Ipsen: la sécurité du tasquinimod est acceptable.
Actualité publiée le 24/02/12 08:52
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(CercleFinance.com) - Ipsen a annoncé vendredi que de nouvelles données montraient que la sécurité à long terme du tasquinimod, son traitement contre le cancer métastatique de la prostate, était 'acceptable'.
Ces données de tolérance à long terme de l'étude de phase II doivent être dévoilées demain dans le cadre du congrès de l'Association européenne d'urologie, qui se tient à Paris.
L'analyse des données de tolérance jusqu'à trois ans a été menée sur des patients n'ayant pas reçu de chimiothérapie atteints d'une forme de cancer résistant à la castration, dit CRPC.
Ipsen précise que les effets secondaires du traitement étaient évalués comme 'légers à modérés' et que les évènements indésirables incluaient des troubles gastro-intestinaux, de la fatigue et des douleurs musculo-squelettiques.
Pour Ipsen, qui développe le tasquinimod avec le scandinave Active Biotech, cela signifie que le médicament pourrait devenir une thérapie à envisager dès le début de la prise en charge du CRPC, soit sous forme de monothérapie, soit en association avec d'autres agents.
Une étude internationale de phase III est actuellement en cours chez des patients atteints d'un CRPC métastatique. L'étude doit inclure environ 1200 patients dans plus de 250 centres cliniques.
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Ces données de tolérance à long terme de l'étude de phase II doivent être dévoilées demain dans le cadre du congrès de l'Association européenne d'urologie, qui se tient à Paris.
L'analyse des données de tolérance jusqu'à trois ans a été menée sur des patients n'ayant pas reçu de chimiothérapie atteints d'une forme de cancer résistant à la castration, dit CRPC.
Ipsen précise que les effets secondaires du traitement étaient évalués comme 'légers à modérés' et que les évènements indésirables incluaient des troubles gastro-intestinaux, de la fatigue et des douleurs musculo-squelettiques.
Pour Ipsen, qui développe le tasquinimod avec le scandinave Active Biotech, cela signifie que le médicament pourrait devenir une thérapie à envisager dès le début de la prise en charge du CRPC, soit sous forme de monothérapie, soit en association avec d'autres agents.
Une étude internationale de phase III est actuellement en cours chez des patients atteints d'un CRPC métastatique. L'étude doit inclure environ 1200 patients dans plus de 250 centres cliniques.
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