Microsoft: nouveau rappel à l'ordre de Bruxelles.
Actualité publiée le 24/10/12 16:53
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(CercleFinance.com) - La Commission européenne annonce avoir adressé une 'communication des griefs' à Microsoft, accusant le géant des logiciels de ne pas avoir installé sur Windows une alternative à son navigateur Internet Explorer.
Bruxelles indique avoir fait part au groupe américaine de son avis préliminaire selon lequel l'engagement consistant à proposer aux utilisateurs un écran multi-choix leur permettant de sélectionner facilement le navigateur Web qu'ils souhaitent n'a pas été respecté.
L'Union européenne rappelle qu'elle avait rendu cet engagement juridiquement contraignant pour Microsoft en 2009.
Bruxelles estime qu'à première vue, Microsoft n'a pas intégré l'écran multi-choix à son système d'exploitation Windows 7 sorti en février 2011.
'Entre février 2011 et juillet 2012, des millions d'utilisateurs de Windows dans l'UE ont ainsi peut-être été privés de l'écran multi-choix', indique ainsi la Commission.
La communication des griefs est une étape formelle informant les parties concernées des griefs retenus contre elles, ces dernières pouvant y répondre par écrit et demander à être entendues.
Les entreprises condamnées peuvent se voir infliger des amendes allant jusqu'à 10% de leur chiffre d'affaires annuel.
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Bruxelles indique avoir fait part au groupe américaine de son avis préliminaire selon lequel l'engagement consistant à proposer aux utilisateurs un écran multi-choix leur permettant de sélectionner facilement le navigateur Web qu'ils souhaitent n'a pas été respecté.
L'Union européenne rappelle qu'elle avait rendu cet engagement juridiquement contraignant pour Microsoft en 2009.
Bruxelles estime qu'à première vue, Microsoft n'a pas intégré l'écran multi-choix à son système d'exploitation Windows 7 sorti en février 2011.
'Entre février 2011 et juillet 2012, des millions d'utilisateurs de Windows dans l'UE ont ainsi peut-être été privés de l'écran multi-choix', indique ainsi la Commission.
La communication des griefs est une étape formelle informant les parties concernées des griefs retenus contre elles, ces dernières pouvant y répondre par écrit et demander à être entendues.
Les entreprises condamnées peuvent se voir infliger des amendes allant jusqu'à 10% de leur chiffre d'affaires annuel.
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