EDF: pourrait relever son offre sur British Energy.
Actualité publiée le 13/06/08 12:24
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(CercleFinance.com) - EDF se préparerait à relever son offre de 11 milliards de livres (14 milliards d'euros) sur British Energy, mais uniquement si la direction du groupe britannique indique rapidement qu'elle recommande cette offre.
L'électricien français aurait fait savoir qu'il pourrait mettre fin à ses propositions si un accord ne peut être trouvé d'ici à la fin du mois, précise le Financial Times, qui ajoute qu'EDF pourrait relever son offre au dessus des 700 pence par action après avoir proposé 680 pence.
EDF aurait peu goûté l'annonce faite cette semaine par British Energy indiquant que les offres reçues étaient trop basses, car inférieures au cours de référence de 735 pence.
Le groupe français juge pour sa part que le prix demandé par le britannique est trop élevé, compte tenu des investissements et des risques opérationnels liés à la rénovation du parc nucléaire vieillissant de British Energy.
Si EDF se désengage, il n'est pas certain qu'un autre acquéreur se manifeste, souligne le journal britannique, qui rappelle que le français partait jusqu'ici favori pour le rachat du groupe détenu à 35% par le gouvernement britannique.
Cette semaine Iberdrola a en effet jeté l'éponge, tout comme Suez le mois dernier. Il ne reste plus que l'allemand RWE qui n'a pas indiqué s'il allait faire une offre.
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L'électricien français aurait fait savoir qu'il pourrait mettre fin à ses propositions si un accord ne peut être trouvé d'ici à la fin du mois, précise le Financial Times, qui ajoute qu'EDF pourrait relever son offre au dessus des 700 pence par action après avoir proposé 680 pence.
EDF aurait peu goûté l'annonce faite cette semaine par British Energy indiquant que les offres reçues étaient trop basses, car inférieures au cours de référence de 735 pence.
Le groupe français juge pour sa part que le prix demandé par le britannique est trop élevé, compte tenu des investissements et des risques opérationnels liés à la rénovation du parc nucléaire vieillissant de British Energy.
Si EDF se désengage, il n'est pas certain qu'un autre acquéreur se manifeste, souligne le journal britannique, qui rappelle que le français partait jusqu'ici favori pour le rachat du groupe détenu à 35% par le gouvernement britannique.
Cette semaine Iberdrola a en effet jeté l'éponge, tout comme Suez le mois dernier. Il ne reste plus que l'allemand RWE qui n'a pas indiqué s'il allait faire une offre.
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