Chevron: essuie une lourde perte au 2e trimestre.
Actualité publiée le 29/07/16 14:58
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(CercleFinance.com) - Chevron fait part d'une perte nette de près de 1,5 milliard de dollars au titre de son deuxième trimestre 2016 (78 cents par action), à comparer à un bénéfice de 571 millions l'année précédente à la même époque (30 cents par action).
La compagnie explique cette dégradation par la faiblesse des prix du pétrole et par ses efforts d'adaptation à cet environnement, efforts qui l'ont conduit à réduire de plus de six milliards ses dépenses opérationnelles et investissements sur le premier semestre.
La contribution de l'amont (exploration et production) est passée d'une année sur l'autre de -2,2 à -2,5 milliards de dollars environ, avec des dépréciations sur certains actifs dont les revenus de production seraient insuffisants pour couvrir les coûts.
La production a baissé de 2,7% à 2,53 millions de barils équivalent pétrole par jour avec les déclins naturels de certains champs, les effets de cessions d'actifs, des opérations de maintenance et les troubles au Nigéria.
La contribution de l'aval (raffinage et commercialisation) a chuté de 57% à moins de 1,3 milliard, du fait notamment d'une marge de raffinage moins élevée aux Etats-Unis et d'une base de comparaison défavorable à l'international.
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La compagnie explique cette dégradation par la faiblesse des prix du pétrole et par ses efforts d'adaptation à cet environnement, efforts qui l'ont conduit à réduire de plus de six milliards ses dépenses opérationnelles et investissements sur le premier semestre.
La contribution de l'amont (exploration et production) est passée d'une année sur l'autre de -2,2 à -2,5 milliards de dollars environ, avec des dépréciations sur certains actifs dont les revenus de production seraient insuffisants pour couvrir les coûts.
La production a baissé de 2,7% à 2,53 millions de barils équivalent pétrole par jour avec les déclins naturels de certains champs, les effets de cessions d'actifs, des opérations de maintenance et les troubles au Nigéria.
La contribution de l'aval (raffinage et commercialisation) a chuté de 57% à moins de 1,3 milliard, du fait notamment d'une marge de raffinage moins élevée aux Etats-Unis et d'une base de comparaison défavorable à l'international.
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