Eurotunnel: deux navires remis à DFDS.
Actualité publiée le 15/09/15 18:04
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(CercleFinance.com) - Eurotunnel a annoncé mardi que les navires Rodin et Berlioz de sa filiale MyFerryLink avaient été livrés ce jour à Dunkerque à DFDS
Le groupe danois les a affrétés coque nue, conformément au contrat signé début juin 2015.
L'opérateur du tunnel sous la Manche estime qu'une remise en état est nécessaire compte tenu des dégradations subies par les navires lorsqu'ils étaient sous la responsabilité du liquidateur de la SCOP SeaFrance.
En ce qui concerne les créances en cours, la SCOP SeaFrance doit à MyFerryLink un montant de 22,7 millions d'euros, dont 4,8 millions d'euros au titre des pénalités de non-restitution des navires, indique Eurotunnel.
A l'inverse, MyFerryLink doit à la SCOP SeaFrance une créance de 3,5 millions d'euros pour solde de l'achat de capacité, dont 600.000 euros ont été versés dans le cadre du protocole de fin de conflit ayant permis la restitution des navires par le liquidateur.
MyFerryLink rappelle avoir été contraint par les autorités de la concurrence britannique de sortir de son exploitation maritime le 1er juillet dernier à l'issue du terme contractuel des contrats d'affrètement passés avec la SCOP SeaFrance.
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Le groupe danois les a affrétés coque nue, conformément au contrat signé début juin 2015.
L'opérateur du tunnel sous la Manche estime qu'une remise en état est nécessaire compte tenu des dégradations subies par les navires lorsqu'ils étaient sous la responsabilité du liquidateur de la SCOP SeaFrance.
En ce qui concerne les créances en cours, la SCOP SeaFrance doit à MyFerryLink un montant de 22,7 millions d'euros, dont 4,8 millions d'euros au titre des pénalités de non-restitution des navires, indique Eurotunnel.
A l'inverse, MyFerryLink doit à la SCOP SeaFrance une créance de 3,5 millions d'euros pour solde de l'achat de capacité, dont 600.000 euros ont été versés dans le cadre du protocole de fin de conflit ayant permis la restitution des navires par le liquidateur.
MyFerryLink rappelle avoir été contraint par les autorités de la concurrence britannique de sortir de son exploitation maritime le 1er juillet dernier à l'issue du terme contractuel des contrats d'affrètement passés avec la SCOP SeaFrance.
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