Carrefour: le soutien d'un analyste n'aura pas suffit.
Actualité publiée le 25/06/10 16:58
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(CercleFinance.com) - Vers 16h50, Carrefour s'affiche en petite forme sur un CAC 40 lui aussi déprimé : le titre cède 0,7% à 33,8 euros, malgré une note favorable d'Aurel .
En effet, ce dernier a réitéré aujourd'hui son opinion ' acheter ' sur le titre Carrefour, assortie d'un objectif de cours de 41 euros, à l'issue d'un entretien avec le distributeur, d'où il ressort que l'activité sera portée par la croissance des pays émergents, avec des marchés européens qui résistent bien.
Du coup, le bureau d'étude maintient ses estimations de résultat 2010, légèrement plus optimistes que le consensus, en mettant en avant la bonne résistance des activités en Europe, qui bénéficieront de facteurs plus positifs au second semestre, mais également la bonne exécution du plan, avec des objectifs d'économies revus à la hausse.
Tout comme le fort dynamisme des activités internationales, plus profitables en moyenne que les pays matures, ce qui est renforcé par la forte appréciation des devises par rapport à l'euro.
Toutefois, la Belgique devrait afficher un mauvais semestre en raison des grèves occasionnées par la restructuration, indique Aurel, même si un accord devrait être officiellement annoncé prochainement, ce qui pourrait permettre d'envisager le second semestre plus sereinement.
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En effet, ce dernier a réitéré aujourd'hui son opinion ' acheter ' sur le titre Carrefour, assortie d'un objectif de cours de 41 euros, à l'issue d'un entretien avec le distributeur, d'où il ressort que l'activité sera portée par la croissance des pays émergents, avec des marchés européens qui résistent bien.
Du coup, le bureau d'étude maintient ses estimations de résultat 2010, légèrement plus optimistes que le consensus, en mettant en avant la bonne résistance des activités en Europe, qui bénéficieront de facteurs plus positifs au second semestre, mais également la bonne exécution du plan, avec des objectifs d'économies revus à la hausse.
Tout comme le fort dynamisme des activités internationales, plus profitables en moyenne que les pays matures, ce qui est renforcé par la forte appréciation des devises par rapport à l'euro.
Toutefois, la Belgique devrait afficher un mauvais semestre en raison des grèves occasionnées par la restructuration, indique Aurel, même si un accord devrait être officiellement annoncé prochainement, ce qui pourrait permettre d'envisager le second semestre plus sereinement.
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