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Et vous? votre avis? - Page 77

Cours temps réel: 15,885  0,86%



chrisfenua chrisfenua
24/03/2017 07:21:32
0
pour le rebond nullos87

a 5.50 elle est pas chère
  
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TRADMEN TRADMEN
24/03/2017 07:03:24
0
Totale netto shortpositie op 24 maart 2017: 8,44%
  
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TRADMEN TRADMEN
22/03/2017 07:00:03
1
Totale netto shortpositie op 22 maart 2017: 8,87%

  
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TRADMEN TRADMEN
21/03/2017 06:57:19
0
Totale netto shortpositie op 21 maart 2017: 9,18%
  
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nullos87 nullos87
20/03/2017 20:55:05
0
Moi je me méfie des petrolieres!!
  
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chrisfenua chrisfenua
20/03/2017 20:53:45
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hello

à 5.50 c'est encore intéressant Vallourec j dis...mais elle peut être un peu moins chère encore j pense....

dans l secteur j regarde un peu + Bourbon qui a pris une bonne claque en 2 semaines.....-20%.....

le potentiel est pas mal non plus
  
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TRADMEN TRADMEN
20/03/2017 18:28:38
0
20/03/2017 | 17:19
L'OPEP PRÊTE À PROLONGER L'ACCORD AVEC LES PAYS NON-MEMBRES
Les pays de l'Opep penchent de plus en plus fortement vers une prolongation au-delà du mois de juin de leur accord de réduction de la production entré en vigueur le 1er janvier afin de rééquilibrer le marché, ont déclaré des sources internes au cartel, précisant que la Russie et les pays non membres de l'organisation devraient également y souscrire.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) s'est engagée le 30 novembre dernier à réduire sa production de 1,2 million de barils par jour (bpj) pour la ramener à 32,5 millions de bpj au premier semestre de cette année. La Russie et d'autres pays non-membres de l'organisation ont également consenti à réduire leurs pompages.


Cet accord a permis de faire remonter les cours du baril de brut, mais les stocks des pays industriels continuent d'augmenter et la hausse des prix a encouragé une relance de la production américaine de pétrole de schiste. Un nombre croissant de responsables de l'Opep pensent que six mois seront insuffisants pour réduire les stocks.


"Une prolongation (de l'accord) est nécessaire pour rééquilibrer le marché", a dit un délégué de l'Opep, ajoutant : "Toute prolongation de l'accord devra concerner les pays non-Opep."


En février dernier, des sources avaient rapporté à Reuters que le cartel pourrait prolonger son accord de réduction, voire mettre en oeuvre des baisses plus importantes à partir du mois de juillet si les stocks de brut ne parvenaient pas à descendre au niveau ciblé.


Selon les chiffres les plus récents, les stocks mondiaux ont atteint 278 millions de barils en janvier, un niveau supérieur à leur moyenne des cinq dernières années, alors que le cartel cherche à ce qu'ils retombent à ce palier.


Cinq autres sources au sein de l'Opep ont dit qu'il était de plus en plus clair que six mois seraient insuffisants pour stabiliser le marché, ajoutant là encore que tous les producteurs, de l'Opep comme hors-Opep, devaient être d'accord.


"Les ministres se rencontreront en mai pour arrêter leur décision, mais chacun devra être d'accord", a déclaré une source d'un des principaux pays producteurs de l'Opep.


La prochaine réunion ministérielle de l'Opep est prévue le le 25 mai à Vienne. Une réunion entre pays membres et non membres de l'Opep aura également lieu en mai, a dit le mois dernier le secrétaire général de l'organisation, Mohammad Barkindo.


"D'âpres négociations sont en cours", a dit une autre source.


La Russie, le plus important des 11 producteurs non membres de l'Opep qui se sont associés à l'accord, n'a pas publiquement annoncé si elle défendrait sa prolongation. Mais Moscou se méfie de la reprise de la production du pétrole de schiste aux Etats-Unis, qui pèse sur les cours.


Les ministres de l'Opep n'anticipent pas pourtant une forte relance de la production de pétrole de schiste en 2017. Une source au sein du cartel a précisé qu'elle devrait augmenter de 300.000 barils par jour cette année, un niveau dont le marché pourrait s'accomoder.


(Rania El Gamal et Alex Lawler, Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français, édité par Véronique Tison)


Valeurs citées dans l'article : London Brent Oil, WTI
  
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TRADMEN TRADMEN
20/03/2017 12:16:23
0
Bonjour peu importe le pourcentage un vadeur en entraîne un autre et du coup çela fait boule de neige ...
Les positions actuelles sont raisonnables ...Les vendeurs d'aujourd'hui hui sont les acheteurs de demain...
Après plus la position monte plus le risque d écart important est présent sur la valeur .
Cdlt
<p>


</p>
  
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TRADMEN TRADMEN
20/03/2017 07:06:23
0
Vallourec
Totale netto shortpositie op 20 maart 2017: 9,32%

  
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TRADMEN TRADMEN
16/03/2017 13:06:18
0
Londres (awp/afp) - Les prix du pétrole poursuivaient leur rebond jeudi en cours d'échanges européens, la baisse inattendue des réserves américaines ayant redonné un peu d'élan au marché depuis mercredi.


Vers 11H00 GMT (12H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai valait 52,22 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 40 cents par rapport à la clôture de mercredi.


Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat d'avril gagnait 34 cents à 49,20 dollars.


Les cours de l'or noir, qui avaient fortement reculé pour atteindre mardi leur plus bas niveau depuis plus de trois mois, rebondissaient depuis que les données hebdomadaires sur les réserves américaines ont montré un léger recul des stocks de brut.


"Les importations de brut ont reculé de 745.000 barils par jour, ce qui explique en grande partie la baisse des réserves", ont détaillé les analystes de Commerzbank, qui soulignent par ailleurs que la production américaine continue d'augmenter, "à 9,1 millions de barils par jour, son plus haut niveau depuis février 2016".


Alors que la surproduction mondiale pèse sur le marché depuis 2014, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et d'autres grands producteurs se sont accordés fin 2016 pour limiter leurs extractions et permettre au marché de retrouver l'équilibre.


Mais la hausse des prix qui s'en est suivie a permis aux producteurs indépendants américains de reprendre de plus belle leurs extractions de pétrole non conventionnel, plus coûteuses.


"Les grandes hausses des réserves américaines de brut sur le mois passé ont conduit les investisseurs qui pariaient sur une hausse du prix du WTI à perdre patience. L'accord de l'Opep est respecté à des niveaux historiques, mais les investisseurs se focalisent sur les réserves", a expliqué Michael Tran, analyste chez RBC Capital Markets.


"Il ne faut pas se focaliser entièrement sur les réserves américaines pour juger de l'état du niveau mondial car les stocks d'autres pays de l'OCDE commencent à reculer", a prévenu l'analyste.


js/jbo/cj
  
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TRADMEN TRADMEN
16/03/2017 07:05:37
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Totale netto shortpositie op 16 maart 2017: 9,39%

  
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TRADMEN TRADMEN
15/03/2017 07:01:42
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Totale netto shortpositie op 15 maart 2017: 9,29%
  
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TRADMEN TRADMEN
14/03/2017 06:38:08
0
Totale netto shortpositie op 14 maart 2017: 9,22%
  
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TRADMEN TRADMEN
13/03/2017 06:46:34
0
Totale netto shortpositie op 13 maart 2017: 9,12%
  
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TRADMEN TRADMEN
10/03/2017 07:08:59
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Totale netto shortpositie op 10 maart 2017: 8,67%

  
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TRADMEN TRADMEN
09/03/2017 07:12:54
0
Totale netto shortpositie op 9 maart 2017: 8,47%
  
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TRADMEN TRADMEN
08/03/2017 18:21:30
0
Photo
CONSEIL DU JOUR Par Johann Corric
Publié le 08/03/2017 à 15:18 - Mis à jour le 08/03/2017 à 15:18
Le redémarrage de la production de pétrole de schiste aux États-Unis depuis cet automne a ramené les investisseurs sur le titre. Un emballement peut-être prématuré alors que tous les doutes ne sont pas levés sur le producteur de tubes sans soudure.


Le géant des tubes sans soudure a publié des résultats annuels supérieurs aux attentes. Pourtant, son titre s’est effondré de 16% en deux jours. Le paradoxe n’est qu’apparent : les dirigeants ont donné des objectifs nettement inférieurs aux prévisions pour 2017.


Après une perte brute d’exploitation de 219 millions d’euros l’an dernier, ils visent un déficit compris entre 119 et 169 millions cette année, anéantissant au passage l’espoir de nombreux analystes de voir les comptes sortir du rouge dès 2017.


La déception a éclipsé d’autres éléments, plutôt po­sitifs, annoncés le 22 février dernier : la dette s’est contractée de 232 millions et le plan de transformation est en ligne avec les objectifs.


La hausse récente était excessive


Le redémarrage de la production de pétrole de schiste observé aux États-Unis depuis cet automne a ramené de nombreux investisseurs sur le titre Vallourec, considéré à raison comme l’un des principaux bénéficiaires du phénomène à la Bourse de Paris.


La forte hausse de l'action consécutive à cet engouement s’est toutefois révélée excessive. Le retour à un excédent brut d’exploitation positif ne se fera pas cette année, malgré la reprise américaine.


La situation financière est sous contrôle pour le moment, mais elle pourrait revenir sur le devant de la scène au cours des prochains trimestres si le groupe continue à accumuler les pertes.


La dynamique positive insufflée par le rebond aux États-Unis s’est brisée, privant au passage l’action de son principal catalyseur. Enfin, à 0,9 fois les fonds propres estimés pour 2017, le titre ne subit plus une décote excessive.


Le Revenu reste à vendre sur Vallourec.
  
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TRADMEN TRADMEN
08/03/2017 13:15:17
0



alle hedgefunds laten zien
1,25%AHL Partners
0,37%ALDEN GLOBAL CAPITAL LIMITEDLIABILITY COMPANY
0,46%AQR Capital Management
0,58%Adage Capital Management
0,33%Anchorage Capital Master Offshore
0,00%Arrowgrass Capital Partners
0,47%Balyasny Asset Management
0,35%BlackRock Institutional Trust Company
0,41%BlueCrest Capital Management
0,39%Bogle Investment Management
0,49%Citadel Advisors II
0,47%Cubist Systematic Strategies
1,98%Discovery Capital Management
0,00%Egerton Capital
0,50%EverPoint Asset Management
0,46%GAM Investment Management
0,37%GLG Partners
0,47%GSA Capital Partners
0,39%J.P. Morgan Asset Management
0,00%Jane Street Group

  
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TRADMEN TRADMEN
07/03/2017 13:16:06
0
Selon l'Agence internationale de l'énergie, le parc mondial de véhicules électriques aura décuplé entre 2015 et 2022. Mais il ne représentera encore qu'une goutte, en matière d'économie de pétrole.
Dans les cinq prochaines années, la voiture électrique va passer la vitesse supérieure. Le parc mondial aura été multiplié par plus de dix entre 2015 et 2022 selon les prévisions de l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Dans un rapport consacré au marché pétrolier dans les cinq prochaines années, l'agence basée à Paris table sur 15 millions de véhicules en 2022 contre 1,3 million en 2015.
Avec un développement aussi spectaculaire, l'impact sur la consommation de pétrole deviendra-t-il significatif? Non, répond l'AIE. Il ne représentera encore qu'une goutte d'or noir. Car les véhicules électriques ne compteront dans cinq ans que pour 1,1% du parc automobile mondial. Dans cet intervalle, les classes moyennes des pays émergents vont s'équiper en voitures à vitesse accélérée. Et l'écrasante majorité des modèles sera encore à essence. En Inde, la consommation de pétrole par habitant et par an devrait ainsi passer de 1,2 baril à 1,5 baril d'ici 2022, soit une hausse de 25%. Sans parler de la flotte de camions qui va continuer à s'étendre, en Asie du Sud Est et en Afrique.
» Voiture électrique: trois freins au développement
La Chine championne de l'électrique


Non seulement la part des voitures électriques dans le parc automobile restera marginale, mais, toujours selon les analyses de l'AIE, un véhicule à batteries sur deux sera hybride, donc consommera encore des hydrocarbures. Au final, l'ensemble des véhicules électriques devrait réduire la consommation de pétrole de 200.000 barils par jour. Le nombre peut sembler important. Mais il ne représentera, en 2022, que 0,19% de la consommation mondiale de pétrole qui atteindra 103,8 millions de barils quotidiens.
L'AIE prévoit que la moitié du parc électrique circulera en Chine où se multiplient les aides publiques à l'achat, les incitations fiscales et l'investissement dans les bornes de recharge.
Prix du baril stable


L'avenir du véhicule élecrique n'est qu'un tout petit chapitre du rapport de l'Agence publié lundi. Le document ne livre pas de prévisions précises de prix du pétrole, mais ses auteurs tablent sur un baril restant dans la fourchette de 50 à 60 dollars d'ici 2022. La hausse dynamique de la production, notamment aux États-Unis, au Brésil ou encore au Kazakhstan, et la progression des capacités des pays de l'Opep permettront de satisfaire la demande mondiale, en hausse de près de 6% sur cinq ans. L'AIE n'entrevoit pas de risque majeur de pénurie malgré la chute des investissements dans l'exploration et la production ces deux dernières années.
  
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TRADMEN TRADMEN
07/03/2017 12:53:11
1
Salut ptichat
Ton raisonnement est particulièrement intéressant,de plus il faut comprendre que la bourse d'antan est fini ...
Elle est devenue une source de revenu pour les Hedgefunds
La course au rendement avec démultiplication d'ordre à la vitesse de la lumière permet de s'enrichir vite et bien...
Peu importe l'entreprise ,le personnel, seul l'argent compte .
Il est aisément facile de se rendre compte de la décoloration du marché et du monde réel ...
Donc peu importe les commandes, l'avenir du pétrole...
Donc il faut suivre le courant ...attention au large il y a risque de noyade....

  
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