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Macron veut poursuivre sa baisse de la fiscalité, et "avancer" sur les - Page 2

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fipuaa fipuaa
15/05/2023 15:44:06
3

depuis qu'il se prend pour Napoléon on rigole bien! Il a peur des casserolades alors des tirs de missiles hypersoniques sur l’Élysée il est prêt? Il va tellement creuser pour se planquer qu'il va atterrir dans le salon de Dubaisan !!

  
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glanglois glanglois
15/05/2023 09:56:59
6
Alors que l'imposition en France atteint des sommets , que les taxes augmentent sans cesses , je trouve que Macron se fou de notre gueule , lui qui a fait changer les indices pour le calcul des impôts afin que les Français payent toujours plus ,quand aux taxes certaines ont augmentées de 50% ..En déplaise à nos politiciens de bas étages impôts ou taxes c'est la même chose cela reste des impôts ..et des impôts injustes !!!La France sous Macron est devenu une république bananière , dirigé par un petit dictateur ...
  
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gars d1 gars d1
15/05/2023 08:22:10
4

Pour pouvoir poursuivre, il faudrait déjà que ça est commencé, hein..


Depuis qu'il est élu, on a assisté au grand numéro de bonneto fiscal et c'est d'autant plus vrai que l'on est même repassé en 3ème place du classement des revenus les plus prélévés avec toujours le même bonnet d'âne à 47% (et on est même repassé devant l'Autriche qui est 4ème).


Et on peut pas dire qu'en terme de services publiques et dettes, on soit meilleur que la Suède et le Danemark qui occupent les premières places du classement. Le pouvoir politique est un désastre et un champ de ruine permanent.


Nos services publiques sont en voie constante de décrépitude et la dette devient colossale, on continue la fuite en avant en construisant parmi de nouveaux bâtiments et de nouvelles infrastructures communautaires alors que l'on se montre incapable d'entretenir correctement l'existant : voir les écoles, les collèges et les lycées, les routes en particulier...


Bref, l'Etat à tout niveau vit très largement au dessus de ses moyens et n'assure plus ce que gens sont en droit attendre ce qui leur ait prélévé sur ce qu'ils gagnent


Pitoyable et consternant.

  
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jipes jipes
15/05/2023 08:08:20
5

**Concernant un autre dossier sensible, celui de l'immigration, le chef de l'Etat a dit ne pas croire à la possibilité d'un référendum en cas d'échec des débats à venir au Parlement, pour des raisons constitutionnelles.**

Il peut en parler comme cela à sa guise car il sait qu'en cas de référendum il prendrait une gifle magistrale !

Il a oublié de remercier le Conseil Constitutionnel d'avoir déclaré hors-jeu deux référendums.

  
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papygaga papygaga
15/05/2023 07:23:09
7

C'est à penser que dans les hautes sphères on veut nous préparer à une guerre à laquelle notre pays participerait.


Dans ces conditions, le "démocrate " qui nous dirige s'arrogerait les pleins pouvoirs pour toute la durée du conflit qui pourrait aller au delà du mandat actuel.


  
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jipes jipes
14/05/2023 23:45:58
6

Et en regardant ce qui se passe à propos de l'Ukraine, LCI nous bassine à longueur de journée tout ce que cette guerre peut représenter, des bombardements aux diverses manoeuvres qu'elles soient russes ou ukrainiennes. De temps à autre BFM en rajoute aussi de son côté.

C'est à penser que dans les hautes sphères on veut nous préparer à une guerre à laquelle notre pays participerait.

Alors, au lieu de nous faire des promesses "bidon", il ferait mieux de secouer Zelinsky pour que ce conflit s'arrête.

  
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Fibopivots Fibopivots
14/05/2023 23:45:11
0

Bizarre, on voit de plus en plus de stations service désertes...

  
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moicmoi moicmoi
14/05/2023 23:31:18
5

« « Emmanuel Macron a déclaré dimanche, dans un entretien-fleuve au journal L'Opinion, qu'il entendait poursuivre une politique de baisse de la fiscalité des classes moyennes, » »

Oui, c’est ça. On va y croire.
Et le plus beau, c’est qu’il va y en avoir pour le croire.

Poursuivre une politique de baisse de la fiscalité…..
Cela fait 6 ans qu’il est à la tête de l’état, et il n’en a encore rien fait !

Il vante la suppression de la taxe d’habitation (pas à 100 %) et la suppression de la redevance télé, (aux dépens des collectivités locales, mais pas de l’état), de la transformation de ISF en IFI - pas trop fort car ça profite uniquement à ses copains les plus riches , mais il reste très discret sur toutes les hausses appliquées par ailleurs.

Et il ne dit pas que ce qu’il donne d’une main sera repris de l’autre.

Il demande aux pétroliers de faire un effort, mais l’état n’en fait aucun. Et cela rapporte gros, nonobstant la distribution des chèques-pourliches.
Il demande aux distributeurs de faire un effort pour lutter contre l’inflation, mais l’état n’en fait aucun. Et cela rapporte gros, même en distribuant des chèques-pourliches.

Inflation due en grande partie à l’arnaque du marché européen de l’électricité dont il ne voudra jamais sortir. Et de la connerie de l’E.U. de se mêler de conflit qui ne la regarde pas. Mais les conséquences en sont calamiteuses.

Les recettes fiscales ont atteint des sommets. Raison de plus pour ne rien changer dans le train de vie de l’état.
Alors que c’est là le plus gros gisement d’économies à faire.

Une fois de plus : foutage de gueule. Il nous prend vraiment pour des cons.

  
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Fibopivots Fibopivots
14/05/2023 23:02:11
0

Un financier payé au millième de ce qu.il a fait rapporter à une multinationale, ...c'est un bon deal pour lui ?

  
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doudouvieux doudouvieux
14/05/2023 22:21:39
1
C'est vrai que pour avoir des services publics aussi mauvais, quand on ne paiera plus d'impôts, au moins on saura pourquoi.
  
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doudouvieux doudouvieux
14/05/2023 22:21:30
0
Le président français Emmanuel Macron, le 11 mai 2023 à Paris
Le président français Emmanuel Macron, le 11 mai 2023 à Paris (AFP/Ludovic MARIN)

Emmanuel Macron a déclaré dimanche, dans un entretien-fleuve au journal L'Opinion, qu'il entendait poursuivre une politique de baisse de la fiscalité des classes moyennes, mais aussi tracer des perspectives pour les prochains mois sur l'immigration, l'école ou encore les retraites.

"Il faut avancer, construire un système de responsabilité, avec toutes les forces politiques et syndicales", a insisté le chef de l'Etat, qui s'exprimera également lundi soir lors d'une interview au 20h de TF1.

"On doit poursuivre une trajectoire de baisse de fiscalité sur nos classes moyennes pour (...) redonner de la crédibilité au travail", a argué le pensionnaire de l'Elysée dans son entretien à l'Opinion.

"Aujourd'hui, nous aidons beaucoup les gens qui sont dans le désarroi, qui ont décroché. Nous aidons beaucoup les bas salaires, et nous avons fait plus avec la prime d'activité", a poursuivi le chef de l'Etat, impopulaire après l'adoption au forceps de la réforme des retraites et qui essaie de reprendre la main.

"La fiscalisation des revenus des classes moyennes est trop importante et s'accélère trop vite. Elle écrase les gains de pouvoir d'achat entre 1.500 et 2.500 euros", a-t-il précisé. Côté entreprises, il estime que la France devrait se doter d'"un mécanisme qui permette d'améliorer les emplois industriels ou les emplois d'artisans et de commerçants".

Engagé depuis plusieurs jours dans une séquence axée sur la réindustrialisation, il a critiqué la dégradation de la note de la France par l'agence Fitch qui "se trompe profondément dans son analyse politique".

"Aurais-je décidé de renoncer à la réforme des retraites, j'aurais compris ces craintes. Mais nous avons fait la démonstration qu'on savait voter beaucoup de textes de loi avec cette majorité", a-t-il martelé.

- le dossier retraites pas "classé" -

Concernant un autre dossier sensible, celui de l'immigration, le chef de l'Etat a dit ne pas croire à la possibilité d'un référendum en cas d'échec des débats à venir au Parlement, pour des raisons constitutionnelles.

L'exécutif et la droite cherchent chacun de leur côté à prendre les commandes sur ce sujet. Élisabeth Borne a demandé au ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin de relancer des "concertations" pour un projet de loi, en vue d'un examen parlementaire à l'automne.

Les Républicains y participeront mais entendent lancer prochainement un processus législatif sur deux textes issus de leurs rangs, avec pour ambition d'imposer un texte plus dur que la copie de l'exécutif.

"Il y aura une mise de départ du gouvernement", a insisté Emmanuel Macron, appelant à "un moment de clarification", en visant LR, et en citant les "écologistes" et les "socialistes" comme interlocuteurs possibles durant les tractations.

"On regardera comment on peut l'enrichir, la compléter, la modifier, peut-être abandonner des bouts, afin de bâtir une majorité", a-t-il avancé.

Balayant plusieurs sujets nationaux, le président a défendu le "pacte enseignant" mais a aussi assumé de ne pas vouloir "réveiller de vieux conflits" sur l'école, après la présentation jeudi d'un plan sensiblement moins ambitieux qu'attendu par le ministre Pap Ndiaye sur la mixité sociale et scolaire.

Concernant la réforme des retraites, il a jugé que le dossier n'était pas "classé", en raison des dispositions censurées par le Conseil constitutionnel, notamment sur l'emploi des séniors.

Il a également regretté que son camp n'ait "pas réussi à expliquer suffisamment la nécessité de cette réforme", à quelques semaines de l'examen à l'Assemblée d'une proposition d'abrogation de la réforme portée par le groupe indépendant Liot.

Il a dépeint cette journée critique du 8 juin, comme l'occasion pour sa majorité "d'expliquer" le projet de loi, appelant les oppositions à "un débat où chacun devra prendre ses responsabilités et expliquer comment on finance".

© 2023 AFP

  
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