agrogeneration - Page 4

Et moi je l'avais oublié ...




Effectivement, par rapport à tout ça, si on remonte vers 0.39, un petit largage est envisageable afin de recharger sur les 0.34 (fibo + M 100)
Pas trop de volume, donc pas encore matière à paniquer par rapport aux news ...?...

Répondre

Salut dimitrievich et waine .


Pour info j ai vendu ma ligne hier sur 0,40 et ai terminé ce jour ma vente .
Simplement sur analyse graphique


Bonne continuation a vous 2

Répondre

Bonjour,


Ceci explique peut être cela...
J'espère que le conflit ne va pas dégénérer...
(pas pour le cours..qui en comparaison.. reste le cadet de mes soucis)


<p>Marché mer Noire


Le 10ème cessez-le-feu entre les forces armées ukrainiennes et les miliciens de la république populaire de Donetsk est désormais caduque et le conflit larvé s’est récemment intensifié. Annoncé fin février par les chefs de la diplomatie russe Sergueï Lavrov et ukrainienne Pavlo Klimkine, le nouveau cessez-le-feu a finalement été violé dès la première journée. Non seulement les bombardements ont repris mais ils ne touchent plus seulement la ville d’Avdievka. Pour rappel, cette dernière était jugée stratégique pour la liaison logistique (routière et ferroviaire) entre l’Ukraine et ses régions indépendantistes de Donetsk et de Lugansk. Ainsi, les faubourgs de Donetsk sont de nouveaux le terrain d’une guérilla urbaine notamment dans le quartier du Spartak. L’ancien président ukrainien, Mr Yanukovitch, exilé en Russie depuis 3 ans, a d’ailleurs profité du réchauffement des relations russo-américaines pour lancer un appel au président Trump fin février afin de mettre un terme aux affrontements. Quid de l’avenir des accords de Minsk II ? Alors que le conflit s’embourbe un peu plus tous les jours, les tractations politiques se poursuivent et personne n’est aujourd’hui en mesure de répondre.







</p>

Répondre

Un trou d'air ce jour avec un ordre de 544 000 titres vers 14h49...

Message complété le 09/03/2017 15:17:31 par son auteur.

24/04/17 Année 2016 Publication de résultats

Répondre

Bonsoir à tous,


Merci fidèle Waine ! ...et bonne nuit !


Pêche...... en Mer Noire,
On n'y voit beaucoup plus clair......avec des chiffres :


(Agritel)
Marché mer Noire


L’Ukraine aura exporté au cours du mois de février près de 2,9 Mt de céréales. Dans le détail, ce sont 842 000 tonnes de blé, 192 000 d’orge et 1,83 Mt de maïs qui ont été chargées. Malgré les problèmes logistiques rencontrés à l’automne, l’Ukraine montre une certaine avance par rapport au rythme de chargement observé au cours de la campagne précédente. En effet, à ce stade d’avancement de la campagne, 1,7 Mt de blé et 0,7 Mt d’orge de plus que l’année passée ont déjà trouvé acquéreur.


Parmi les principales céréales, on retiendra que l’Ukraine a exporté 13,5Mt de blé, 4,77 Mt d’orge et 11 Mt de maïs. Les disponibilités en blé et orge s’amenuisent significativement ce qui permettait d’ailleurs au prix du blé meunier 11.5% de grappiller 2 $ sur le marché physique hier.


------------------------------------


( Terre-net Media )
<p>Le cours du blé poursuit sa hausse depuis le début de semaine.


Sur Euronext à 14 h (13 h GMT), la tonne de blé grimpait de 75 centimes sur l'échéance de mars, à 175 euros, et de 50 centimes sur celle de mai, à 177,25 euros, dans un volume d'échanges de près de 34.000 lots.


Les prix étaient soutenus par « le déficit hydrique hivernal (qui) suscite toujours un peu d'inquiétude sur les cultures d'automne », aussi bien en Europe de l'ouest qu'en Amérique du nord, explique le cabinet Agritel.


Les céréales européennes peuvent aussi s'appuyer sur le repli de l'euro face au dollar, en théorie favorable aux exportations.


Par ailleurs, l'achat de blé français mardi par l'Egypte, premier importateur mondial, a « montré un resserrement de la compétitivité » entre les grands bassins de production (Mer Noire, Europe de l'Ouest, Etats-Unis), selon Agritel.


Du côté du maïs, malgré l'enthousiasme soulevé par des rumeurs de réformes favorables aux agrocarburants outre-Atlantique, les cours restaient stables.


A 14 h (13 h GMT), la tonne cédait 50 centimes sur l'échéance de mars, à 171,50 euros, et était étale sur celle de mai, à 176,25 euros, dans un volume d'échange de moins de 400 lots.
------------------


Égypte. ....Le maître mot avec...Le resserrement de la compétitivité. ..


A+









</p>

Répondre

Bonsoir alors et bonne pêche !!!

Répondre

Bonsoir à vous 3 !


Je vous ai trouvé..
www.agritechtrade.com
Pour les adeptes des AT (si vous ne l'aviez pas déjà... ).


Quant à moi .....Comme vous le savez ... sans les commentaires...


Je repars donc... à la pêche des dépêches.
A+

Répondre

Bascule autour 0.38 et nouveau canal

Répondre

Bonsoir Gab & Waine,


Merci pour le commentaire sur l’AT...


Agritel news...Lundi 27 Feb.


Marché mer Noire


Pour la seconde semaine consécutive l’Ukraine exporte presque 500 000 tonnes de maïs, en raison de la réactivation des achats européens. L’Afrique du Nord avec l’Egypte et le Moyen-Orient avec l’Iran et la Lybie reste également à l’achat. La cadence des exports de blé se stabilise également légèrement sous les 250 000 tonnes. En revanche, les exportations d‘orges chutent à seulement 7500 tonnes, preuve que les disponibles sont désormais limitées, ce qui n’exclue pas pour autant la possibilité de nouveaux panamax dans les semaines à venir.
(ndlr. ......Les voilà nos 250.000 tonnes et il reste encore un autre appel d'offre..(blé ) )
( et souvenez vous qu'un navire...Panamax . ...c'est 50.000 T / 60.000 T )


L’appétit acheteur des pays du Moyen-Orient pour le blé russe permettait au pays d’affréter 425 000 tonnes au cours de la semaine passée. Les destinations sont multiples : Egypte, Israël, Yémen, Syrie, Liban Turquie. L’achat de maïs russe par le Vietnam permet aux exportations hebdomadaires de dépasser les 80 000 tonnes. En orge, avec 15 000 tonnes, l’activité reste faible au regard des disponibilités restantes.
----------------------------------
Zone Mer Noire, toujours bien active..


Bonne fin de soirée.

Répondre

bonsoir les amis , voici le mensuel puisque mardi nous cloturerons le mois de fevrier .

cloturer sur 0,41 serait de bonne augure pour la suite et ainsi rallier les 0,50.

bon week end a tous

Répondre

Merci Dimitrievitch

Répondre

Très intéressant oui. On va voir pour la suite ...

Répondre

Bonsoir,
Rapport on ne peut plus intéressant...


-----------------
Info de Terre net. ...du 23 Février Pm


MARCHÉ DU BLÉ
Les fondamentaux maintiennent le marché sur une tendance durablement haussière


Selon Offre et demande agricole, qui organisait un point sur les marchés avec la presse mercredi 22 février 2017, les fondamentaux, notamment l’état des stocks mondiaux, maintiennent clairement le marché du blé sur une tendance haussière à long terme.


Selon ODA, les exportations de blé français et européens sont à un niveau trop important par rapport aux maigres disponibilités suite à la mauvaise récolte 2016. (©Terre-net Média)


A170 € la tonne rendue Rouen au 20 février, le prix du blé évolue dans un tunnel qui ne permet pas de compenser la mauvaise récolte 2016. Mais, selon Offre et demande agricole, les fondamentaux de marché maintiennent ces prix sur une tendance haussière à moyen et long termes.


L’état des stocks mondiaux, d’abord, reste déterminant dans les perspectives de prix à long terme. Certes les stocks sont importants du fait de très bonnes récoltes à l’échelle mondiale, hors Europe. Le bilan mondial en blé évalué par le ratio stock/consommation attendu par la société de conseil pour 2017-2018 pourrait être « le plus tendu depuis 2007 ».


« Plus de la moitié du stock mondial de blé est en Chine. Or cette majorité du stock n’est pas mobilisable. Un stock n’est intéressant que s’il est mobilisable », a expliqué Renaud de Kerpoisson, président fondateur d’ODA, lors d'un point presse mercredi 22 février 2017.


Le bilan blé, en jours de consommation, sans compter la Chine, sera le plus tendu en 2017/2018 depuis 2007. (©ODA)


Stock de blé mondial, en jours de consommation (©ODA)


Comme en 2015-2016 et 2016-2017, le stock mondial de blé va rester à son plus haut niveau en 2017-2018, équivalent à plus de 120 jours de consommation, contre 75 jours en 2007-2008. Mais sans le colossal stock chinois, ce bilan tombe à environ 72 jours !


Pour ODA, c’est d’abord la situation tendue sur l’offre qui pourra tirer les prix vers le haut. Même si la demande asiatique va être importante « mais difficilement mesurable ». « Tout le monde parle de la Chine et des difficultés à avoir des informations. Mais les Chinois donnent des chiffres, contrairement aux pays d’Asie du Sud-Est qui n’en donnent pas. » Or, c’est dans ces autres pays asiatiques que la croissance économique sera la plus forte ces prochaines années, de l’ordre de 6 %. Un taux de croissance « énorme ».


Les récoltes de céréales à paille de l’hémisphère sud ont été abondantes mais n’ont pas eu d’impact sur le marché mondial. « La production record argentine a été captée par le Brésil et par l’Afrique du Sud-Est où suite à la sécheresse de la campagne dernière, les besoins sont importants. La récolte record australienne a, elle, permis de répondre à la demande de l’Asie du Sud-Est et à un déficit important en Inde que le gouvernement local a fini par admettre après une tentative de manipulation sur les chiffres de récoltes. »


« On va avoir un problème si on continue d’exporter ainsi »


Sur le plan européen, les exportations de blé restent sur des niveaux comparables à la campagne 2015/2016 « alors que la faiblesse de la récolte nécessiterait une réduction d’un tiers pour équilibrer le bilan européen ». Une analyse fine des exportations par origine montre que les prochaines exportations ne pourront être réalisées que de France et d’Allemagne. Les autres pays européens ont épuisé leurs disponibilités.


Le cumul des exportations de blé de l'Union européenne reste au même niveau que les années précédentes


Volumes en Mt (©ODA)


« On va avoir un problème : la France mène une campagne d'exportation comme si elle avait fait une bonne récolte », estime Didier Nedelec, directeur général d’ODA.


Dans le même temps, la demande sur le bassin méditerranéen reste soutenue. Par exemple, bien que l’organisme public égyptien, le Gasc, ait importé des volumes équivalents à l’an dernier, le pays reste en retard de 2 millions de tonnes par rapport à l’an dernier. « Le secteur privé très fortement impacté par la dévaluation subite de la devise locale a quasiment arrêté son activité créant un déficit d’import de 2 millions de tonnes. » Moins d'une semaine après son achat de 360 000 t de blé, le Gasc a ainsi lancé mercredi 22 février 2017 un nouvel appel d'offres pour une livraison prévue entre le 25 mars et le 4 avril.
-------------------------------
Petit résumé d’Agritel du 22 Feb.

Sachez que dans les 360.000 T, il y a 60.000 T d'origine Ukrainienne..
La Russie passe devant une fois de plus (pour l'Égypte )...mais....
C'est ce nouvel appel d'offres qui sera intéressant de connaître, car la Russie est face à son rouble fort
et son marché intérieur lui, fait de la rétention à la vente....
J'en déduits donc que les cours du blé vont encore monté.


A+

Message complété le 24/02/2017 00:54:02 par son auteur.

....j'en déduis. ...une belle.

Répondre

Bonsoir,


Un petit mot de la part d’Agritel. ....
Au 17 Février ....
Du côté de la mer noire....tout va bien


PS:
Pas de cotations ce Lundi sur le marche de Chicago, ni ailleurs, aux USA.
C'est le jour du Président. ..
Moi je préfère la version Américaine. ..
C'est le..... Washington’s day.... ça m'évitera de déraper.


---------------------
Marché européen


Les marchés clôturaient en retrait hier soir, notamment sur ventes de précaution après la hausse de ces derniers jours. Ce repli s’accentuait d’ailleurs en fin de journée sous la pression de Chicago qui clôturait en net repli. Cela devrait conduire également à une ouverture en repli ce matin, tous produits.


Sur Euronext en blé les volumes demeuraient toutefois élevés, avec un peu plus de 58 000 lots échangés contre 484 sur son homologue coté par le CME. Sur Euronext le marché est venu tester la résistance des 177 €/t échéance mai, sans réussir à casser cette dernière.


Sur la scène internationale, l’Egypte a lancé un appel d’offre en blé dont le résultat sera connu dans l’après midi. Le Japon quant à lui, a acheté un peu plus de 113 000 t de blé meunier, origines USA et Canada. Les exportations européennes de blé portaient cette semaine sur un volume officiel de 263 636 t, portant le total depuis le début de la campagne à 15.54 millions de tonnes, contre 16.85 millions l’an passé à date. Les exportations d’orge cette année sont en net repli, affichées à date à 2.9 millions de tonnes contre 6.8 millions l’an passé.


Le maïs évoluait peu hier après le repli de ces derniers jours, dans un contexte de marché certes tendu en France, mais lourd au niveau mondial et avec des disponibilités mer Noire et sud américaines conséquentes.


Les cours du colza devraient ce matin subir la pression de la baisse constatée hier sur le soja et ce matin sur le palme. Hier soir les cours du canola cédaient également du terrain.


Marché américain


Net repli hier sur Chicago, dans un contexte de prises de profit après les récents mouvements de hausse.


Sur le maïs, l’inquiétude gagne les exportations américaines, compte tenu de la politique menée par Donald Trump face au Mexique, premier importateur de maïs origine USA. Le Mexique va certainement souhaiter diversifier ses approvisionnements par sécurité, notamment en se tournant vers le Brésil, où d’abondantes récoltes son attendues cette année.


Les chiffres hebdomadaires à l’export étaient cependant élevés avec en blé 569 100 t, soit au delà du haut de la fourchette des attentes, affiché à 500 000 t. Même situation en soja avec 1 097 400 t. Seul le maïs était plus partagé avec 1 068 700 t.


Les fonds se montraient hier nets vendeurs en soja pour 10 000 lots, en maïs pour 9 000 lots, et en blé pour 5 000 lots.


Marché mer Noire


Les origines ukrainiennes que ce soit en blé, maïs, ou soja restent compétitives comment en témoigne la cadence export pour chacun des ces produits. Ainsi, les prix sur le marché local suivent la légère tendance haussière observée sur les principales places mondiales. Le blé meunier gagne 2 dollars à l’échelle de la semaine pour s’afficher à 168$/t, en rendu port. Le maïs renoue avec ses plus hauts observés depuis la récolte avec 156-157$/t, CPT port.


Au cours des sept derniers jours, c’est en soja que l’on observe la plus forte progression. En effet cette graine a grappillé près de 10 dollars à l’échelle de la semaine pour s’afficher à 385$/t.
---------------------

Répondre

Merci Gab.


Bonne soirée et à demain pour un peu plus de volume...?
<p>




<p>
</p></p>

Répondre

ca y'est 0,40 devient support ?

on dirait bien .

le ptit train continue son chemin .

la suite demain les amis

Répondre

Salut les amis . Bonne journée et merci dimitrievitch pour le partage

Répondre

Salut Waine !


J'ai bien compris le message !!
A+...

Répondre

Salut dimi !


petit bilan sympa. Si on en a 1 par mois, on aurait une bonne vision globale de l'évolution des choses....

Répondre

Bonsoir à vous !


Nos amis Russes ne seraient ils pas un brun roublard ?
Comme déjà posté précédemment le rouble s'est renforcé. . oui mais... peut être un peu trop...
En revanche, l'intox sur leur production fait -15%....et ça c'est encore mieux dans le tableau...


L’Info au complet qui ne devrait pas faire de mal non plus..


C/C d’Agritel.com... Kanyachna! (bien sûr..)


ANALYSES 14/02/2017


Grains


Marché européen


Les cours progressaient sur Euronext, tous produits confondus, notamment sur cassure de points chartistes en blé, avec la résistance des 172 €/t qui ouvre la voie au test des 175 €/t sur l’échéance mars 2017. Le marché bénéficie également de la hausse des cours en Russie, liée principalement au renforcement du rouble. Les volumes sur Euronext sont conséquents avec près de 50 000 lots échangés en blé, alors que sur le CME ce sont 491 lots qui étaient traités hier, toutes échéances confondues. En Australie la récolte de blé de cette année est affichée à 35.13 millions de tonnes par Abares.


La parité euro/dollar évolue peu, alors que l’incertitude gagne également les USA quant à la politique de son nouveau président. Le pétrole quant à lui continue d’évoluer dans une fourchette étroite entre 52 et 55 usd/baril.


Sur la scène internationale on enregistre la vente de 101 600 t de maïs origine USA à destination non communiquée.


Le bilan maïs en Europe sera tendu de par la faiblesse de la collecte française notamment, sous les 10 millions de tonnes. Cependant les disponibilités ukrainiennes importantes devraient venir limiter le potentiel de hausse sur ce produit.


Le colza continue d’afficher sa fermeté, notamment dans le sillage du canola, alors que le soja marquait le pas hier, dans l’attente d’une récolte record au Brésil, qui pourrait atteindre les 105 millions de tonnes.


Marché américain


Les marchés étaient globalement stables hier sur le Cbot, même si on notait quelques ventes sur le soja. Les producteurs américains profitent des bons niveaux actuels pour sécuriser leurs prix, notamment en récolte 2017, avant l’arrivée massive des récoltes sud américaines. Celles ci sont réalisées à hauteur de 18 % maintenant au Brésil, et cela devrait venir peser sur les cours dans les semaines à venir.


Le maïs affichait une nouvelle fois une bonne activité avec des inspections à l’export à 1.256 millions de tonnes.


Les fonds se montraient nets acheteurs hier pour 5 500 lots de maïs, 2 500 lots de soja et 5 500 lots de blé.


En blé la hausse était contenue par la révision à la hausse de la production en Australie, affichée à 35.13 millions de tonnes, un record.


Marché mer Noire


A l’occasion d’une réunion au conseil de la Fédération de Russie, le vice-président de l’union russe des grains a souhaité mettre en alerte les autorités sur les conséquences du renforcement du rouble pour le marché céréalier domestique. Mr Korbut estime en effet, que si le rouble russe ne revient pas prochainement au niveau des 63-64 RUR/USD, le volume export de la fédération en sera significativement impacté. Le rouble s’est renforcé de 25% en l’espace d’une année et de 5% depuis le 1er Janvier.


Celui-ci indique que l’objectif à près de 39Mt d’export tel que transmis par les autorités russes est surévalué et prévoit un atterrissage 2016/17 sur un niveau proche de l’an passé, c’est-à-dire 33,9Mt…


A suivre et bonne fin de soirée. .

Répondre