EDF: Moody's pourrait dégrader sa note.
Actualité publiée le 02/05/13 16:15
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(CercleFinance.com) - Moody's pourrait priver EDF de sa note 'Aa3' cette année ou l'an prochain si l'électricien ne parvenait pas à limiter le montant de sa dette.
Dans un rapport publié aujourd'hui, l'agence explique que sa note pourrait être menacée en 2013 ou 2014 si la pression exercée sur la rentabilité domestique et à l'étranger devait limiter la génération de flux de trésorerie ou si l'endettement devait augmenter, notamment en conséquence d'investissements plus lourds que prévu.
Moody's rappelle qu'une série de cessions d'actifs bien ficelées, conjuguée à la déconsolidation de RTE, avaient permis au groupe de ramener sa dette nette de 42,5 milliards d'euros en 2009 à 33,3 milliards d'euros fin 2011.
L'agence de notation fait cependant remarquer que l'endettement du groupe énergétique est reparti à la hausse en 2012, à 41,6 milliards d'euros, sous l'effet d'un certain nombre d'investissements stratégiques et des créances liées à la contribution au service public de l'électricité (CSPE).
D'après Moody's, cette dette accrue, ainsi que la pression négative s'exerçant sur la rentabilité, sont bien reflétées dans la perspective 'négative' qu'elle attribue au groupe depuis décembre dernier.
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Dans un rapport publié aujourd'hui, l'agence explique que sa note pourrait être menacée en 2013 ou 2014 si la pression exercée sur la rentabilité domestique et à l'étranger devait limiter la génération de flux de trésorerie ou si l'endettement devait augmenter, notamment en conséquence d'investissements plus lourds que prévu.
Moody's rappelle qu'une série de cessions d'actifs bien ficelées, conjuguée à la déconsolidation de RTE, avaient permis au groupe de ramener sa dette nette de 42,5 milliards d'euros en 2009 à 33,3 milliards d'euros fin 2011.
L'agence de notation fait cependant remarquer que l'endettement du groupe énergétique est reparti à la hausse en 2012, à 41,6 milliards d'euros, sous l'effet d'un certain nombre d'investissements stratégiques et des créances liées à la contribution au service public de l'électricité (CSPE).
D'après Moody's, cette dette accrue, ainsi que la pression négative s'exerçant sur la rentabilité, sont bien reflétées dans la perspective 'négative' qu'elle attribue au groupe depuis décembre dernier.
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