.


Une baisse des stocks américains est interprétée comme le signe d'un regain de demande au sein de la première économie mondiale, ce qui pousse les prix vers le haut.


Ces chiffres seront à comparer avec les données officielles du gouvernement américain attendues dans la journée de mercredi.


Pour Milan Cutkovic, analyste chez AxiTrader, la montée des cours tient à une anticipation des chiffres du gouvernement américain, mais également au respect des plafonds de production décidés par les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses partenaires.


Le cartel, a-t-il cependant estimé, devra prendre "d'autres mesures s'il veut une remontée" durable des prix au-dessus de 50 dollars.



  
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arbalupa arbalupa
11/07/2017 09:51:50
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Demandez donc aux USA de réduire leur PRODUCTION ainsi que leur POLLUTION !
  
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TRADMEN TRADMEN
11/07/2017 07:12:08
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11/07/2017 | 05:06


Singapour (awp/afp) - Les cours du pétrole étaient orientés à la hausse, mardi en Asie, en raison d'informations selon lesquelles la Libye et le Nigeria pourraient à leur tour se voir imposer des plafonds de production.


Vers 02H50 GMT, le baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en août, progressait de 18 cents à 44,58 dollars dans les échanges électroniques en Asie.


Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en septembre, gagnait 18 cents à 47,06 dollars.


L'Opep, associé à d'autres producteurs comme la Russie, a décidé fin 2016 de restreindre sa production afin de permettre aux prix de se redresser.


Ces efforts ont eu une portée limitée en raison notamment de la relance de la production américaine, notamment dans le pétrole de schiste.


Par ailleurs, la Libye et le Nigeria, tous deux membres du cartel, ont été exemptés des baisses de production car leurs extractions étaient auparavant perturbées par des crises géopolitiques.


Depuis, les deux pays africains sont parvenus à reprendre leur activité pétrolière et leurs extractions pèsent désormais sur le marché mondial.


Le marché est agité depuis lundi par des informations selon lesquelles le Nigeria et la Libye pourraient participer à la réunion de l'Opep dans deux semaines en Russie. Certains experts pensent que le cartel pourrait à cette occasion demander aux deux pays de prendre part aux efforts de l'organisation.


"La hausse de la production américaine reste un facteur qui pèse sur le marché", a cependant observé Dongyul Lim, de CMC Markets à Singapour.


"La production américaine a augmenté d'environ 11% sur un an."

  
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TRADMEN TRADMEN
09/07/2017 11:09:52
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Le 09.07.2017 à 06h00ABONNÉS


Depuis 2014, le parapétrolier subit de plein fouet la crise de l’or noir. Malgré un nouveau tour de table et une sévère restructuration, il risque de ne pas être sorti d’affaire avant 2020.
Vallourec
Vallourec revient de loin. L’effondrement du prix du baril de pétrole a fragilisé son modèle centré sur des clients énergéticiens.
AFP
Vivienne Cox a dû donner de la voix pour calmer les actionnaires de Vallourec, réunis en assemblée générale le 12 mai à la Mutualité, à Paris. Comme l'an dernier, le leader mondial du tube sans soudure ne distribuera pas de dividende. Alors, la présidente du conseil de surveillance du parapétrolier, malmené depuis 2014 par le bas niveau du cours du pétrole, a tenté de rassurer : " Les épreuves sont l'occasion de tester le tempérament des sociétés et de leurs dirigeants. " Pas facile de calmer la défiance avec un cours de Bourse à 5 euros. Certes, c'est mieux que les 3 euros de 2016, mais loin aussi des 50 euros de 2012 ou des 100 euros de 2010.


Vallourec revient de loin. L’effondrement du prix du baril de pétrole a fragilisé son modèle centré sur des clients énergéticiens. Et des mois d’errements stratégiques l’ont précipité au bord de la faillite. De 2014 à 2016, son chiffre d’affaires a fondu de moitié, passant sous les 3 milliards d’euros. Pour la troisième année consécutive, résultat d’exploitation et résultat net sont en perte de plusieurs centaines de millions. Chaque mois, l’entreprise brûle du cash. Pour colmater les trous, le sidérurgiste s’est donc décidé, il y a un an et demi, à employer la manière forte.


Augmentation de capital
Première urgence : éponger les pertes. Le 1er février 2016, Philippe Crouzet, le président du directoire, annonce une augmentation de capital d’1 milliard d’euros. Bpifrance régale pour une bonne moitié, avec le japonais Nippon Steel, un partenaire de longue date du parapétrolier. Ils se sont même engagés sur des obligations convertibles à 11 euros pour prouver leur foi dans le redressement. Ce qui a permis à Vallourec de lever 100 % des fonds espérés quand d’autres, au même moment, n’y sont pas parvenus. Un administrateur s’en étonne presque : « L’opération a été très bien menée. » L’entrée en force de ces actionnaires était évoquée dans les couloirs de la banque Lazard, conseil du japonais, depuis plus d’un an. Mais un négociateur raconte : « Crouzet ne voulait pas s’y résoudre. » Avant d’ouvrir son capital, il en a donc profité pour renouveler son mandat au nez et à la barbe des Japonais et de Bercy. Conscient qu’une fois l’opération faite, il lui faudrait bien ouvrir les portes de la maison à des administrateurs plus regardants. « Là encore, Crouzet a résisté, se souvient un autre intermédiaire. Les Japonais ont péniblement obtenu un siège au conseil. » Depuis le 12 mai, c’est chose faite : Yuki Iriyama, un avocat japonais, siège chez Vallourec. Mais, ayant fait l’essentiel de sa carrière à Nippon Steel, il sera écarté des discussions au moindre soupçon de conflit d’intérêts. Crouzet s’en est assuré.


Deuxième priorité : la restructuration industrielle. « Mieux vaut tard que jamais », soupire Fabrice Farigoule, du cabinet indépendant Alpha Value. La profondeur de la crise a obligé Vallourec, plus timide que ses camarades (lire encadré ci-contre), à se transformer radicalement. Fini la dentelle. L’empreinte industrielle européenne est divisée par deux : en deux ans, 5 000 salariés disparaissent du continent. Les investissements sont coupés de plus de 50 %. Et si le management veut « renforcer l’innovation », le budget R&D est amputé de près de 30 %. C’est que les tubes à haute valeur ajoutée, qui ont fait les belles années de Vallourec, n’ont plus cours. Les compagnies pétrolières privilégient le tout-venant. Il faut donc se battre sur ces volumes qui restent.


Virage low cost
C’est d’ailleurs l’autre volet de la restructuration. Fin 2016, la fusion des deux usines brésiliennes et la montée à 100 % au capital du chinois Tianda à Changzhou visent bien ce marché : le tube low cost. Même chose aux Etats-Unis où, depuis janvier, les commandes bondissent, pour le plus grand bonheur de Vallourec. Philippe Crouzet évoque d’ailleurs cette nouveauté : « Un forage aux Etats-Unis aujourd’hui ne coûte qu’1 million de dollars, contre 5 milliards pour un programme offshore. Cela change tout ! » Mais cette reprise est « un écran de fumée car ces prix bas n’assurent pas de marge », pointe un connaisseur.


De ces bouleversements, Philippe Crouzet sort pourtant rasséréné. « Il aura fallu seulement onze mois pour transformer complètement le groupe ! » s’est-il écrié, ravi, devant ses actionnaires, début mai. Mais la transformation n’a pas encore porté les fruits nécessaires au sauvetage définitif du groupe. Ainsi, Barclays estime à 500 millions d’euros le niveau de marge nécessaire à Vallourec pour cesser de brûler du cash. Un seuil que le groupe n’atteindra pas avant 2020, estiment les experts de la banque.


D’ici là, il faut tenir. En janvier, dans son rapport sur l’Etat actionnaire, la Cour des comptes écrivait : « La crise du secteur parapétrolier a nécessité des interventions de Bpifrance (CGG, Vallourec), dont les résultats restent à vérifier. » En effet, l’augmentation de capital lancée l’an dernier devait, selon le directeur financier du groupe, Olivier Mallet, mettre Vallourec à l’abri pour les années à venir, « quel que soit le scénario ». Sachant que le scénario de ce dernier était « une reprise des marchés du pétrole et du gaz en 2017. » A mi-parcours, le prix du baril joue encore au yo-yo. Et le cabinet Alpha Value n’exclut déjà plus une nouvelle augmentation de capital.





CGG encore plus frappé par la crise
Comme Vallourec, CGG n’apparaît pas en excellente posture. Placée sous le régime du Chapter 11 aux Etats-Unis et en procédure de sauvegarde en France depuis la mi-juin, la société d’exploration des sous-sols est prise à la gorge par une dette de 2,7 milliards de dollars. « Servir 170 millions de dollars par an de dette quand on dégage 1 milliard d’Ebitda, ça va, dit son PDG, Jean-George Malcor. Mais quand on n’en fait plus que 328 millions, les fins de trimestre deviennent très tendues. » CGG a été touché plus tôt que Vallourec par la crise du pétrole, dès 2013.


Et plus violemment. Du jour au lendemain, les clients pétroliers ont cessé leurs explorations : en trois ans, le chiffre d’affaires a été divisé par trois. Et les rares contrats ne couvrent même plus leurs coûts. Impossible de faire le dos rond. Malcor a donc réagi vite et fort : en trois ans, les effectifs sont réduits de moitié, le nombre de bateaux divisé par quatre, et 3,2 milliards dollars d’actifs sont dépréciés. Résultat, en 2016, « la restructuration industrielle est derrière nous », assure le PDG. Reste à finaliser sa restructuration financière. Rendez-vous en octobre avec les actionnaires pour avaliser un plan de redressement qui autorisera les créanciers à convertir les dettes en capital. Bpifrance, actionnaire à hauteur de 9,35 %, qui ne souhaite pas être dilué, réserve pour l’heure sa réponse.
  
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TRADMEN TRADMEN
05/07/2017 07:04:16
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Vallourec11,30%-0,02%
  
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TRADMEN TRADMEN
30/06/2017 07:13:54
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TRADMEN TRADMEN
27/06/2017 07:05:24
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Le nombre de puits en activité aux Etats-Unis, un indicateur avancé des extractions, a de nouveau augmenté la semaine dernière de 11 unités, à 758, selon le décompte hebdomadaire du groupe privé Baker Hughes publié vendredi. C'est la 23e semaine d'augmentation consécutive.
  
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TRADMEN TRADMEN
21/06/2017 07:41:58
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Les cours de l'or noir ont cédé près de 2,5 % mardi sur fond d'inquiétude autour de la production libyenne. Dans le détail, le WTI, référence américaine, a perdu 2,69 %, à 43,01 dollars, et le brent 2,37 %, à 45,81 dollars. Il s'agit de leur plus bas niveau depuis novembre. Les investisseurs craignent que les efforts de l'Opep pour rééquilibrer le marché en réduisant la production ne soient vains. Le cartel a décidé de prolonger de neuf mois la réduction de production pour soutenir les cours.


La production en Libye - exemptée des quotas - est au plus haut depuis quatre ans, après la résolution d'un conflit avec la société allemande Wintershall qui a permis de recommencer à pomper de l'or noir dans deux champs de pétrole. « L'objectif de produire 900.000 barils par jour est donc virtuellement atteint », expliquent les analystes de Commerzbank, relayant des informations de Reuters parues lundi. La tendance est la même pour la production du Nigeria, lui aussi exempté de participer à l'accord. Si bien que, dans son dernier rapport mensuel, l'organisation concède que sa production a augmenté de 336.000 barils, à 32,14 millions.


Autre facteur de pression : les stocks. Aux Etats-Unis, les réserves continuent de progresser malgré l'arrivée de la « driving season », notamment en ce qui concerne les produits distillés. Les stocks d'essence ont ainsi augmenté de 2,1 millions de barils la semaine dernière, selon les chiffres du département de l'Energie, alors que les analystes s'attendaient à une baisse. Ces chiffres avaient déclenché une chute de plus de près de 4 % des prix . En mer, les stocks augmentent également : selon Kpler, une société de suivi de cargos, 111,9 millions de barils sont stockés au large sur des tankers. Il s'agit du plus haut niveau depuis le début de l'année.


Enfin, rien ne semble arrêter la reprise de la production américaine. Semaine après semaine, le nombre de plates-formes de forage ne cesse de progresser. Selon le dernier décompte de la société Baker Hughes, 893 puits étaient actifs, un niveau atteint en mai 2015. Selon le département américain de l'Energie, la production outre-Atlantique est montée à 9,33 millions de barils par jour, près de son plus haut niveau d'août 2015.


Dans ces conditions, même les investisseurs les plus optimistes ont perdu espoir de tout rebond des cours. Le « hedge fund » de Pierre Andurand, l'un des plus importants sur le pétrole et qui a fait fortune lors de la chute du baril en 2014-2015, a ainsi liquidé toutes ses positions acheteuses fin avril après avoir parié sur une hausse dans le sillage de l'accord de l'Opep. A fin mai, son fonds a perdu 17,3 % sur un an .


Etienne Goetz,
  
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TRADMEN TRADMEN
20/06/2017 13:01:54
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20/06/2017 | 12:45


Londres (awp/afp) - Les prix du pétrole repartaient à la baisse mardi en cours d'échanges européens, tombant à des plus bas en sept mois, dans un marché toujours lesté par la surabondance de l'offre mondiale.


Vers 10H30 GMT (12H30 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 46,15 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 76 cents par rapport à la clôture de lundi. Le cours du Brent est tombé mardi vers 10H15 GMT à 45,85 dollars, son niveau le plus faible en sept mois.


Dans les échanges économiques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de juillet, dont c'est le dernier jour de cotation, cédait 76 cents à 43,44 dollars. Le cours du WTI est tombé vers 10H20 GMT à 43,22 dollars, au plus bas depuis mi-novembre.


"L'avenir est peut-être radieux pour les cours du pétrole, mais le présent ne l'est pas", a commenté Tamas Varga, analyste chez PVM.


"Les prix ont encore pris un coup lundi, de nouvelles informations sur l'offre faisant d'une éventuelle reprise des cours dans l'immédiat un voeu pieux", a observé l'analyste.


En effet, les dernières données hebdomadaires publiées par la société privée Baker Hughes, qui sont considérées comme un indicateur avancé de la production de pétrole aux États-Unis, a une nouvelle fois montré vendredi que l'extraction de pétrole de schiste ne cesse d'augmenter dans le pays.


Et au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui s'est accordée avec certains pays partenaires pour limiter la production sur l'ensemble de l'année, certains pays exemptés de cet accord voient leur production croître, ont relevé des analystes.


La Libye et le Nigeria, exempts des limites du fait de problèmes géopolitiques qui pèsent sur leur industrie pétrolière, ont vu leur production monter en mai, et selon des informations de presse elle continue de croître dans les deux pays.


Et cette perspective pesait sur les cours mardi.


Pour Tamas Varga, "l'organisation pourrait avoir à s'occuper rapidement des niveaux de productions" de la Libye et du Nigeria.


Les investisseurs attendaient par ailleurs la publication mercredi des données hebdomadaires sur le niveau des réserves de pétrole aux États-Unis par le département américain de l'Énergie (DoE).


Selon la prévision médiane des analystes interrogés par l'agence Bloomberg, les réserves de brut devraient avoir baissé de 1,2 million de barils lors de la semaine close le 16 juin, après un repli de 1,7 million de barils la semaine précédente.


Les investisseurs scruteront surtout les stocks d'essence, qui s'étaient étoffés de façon inattendue de 2,1 millions de barils lors de la semaine close le 9 juin. Pour la semaine dernière, les analystes s'attendent à une nouvelle hausse, mais bien moindre, de 101.000 barils.


acd/nas
  
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TRADMEN TRADMEN
13/06/2017 22:21:08
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En début d'après-midi, ce mardi 13 juin, le titre du fabricant de tubes sans soudure était très recherché et affichait une hausse de plus de 4%. Le regain de fermeté des prix du pétrole brut soutient l’action.


La Bourse veut croire à la capacité de l’Opep à mieux maîtriser les prix du brut. Sur les marchés pétroliers, les prix s’inscrivaient donc en hausse, ce mardi 13 juin, aussi bien pour le brut léger américain (West Texas Intermediate-WTI), à 46,20 euros (+ 0,39%) que pour le brut de la Mer du Nord, à 48,41 euros (+0,29%).




Fournisseur de premier plan du secteur, Vallourec bénéficie de la confiance retrouvée des marchés pétroliers. Il est vrai que l’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de brut, semble vouloir réduire à nouveau ses livraisons à certains clients du Royaume et aux États-Unis, selon l’Agence Reuters.


En juillet prochain, l’Arabie saoudite diminuerait ainsi ses livraisons de brut à l’Asie d’environ 300.000 barils par jour, soit une réduction encore plus importante que celle de ce mois de juin. De même source, les volumes de brut livrés aux États-Unis par le Royaume baisseraient donc de 35%, pour le même mois.


La fermeté des prix du brut s’explique aussi par la publication du montant des stocks à Cushing (Oklahoma), l’un des plus grands terminaux pétroliers des Etats-Unis, qui s’est contracté de 1,8 million de barils, la semaine dernière.


Les prix du brut n’en demeurent pas moins en repli de 15% depuis le début janvier dernier, comme d’ailleurs le cours de l’action Vallourec (-15%) sur la même période. Car le formidable rebond du titre de l’équipementier français (+65,5%) en un an a bien besoin du carburant des prix du pétrole pour conforter son retour en grâce.


Le marché a apprécié les prévisions, données en début d’année, d’une réduction de la perte brute d’exploitation de Vallourec, de 219 millions en 2016, à 119/169 millions d’euros, en 2017 et d’une contraction de la dette.


Mais, c’est aussi le redémarrage de la production de pétrole de schiste, l'équipementier fournissant les acteurs américains de ce secteur, qui est à l'origine de la remontée du titre depuis un an.
  
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TRADMEN TRADMEN
05/06/2017 09:01:39
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Si l’opération Saudi Aramco se fait, ce sera la plus grosse introduction en Bourse de l’histoire. Et une révolution politique pour le royaume wahhabite, qui gardait la haute main sur l’une des sociétés les plus riches, secrètes et tentaculaires de la planète. La chute des prix du brut, de 114 dollars, en juin 2014, à 50 dollars, aujourd’hui, et la grande opacité de la société ont freiné le lancement du processus, mais Riyad est bien décidé à prendre ce virage historique depuis la nationalisation de l’Aramco, en 1980.
Lire aussi : L’Arabie saoudite lance le premier emprunt de son histoire


« Nous sommes optimistes. Les marchés pétroliers ont commencé à se redresser et nous nous attendons à ce qu’ils se redressent davantage en 2017, a déclaré Amin Nasser, le PDG de l’entreprise, au congrès mondial de l’énergie, à Istanbul, mardi 11 octobre. Je pense que 2018 sera le bon moment. » Cette ouverture d’environ 5 % du capital est l’une des mesures phares du plan « Vision 2030 » présenté en avril par le vice-prince héritier, Mohammed Ben Salmane, pour moderniser et diversifier l’économie saoudienne.
Quatre à six fois la valeur d’Apple
Les dirigeants de la compagnie sont prêts à vendre des parts dans les étapes de raffinage et de distribution mais aussi dans le cœur de métier, la production de pétrole, a révélé M. Nasser dans un entretien à l’agence Bloomberg. Même si l’on ignore la valorisation précise de l’entreprise, estimée entre 2 000 et 3 000 milliards de dollars par Riyad (soit quatre à six fois celle d’Apple), ses dirigeants attendent de cette mise en Bourse plus de 100 milliards de dollars – quatre fois les fonds levés par le géant chinois du commerce en ligne Alibaba, en 2014. Saudi Aramco sera coté à Riyad et probablement à New York, Londres ou Hongkong, a indiqué le PDG.
Lire aussi : A l’OPEP, un accord surprise… mais fragile


« Nous devons faire un gros travail en interne pour nous préparer à cette cotation, a reconnu M. Nasser. Nous introduisons en Bourse une part de la compagnie entière, pas seulement le “downstream” [raffineries, stations-service…] », et « il n’y a pas d’obstacles », les acheteurs potentiels devant « évaluer la taille d’Aramco et sa complexité ». C’est peu dire que le groupe est complexe puisqu’il gère jusqu’à des écoles, des fermes et des hôpitaux. Et est une véritable boîte noire. Les investisseurs seront prudents. Les réserves de brut et de gaz n’appartiennent pas à la Saudi Aramco et n’ont jamais fait l’objet d’un audit, contrairement à celles des majors occidentales, qui répondent aux critères de la Security and Exchange Commission, l’autorité des marchés financiers américaine. Cela fait vingt ans que Riyad affirme posséder 260 milliards de barils – l’équivalent de soixante-dix ans de production au rythme actuel –… sans avoir fait de découvertes majeures entre-temps.

  
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TRADMEN TRADMEN
02/06/2017 10:42:11
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Bonjour courant 2018 Saudi Aramco souhaite introduire la société en boursedonc il ni a aucun intérêt à faire chuter le cours du pétrolemécaniquement Vallourec va bénéficier de cet engouement.Les vadeux sont les acheteurs de demain ...Donc patience ...
  
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TRADMEN TRADMEN
02/06/2017 07:39:04
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"Le retrait de l'accord de Paris a poussé des courtiers à vendre du pétrole parce que les décisions de Trump pourraient, en théorie, entraîner une hausse de la production", a déclaré Chris Weston, analyste chez IG Markets à Melbourne.
  
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TRADMEN TRADMEN
28/05/2017 13:49:10
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Une fois sur le marché, près 700 millions de barils d’or noir américain viendront enrichir de façon significative le budget des États-Unis, mais risquent également d’entraîner des conséquences dans un monde « aussi incertain que le nôtre ».


extraction de pétrole
© AP PHOTO/ HASAN JAMALI
L’OPEP maintiendra le gel de la production de pétrole
Donald Trump cherche à mettre la main sur la réserve stratégique américaine de pétrole et à en vendre pas moins de la moitié, relate le site de CNN citant ses sources. Ce marché pourrait rapporter gros au budget américain, explique le média qui rappelle que le pétrole conservé dans la réserve a été acheté pour 29 dollars le baril et que dans le cas où il serait vendu son prix se situerait plutôt aux alentours de 50 dollars.
« À l'exception du fait que la vente sera espacée dans le temps, on sait peu de choses sur le timing de cette initiative. Mais conformément au budget annoncé par Trump pour 2018, cela va rapporter près de 16,6 milliards de dollars d'ici 10 ans », a déclaré Mick Mulvaney, directeur du budget à la Maison-Blanche.


Extraction de pétrole
© SPUTNIK. ROSNEFT / SERVICE DE PRESSE
L'extraction de pétrole russe bientôt interdite aux Américains?
Selon la chaîne américaine, le chef de la Maison-Blanche envisage de justifier cette démarche par l'augmentation de la production pétrolière aux États-Unis. « Les risques pour la sécurité nationale [qu'implique cette vente] sont bas dans le contexte de la hausse de production que nous enregistrons maintenant », indique CNN.
Si certains experts estiment que le moment est bon pour alléger la réserve, d'autres mettent pourtant en garde contre les risques que la vente en question peut comporter:
« La Réserve stratégique de pétrole sert de tampon. Ce serait fou de la vendre en raison d'un boom de la production intérieure, dont la durée reste incertaine », affirme Jason Bordoff, directeur du Centre de la politique énergétique global à l'Université de Columbia.
  
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TRADMEN TRADMEN
21/05/2017 09:14:26
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Premier fournisseur de pétrole sur le marché chinois, la Russie a exporté vers ce pays 100 millions de tonnes d’or noir depuis le lancement de l’oléoduc Skovorodino-Mohe.


En six ans, la Russie a livré à la Chine 100 millions de tonnes de pétrole via l'oléoduc reliant Skovorodino (Russie) à Mohe (Chine), relate ce samedi l'agence Chine nouvelle.


L'oléoduc Russie-Chine est une branche du système de transport de pétrole russe Sibérie orientale-Pacifique (VSTO) destiné à exporter le pétrole de Sibérie occidentale et orientale vers la région Asie-Pacifique.




L'Arabie saoudite cède le marché chinois à la Russie
Cet oléoduc, dont la longueur atteint 1 000 km, débute dans la région russe du fleuve Amour et se termine dans la province chinoise du Heilongjiang, dans le nord-est du pays. Il a été inauguré le 29 août 2010, et les livraisons de pétrole ont commencé en 2011. Plusieurs contrats ont été signés entre les sociétés pétrolières russe « Transneft », « Rosneft » et la China National Petroleum Corporation (CNPC).
Selon le rapport mensuel de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), la Russie constitue à ce jour le premier exportateur de pétrole vers la Chine, devançant l'Arabie saoudite.
  
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TRADMEN TRADMEN
19/05/2017 07:35:56
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DJ UPDATE: Brésil/corruption: Temer dans la tourmente, chute des marchés


[18/05/2017-06:51 ]

(actualise avec réouverture de la Bourse, déclarations)

BRASILIA (AFP) -- Les graves accusations de corruption visant Michel Temer ont provoqué jeudi une chute brutale des marchés, alors que les appels à la démission se multiplient contre le président brésilien.
Signe de l'inquiétude des marchés, la séance de la bourse a été suspendue après une chute de plus de 10% du principal indice brésilien et de quasiment 6% du réal. À la réouverture des marchés, environ une demi-heure plus tard, la Bourse cédait 8,7%, dans ce pays frappé par une récession historique.
Plusieurs perquisitions ont été lancées dès l'aube à Brasilia, Rio de Janeiro et Belo Horizonte (sud-est), après des révélations explosives publiées la veille sur le site du quotidien O Globo.
De nombreux partis d'opposition ont aussitôt demandé la démission du président conservateur, et des dizaines de manifestants défilaient dans la rue aux cris de "Temer dehors".
À Brasilia, les réunions à portes closes se multipliaient jeudi au Congrès, avec de fortes rumeurs de divisions au sein de la base parlementaire du gouvernement.
"La démission est le chemin le plus facile pour résoudre ce problème, mais la décision revient exclusivement au président de la République", a affirmé à des journalistes Ana Amélia, sénatrice du PP (centre-droit) qui se définit comme "indépendante" même si sa formation fait partie de cette base parlementaire.
M. Temer a annulé tous ses rendez-vous prévus dans la journée pour se réunir avec ses conseillers, dans l'attente d'un éventuel discours à la Nation, que les médias brésiliens annoncent pour 16H00 (19H00 GMT).
- Un allié-clé en pleine disgrâce -
Selon le journal O Globo, le président a été enregistré par un chef d'entreprise en train de donner son accord pour le versement de pots-de-vin pour acheter le silence d'Eduardo Cunha, ancien patron de la chambre des députés, aujourd'hui en prison pour son implication dans le méga-scandale de corruption Petrobras.
O Globo révèle que M. Temer a rencontré le 7 mars Joesley Batista, un des propriétaires du groupe J&F, qui contrôle notamment le géant de la viande JBS.
M. Batista s'est enregistré secrètement alors qu'il expliquait au chef de l'Etat qu'il versait des sommes d'argent à Eduardo Cunha pour acheter son silence.
"Tu dois maintenir ça (les pots-de-vin)", a alors répondu le président Temer, sans savoir qu'il était en train d'être piégé par l'enregistrement de son interlocuteur.
L'onde de choc a aussi atteint un allié politique clé de M. Temer, l'influent sénateur Aécio Neves, président du PSDB (droite), principale formation associée au parti PMDB du chef de l'Etat, et candidat malheureux de la dernière présidentielle.
O Globo révèle que Joesley Batista a aussi remis aux autorités un autre enregistrement compromettant, dans lequel M. Neves aurait demandé 2 millions de réais (environ 570.000 euros) de pots-de-vins.
Les perquisition de jeudi matin ont ciblé plusieurs propriétés du sénateur, dont le mandat a été suspendu par la Cour Suprême. Selon les médias brésiliens, le procureur général a demandé son arrestation, alors que sa soeur a déjà été interpellée à Belo Horizonte.
- Frank Underwood brésilien -
En 2014, M. Neves a perdu de justesse au second tour face à Dilma Rousseff, réélue avant d'être destituée en août 2016 pour maquillage des comptes publics.
Dauphine de l'icône de la gauche Luiz Inacio Lula da Silva (2003-2010), lui-même visé par cinq procédures judiciaires dans le cadre du scandale Petrobras, Mme Rousseff a été remplacée, jusqu'à la fin du mandat fin 2018, par Michel Temer, qui était son vice-président et s'est depuis lancé dans une série de réformes d'austérité.
Les militants de gauche l'accusent d'avoir orchestré un "coup d'État", notamment avec Eduardo Cunha, pour prendre le pouvoir.C'est justement l'ancien chef des députés, parfois comparé à Frank Underwood, héros manipulateur de la série américaine "House of Cards", qui risque de le précipiter indirectement dans sa chute.
Le journaliste qui a obtenu le scoop, Lauro Jardim, a expliqué à la radio CBN qu'il n'avait pas entendu personnellement les enregistrements, mais qu'il avait eu accès à "une description la plus détaillée possible". Selon lui, ils ont été présentés aux autorités dans le cadre d'un accord avec la justice en échange d'une remise de peine.
L'entreprise JBS avait déjà défrayé la chronique en mars pour son implication dans un scandale de viande avariée.
Premier exportateur mondial de viande, le Brésil avait alors dû faire face à un embargo total ou partiel de la part d'une vingtaine de pays, avec de dures négociations à la clé pour obtenir la réouverture progressive des marchés.

(END) Dow Jones Newswires
May 18, 2017 12:51 ET (16:51 GMT)



  
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TRADMEN TRADMEN
18/05/2017 20:51:06
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18/05/2017 | 18:07


Londres (awp/afp) - Les cours du pétrole remontaient jeudi en fin d'échanges européens, les marchés conservant un optimisme prudent à l'approche de la réunion de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de ses partenaires.


Vers 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet valait 52,57 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 36 cents par rapport à la clôture de mercredi.


Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de juin prenait 37 cents à 49,44 dollars.


Après avoir nettement rebondi la semaine dernière, les prix de l'or noir évoluent depuis plusieurs séances sans direction forte.


"Les prix du pétrole sont coincés dans une fourchette assez étroite depuis plusieurs séances. La force du dollar n'a même pas écorné le marché du pétrole, qui reste focalisé sur la réunion de l'Opep" qui se tiendra le 25 mai à Vienne, a commenté David Madden, analyste chez CMC Markets.


Le cartel s'était accordé fin 2016 pour abaisser sa production de brut au premier semestre 2017, un effort auquel s'étaient joints plusieurs grands producteurs mondiaux, dont la Russie.


Alors que le but affiché du cartel, un rééquilibrage du marché qui écluserait les réserves mondiales de brut pour les faire redescendre à leur moyenne sur cinq ans, n'a pas été atteint, l'Arabie Saoudite et la Russie, les deux plus grands producteurs mondiaux, ont dit en début de semaine vouloir faire "tout ce qui était possible" pour atteindre cet objectif.


"Si l'accord est renouvelé, et que les pays s'y tiennent, le marché mondial devrait être sous-alimenté au deuxième semestre", ont noté les analystes de Commerzbank.


"Ceci dit, le niveau de respect de l'accord (très élevé au premier semestre, ndlr) devrait s'amenuiser, car les pays participants risqueraient de perdre des parts de marché face au pétrole de schiste américain", ont-ils tempéré.


Les producteurs américains de pétrole non conventionnel ont profité de la hausse des prix pour relancer leurs coûteuses extractions.


js/acd/jmi
  
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TRADMEN TRADMEN
18/05/2017 07:05:25
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Vallourec
Totale netto shortpositie op 18 mei 2017: 9,13%
  
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TRADMEN TRADMEN
17/05/2017 07:32:04
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Totale netto shortpositie op 17 mei 2017: 8,98%
  
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