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Consommer un peu plus local pourrait créer 150.000 emplois - Page 2

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Obywan Obywan
20/06/2018 12:25:00
0
bah alors tu serais surpris de voir que les légumes peuvent pousser à 800m d'altitude et même quelques fruits !!


tu as raison ne changeons rien !!
  
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CRI74 CRI74
20/06/2018 12:24:03
1
CQFD Gars d'Ain . Bien résumé .


Je pense à cette consommatrice devant un étal de cerises s'offusquer qu'une mouche puisse passer par là .
Mon dieu , évitent-elles les cerisiers en pleine nature ?
Où va se nicher la bêtise humaine et quelle couche représente-t-elle !!!
  
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jcleb70 jcleb70
20/06/2018 12:20:58
2
je veux acheter français, mais il n'y a pas d'offre... pour les équipements technologiques, pour l'electroménager, l'équipement de la maison... même pour s'habiller plus rien n'est fabriqué en France...
vous voulez acheter un costard ringard à 800 euros...
j'achete francais dès que possible : meubles GAUTIER, aspirateur ROwenta... mais j'ai voulu acheter un radiateur chez ccasto, plus de marque française du tout !!!
commençons par faire revenir les industriels en ayant une politique fiscal stable et équilibrée !!!

  
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gars d'ain gars d'ain
20/06/2018 12:12:39
2
Vous notez encore l'évolution de la connerie sémantique dans la mercantique qualitative...


Autrefois, jadis, dans le temps, auparavant... La majorité des produits étant français, Il devrait être précisé "Produit d'importation", mais aujourd'hui, le produit doit revendiquer le fait qu'il est Français pour essayer d'être vendu...


Le consommateur français en en général un con en puissance qui raisonne comme une buse, toujours principalement guidée par le moins disant au niveau du prix...


L'argument "Prix a détrôné la qualité en premier critère d'achat depuis le dénu des années 2000, et ça ne va pas en s'arrangeant...


Les organismes de certifications me font bien rire, car on peut même certifier de la "merde", la merde étant une forme de qualité, tout dépend du niveau d'exigence...


Pipeau, always pipeau...


Dans le même ordre d'idée, C'est toujours à celui qui fait bien en France à démontrer qu'il a respecté le cahier des charges, mais on a pour l'instant jamais obligé ceux qui produisent de la merde par wagons entiers à démontrer que c'était mangeable...
  
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b.toupin b.toupin
20/06/2018 12:10:47
1
ce n'est pas vraiment lma solution ! taxer appelle l'autre a faire pareil ! vous consommez sur des produits de monde entier
  
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b.toupin b.toupin
20/06/2018 12:09:06
1
faites comme moi ! je vais au marché toute l'année , chez moi en ile de france et en vacances aussi !
  
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CRI74 CRI74
20/06/2018 12:06:47
1
Non , bon sens avant tout !
  
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melvyn1 melvyn1
20/06/2018 12:02:57
0
tiens ! on commencerait à agir comme trump ? France avant tout !
  
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CRI74 CRI74
20/06/2018 11:54:50
1
Si on commençait par ne pas faire un tour d'Europe voire plus aux aliments afin de gagner (et ce n'est pas sûr ) trois balles de main d'oeuvre , il va de soi que la qualité augmenterait d'autant
  
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gars d'ain gars d'ain
20/06/2018 11:48:12
1
ça me fait bien rire... Comme le bio local publié hier...

Y'a de moins en moins de monde dans les filières d'études agro-alimentaires. Certaines formations pourtant indispensables comme des Bacs pro ferment par manque de candidats (Voir Lycée agricoles)...

Y'en a pleins aussi qui veulent pas se lever le matin, travailler posté, dans une atmosphère frigo avec une tenue, une charlotte, des ongles courts impeccables, des cheveux courts et un rasage correct...

Plus drôle encore, les agriculteurs faisant des fruits et légumes trouvent de moins en moins de main d'oeuvre pour travailler accroupi à ramasser des fruits et légumes, ou encore cueillir dans les arbres...

Concernant le bio Local, si on avait respecté un vrai cahier des charges comme en Suisse, le vrai Bio ne peut se concevoir que localement avec un minimum de km de transports des intrants, et non pas un maximum comme en France...

Ainsi en Suisse, un produit bio au sucre de canne ne peut pas exister...

D'autre part, le gouvernement semble oublier que les terres propices à maraichages sont les premières grandes victimes des ronds-points, des rocades, des ZAC tentaculaires et des lotissements à foison...

Essayez donc de faire pousser les fruits et légumes à 800 m d'altitude et on en reparlera...

Pipeau, always pipeau...
: (
  
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gars d'ain gars d'ain
20/06/2018 11:48:12
0

Produits "Made in France" mis en valeur dans un supermarché en Bretagne en 2013 (AFP/Archives/FRED TANNEAU)

Environ 150.000 emplois pourraient être créés si les ménages français changeaient leurs habitudes de consommation de manière à relocaliser en France 10% des biens importés, selon une étude du Conseil d'orientation pour l'emploi (COE) publiée mercredi.

Si trois Français sur quatre se disent prêts à payer plus cher pour consommer du "made in France" (sondage Ifop, 2017), "dans la pratique, les importations de biens par les ménages ont plutôt tendance à augmenter", constate le COE. L'organisme de réflexion, placé auprès du Premier ministre, a étudié les "effets" que pourraient avoir sur l'emploi une relocalisation en France de "10% de la consommation de biens actuellement importés par les ménages".

Cela représenterait l'équivalent de 11,2 milliards d'euros, soit "environ 33 euros par ménage et par mois".

La COE a ébauché deux scénarios : les produits français étant "plus chers" en moyenne, soit les ménages consommeraient ces produits en plus faible quantité, soit ils consommeraient autant qu'avant mais devraient réduire d'autres dépenses.

Dans le premier scénario, où les ménages "consomment moins au total, mais plus de produits français" par rapport à ceux importés, l'étude évalue le "potentiel de créations nettes d'emplois à environ 150.000 emplois".

Dans le second scénario, deux phénomènes sont à l'œuvre. Pour consommer autant qu'avant, les ménages doivent allouer 2,4 milliards d'euros supplémentaires aux biens concernés, qu'ils ne peuvent donc pas dépenser sur d'autres postes de consommation. Le COE émet l'hypothèse que cet arbitrage se ferait au détriment des "services". In fine, 190.000 emplois seraient créés par la relocalisation, mais 35.000 emplois seraient détruits dans les services, soit un "solde net" de 155.000 créations.

Par conséquent, "quel que soit le comportement du consommateur", "l'effet sur l'emploi est positif et de l'ordre de 150.000 emplois", selon le COE, qui ajoute qu'il "est permis de considérer que ces créations nettes d'emploi auraient un effet d'entraînement sur l'ensemble de l'économie".

La présidente du COE Marie-Claire Carrère-Gée, interrogée par l'AFP, prévient toutefois qu'il ne s'agit que d'un "potentiel théorique" de créations d'emplois, qui ne peut se concrétiser qu'à "condition que l'offre productive française soit au rendez-vous en volume, en compétitivité, en compétences". Selon elle, le bio, dont la consommation progresse mais avec toujours plus d'importations, est un contre-exemple. Dans ce secteur, "l'offre française n'est pas complètement au rendez-vous", estime-t-elle.

© 2018 AFP

  
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