Groupe Partouche: 'la reprise est hypothétique'.
Actualité publiée le 28/12/09 11:48
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(CercleFinance.com) - 'Je ne joue pas la reprise, c'est hypothétique', a déclaré Patrick Partouche, le président du directoire du groupe Partouche, au journal Les Echos.
Malgré des chiffres 'encourageants' au quatrième trimestre 2009, marqué par un recul de 4,9% du produit brut des jeux (après deux années de chute de 20% à 25%), le dirigeant du groupe de casinos se montre prudent.
'La priorité reste à la maîtrises des charges', explique-t-il au journal, en soulignant leur rôle dans l'atténuation de la baisse des résultats au cours de 2009.
Par ailleurs, le groupe s'affiche serein avec un crédit syndiqué renégocié pour sept ans assorti d'une obligation de cessions d'actifs, pour un montant compris entre 80 et 100 millions d'euros, d'ici deux ans.
Concernant l'ouverture prochaine du marché français des jeux en ligne, 'il n'est pas sûr que nous soyons candidat à l'obtention d'une licence', a t-il annoncé aux Echos, tout en précisant que sa société se décidera 'au vu du dispositif réglementaire et des contraintes'.
Toutefois, Patrick Partouche dénonce par avance 'un projet de loi qui n'accorde rien aux casinos' et vise 'à protéger la Française des Jeux et le PMU' notamment via l'ouverture de son activité poker.
D'ailleurs, le responsable remet toujours en cause le monopole de la Française des jeux quant à la commercialisation de ses produits, via son réseau physique de points de vente: 'Il n'est pas impossible que j'attaque l'Etat de manière très violente sur un point qui ne serait pas respecté', prévient-il, dans les colonnes du journal.
Enfin, revenant sur le site multi-jeux lancé en juin dernier, sur le marché britannique, il a évoqué un bilan nul.
Vers 11h30, le titre Partouche s'adjuge plus de 3%, à 2,7 euros, sur la bourse de Paris.
Copyright © 2009 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Malgré des chiffres 'encourageants' au quatrième trimestre 2009, marqué par un recul de 4,9% du produit brut des jeux (après deux années de chute de 20% à 25%), le dirigeant du groupe de casinos se montre prudent.
'La priorité reste à la maîtrises des charges', explique-t-il au journal, en soulignant leur rôle dans l'atténuation de la baisse des résultats au cours de 2009.
Par ailleurs, le groupe s'affiche serein avec un crédit syndiqué renégocié pour sept ans assorti d'une obligation de cessions d'actifs, pour un montant compris entre 80 et 100 millions d'euros, d'ici deux ans.
Concernant l'ouverture prochaine du marché français des jeux en ligne, 'il n'est pas sûr que nous soyons candidat à l'obtention d'une licence', a t-il annoncé aux Echos, tout en précisant que sa société se décidera 'au vu du dispositif réglementaire et des contraintes'.
Toutefois, Patrick Partouche dénonce par avance 'un projet de loi qui n'accorde rien aux casinos' et vise 'à protéger la Française des Jeux et le PMU' notamment via l'ouverture de son activité poker.
D'ailleurs, le responsable remet toujours en cause le monopole de la Française des jeux quant à la commercialisation de ses produits, via son réseau physique de points de vente: 'Il n'est pas impossible que j'attaque l'Etat de manière très violente sur un point qui ne serait pas respecté', prévient-il, dans les colonnes du journal.
Enfin, revenant sur le site multi-jeux lancé en juin dernier, sur le marché britannique, il a évoqué un bilan nul.
Vers 11h30, le titre Partouche s'adjuge plus de 3%, à 2,7 euros, sur la bourse de Paris.
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