Nicox: pertes fortement creusées au premier semestre.
Actualité publiée le 31/07/13 10:03
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(CercleFinance.com) - Nicox a annoncé une forte augmentation de ses pertes au premier semestre sous l'effet de la disparition d'un paiement d'étape significatif de Bausch + Lomb.
Le groupe biotechnologique - qui essaie de se transformer en spécialiste de l'ophtalmologie - a comptabilisé une perte nette de 9,2 millions d'euros sur la période janvier-juin, comparé à une perte nette de 400.000 euros au premier semestre 2012.
Le chiffre d'affaires s'élève à seulement 200.000 euros sur les six premiers mois de l'année, contre 7,5 millions d'euros pour la même période de 2012.
Pour mémoire, le chiffre d'affaires du premier semestre 2012 incluait un paiement d'étape de 10 millions d'euros reçu de Bausch + Lomb au titre du développement du latanoprostene bunod, un traitement expérimental du glaucome.
Parallèlement, les frais commerciaux, les frais généraux et administratifs, et les dépenses de recherche et développement se sont élevés à 9,3 millions pour la première moitié de l'année 2013, comparé à 8,1 millions d'euros pour le premier semestre 2012.
Au 30 juin, la trésorerie et les équivalents de trésorerie du groupe atteignaient 67,4 millions d'euros, contre 77,5 millions d'euros au 31 décembre 2012.
A la Bourse de Paris, l'action perdait 2,2% à moins de 2,5 euros mercredi dans les premiers échanges.
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Le groupe biotechnologique - qui essaie de se transformer en spécialiste de l'ophtalmologie - a comptabilisé une perte nette de 9,2 millions d'euros sur la période janvier-juin, comparé à une perte nette de 400.000 euros au premier semestre 2012.
Le chiffre d'affaires s'élève à seulement 200.000 euros sur les six premiers mois de l'année, contre 7,5 millions d'euros pour la même période de 2012.
Pour mémoire, le chiffre d'affaires du premier semestre 2012 incluait un paiement d'étape de 10 millions d'euros reçu de Bausch + Lomb au titre du développement du latanoprostene bunod, un traitement expérimental du glaucome.
Parallèlement, les frais commerciaux, les frais généraux et administratifs, et les dépenses de recherche et développement se sont élevés à 9,3 millions pour la première moitié de l'année 2013, comparé à 8,1 millions d'euros pour le premier semestre 2012.
Au 30 juin, la trésorerie et les équivalents de trésorerie du groupe atteignaient 67,4 millions d'euros, contre 77,5 millions d'euros au 31 décembre 2012.
A la Bourse de Paris, l'action perdait 2,2% à moins de 2,5 euros mercredi dans les premiers échanges.
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