Chevron: chute d'un tiers du bénéfice net trimestriel.
Actualité publiée le 31/01/14 15:02
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(CercleFinance.com) - Comme les analystes s'y attendaient, Chevron a vu ses bénéfices se contracter fortement sur les trois derniers mois de 2013 en comparaison annuelle, en partie en raison d'un gain exceptionnel important engrangé un an auparavant.
La compagnie pétrolière a affiché un résultat net en baisse d'un tiers à 4,95 milliards de dollars sur la période, représentant un BPA de 2,57 dollars par action, un niveau en ligne avec le consensus des analystes.
Les activités amont (exploration et production) ont vu leurs bénéfices diminuer de 30% à 4,85 milliards de dollars, affectés par une base de comparaison défavorable avec un gain de 1,4 milliard enregistré un an auparavant, sur un échange d'actifs en Australie.
En volume, la production amont s'est tassée de plus de 3% à 2,58 millions de barils équivalent pétrole par jour, le déclin naturel de certains champs ayant plus que contrebalancé des lancements de productions aux Etats-Unis et au Nigéria.
Les activités aval (raffinage et commercialisation) ont quant à elles vu leur contribution chuter de plus de 60% à 390 millions de dollars, en raison notamment de marges de raffinage plus basses et de moindres gains sur cessions d'actifs à l'international.
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La compagnie pétrolière a affiché un résultat net en baisse d'un tiers à 4,95 milliards de dollars sur la période, représentant un BPA de 2,57 dollars par action, un niveau en ligne avec le consensus des analystes.
Les activités amont (exploration et production) ont vu leurs bénéfices diminuer de 30% à 4,85 milliards de dollars, affectés par une base de comparaison défavorable avec un gain de 1,4 milliard enregistré un an auparavant, sur un échange d'actifs en Australie.
En volume, la production amont s'est tassée de plus de 3% à 2,58 millions de barils équivalent pétrole par jour, le déclin naturel de certains champs ayant plus que contrebalancé des lancements de productions aux Etats-Unis et au Nigéria.
Les activités aval (raffinage et commercialisation) ont quant à elles vu leur contribution chuter de plus de 60% à 390 millions de dollars, en raison notamment de marges de raffinage plus basses et de moindres gains sur cessions d'actifs à l'international.
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