abcbourse.com

GTT: au-dessus de la MM100 mais sous pression à court terme


Actualité publiée le 20/08/25 09:47

(Zonebourse.com) - Le titre GTT a perdu du terrain ces dernières semaines, effaçant une partie des gains de début d'année et revenant au contact de niveaux techniques intermédiaires. La configuration suggère une phase de consolidation avec un enjeu clair autour des supports récents.

Après un plus haut récent proche de 170 EUR, le repli a ramené le cours sous la moyenne mobile 50 jours, tandis que la moyenne mobile 20 jours est également franchie à la baisse. Les prix se maintiennent toutefois au-dessus de la moyenne mobile 100 jours, ce qui confère un socle de moyen terme encore solide. La dynamique de marché ressort hésitante, traduisant un équilibre relatif entre acheteurs et vendeurs, sans signal directionnel tranché.

Du côté des niveaux, la zone des 157,3 EUR constitue un premier support important : tant que ce seuil tient, le biais de moyen terme reste défendable. En résistance, la barre des 170,1 EUR correspond au sommet récent et demeure l'obstacle majeur à franchir pour relancer une dynamique haussière. Entre ces bornes, le titre évolue dans une phase de consolidation latérale, où les flux apparaissent plus mesurés.

En résumé, le scénario principal reste celui d'un biais neutre à légèrement baissier tant que le titre évolue sous ses moyennes mobiles courtes, avec comme point d'invalidation claire une cassure nette du support des 157,3 EUR. À l'inverse, seule une reprise au-dessus de 170 EUR ouvrirait la voie à une accélération haussière plus durable.

Copyright © 2025 Zonebourse.com - All rights reserved.

Vous avez aimé cet article ? Partagez-le avec vos amis en cliquant sur les boutons ci-dessous :

Actualités relatives

06/08/25 GTT : la dégradation de Berenberg pèse sur le titre
06/08/25 GTT: Berenberg dégrade à 'conserver'
31/07/25 GTT: finalise l'acquisition stratégique de Danelec
30/07/25 GTT: hausse de 5,4% du BPA au 1er semestre
29/07/25 GTT bondit de 32 % au premier semestre, porté par la reprise des projets GNL aux États-Unis