ABB: la rentabilité se dégrade au 2e trimestre.
Actualité publiée le 23/07/09 09:06
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(CercleFinance.com) - ABB a vu son résultat net reculer de 31% à 675 millions de dollars au titre de son deuxième trimestre 2009, et son résultat opérationnel connaître une évolution similaire (-28%) à 1,05 milliards, soit une marge correspondante de 13,2%, en baisse de 2,9 points.
Le groupe suisse d'équipements pour l'énergie et l'automation explique cette dégradation de la rentabilité par une baisse de ses revenus et de l'utilisation de capacités dans certaines activités, combinée à des charges de restructurations, charges sans lesquelles la marge n'auraient baissé que de 1,5 point. Ces éléments ont contrebalancé les gains réalisés grâce à des économies de coûts.
Le chiffre d'affaires a diminué de 12% à 7,91 milliards de dollars, mais de 2% seulement en monnaies locales. Les prises de commandes ont reculé de 35% (-27% en monnaies locales) à 7,31 milliards de dollars, portant le carnet de commandes à 25,91 milliards de dollars, en recul de 11% sur un an.
ABB continue de juger la visibilité pour le reste de l'année ' limitée ', la demande pour ses produits sur les marchés finaux dépendant largement de l'évolution du PIB mondial et des dépenses d'investissement.
Copyright © 2009 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Le groupe suisse d'équipements pour l'énergie et l'automation explique cette dégradation de la rentabilité par une baisse de ses revenus et de l'utilisation de capacités dans certaines activités, combinée à des charges de restructurations, charges sans lesquelles la marge n'auraient baissé que de 1,5 point. Ces éléments ont contrebalancé les gains réalisés grâce à des économies de coûts.
Le chiffre d'affaires a diminué de 12% à 7,91 milliards de dollars, mais de 2% seulement en monnaies locales. Les prises de commandes ont reculé de 35% (-27% en monnaies locales) à 7,31 milliards de dollars, portant le carnet de commandes à 25,91 milliards de dollars, en recul de 11% sur un an.
ABB continue de juger la visibilité pour le reste de l'année ' limitée ', la demande pour ses produits sur les marchés finaux dépendant largement de l'évolution du PIB mondial et des dépenses d'investissement.
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