Générale de Santé: tassement de l'EBE sur neuf mois.
Actualité publiée le 29/10/12 17:51
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(CercleFinance.com) - Générale de Santé publie, pour les neuf premiers mois de l'année, un résultat net part du groupe de 42,8 millions d'euros, contre 3,6 millions un an auparavant, mais un recul de son excédent brut d'exploitation de 5,9% à 174,5 millions.
Ce recul est principalement lié à la progression de ses charges locatives et à un effet de ciseau défavorable attaché à l'inflation de ses charges, ainsi que d'à une baisse de 1,3% du chiffre d'affaires à 1441,3 millions d'euros.
Cependant, à périmètre comparable, le chiffre d'affaires s'est inscrit en légère hausse de 2,3% avec un jour ouvré de moins. Le groupe d'hospitalisation privée enregistre une légère hausse de 1,9% de son nombre de séjours de soins aigus, hausse corrigée de ce jour ouvré en moins.
'Alors que le gel tarifaire se confirme, les premières mesures du nouveau gouvernement, dans un contexte dégradé, impactent fortement nos structures de coûts', commente le directeur général Pascal Roché. 'Dans ce contexte, le groupe est soucieux de voir ainsi ses marges de manoeuvre se réduire pour continuer à investir, comme il l'a toujours fait, afin d'améliorer son offre de soins dans tous les territoires, y compris dans des départements de déserts médicaux'.
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Ce recul est principalement lié à la progression de ses charges locatives et à un effet de ciseau défavorable attaché à l'inflation de ses charges, ainsi que d'à une baisse de 1,3% du chiffre d'affaires à 1441,3 millions d'euros.
Cependant, à périmètre comparable, le chiffre d'affaires s'est inscrit en légère hausse de 2,3% avec un jour ouvré de moins. Le groupe d'hospitalisation privée enregistre une légère hausse de 1,9% de son nombre de séjours de soins aigus, hausse corrigée de ce jour ouvré en moins.
'Alors que le gel tarifaire se confirme, les premières mesures du nouveau gouvernement, dans un contexte dégradé, impactent fortement nos structures de coûts', commente le directeur général Pascal Roché. 'Dans ce contexte, le groupe est soucieux de voir ainsi ses marges de manoeuvre se réduire pour continuer à investir, comme il l'a toujours fait, afin d'améliorer son offre de soins dans tous les territoires, y compris dans des départements de déserts médicaux'.
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