Peugeot: Barclays reste à 'surpondérer', objectif 16 euros.
Actualité publiée le 20/07/16 12:24
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(CercleFinance.com) - Barclays maintient sa recommandation 'surpondérer' sur Peugeot avec un objectif de cours de 16 euros avant la publication des résultats semestriels du groupe, prévue le 27 juillet.
Dans sa note, le broker dit atteindre une marge de 6% dans l'automobile, à comparer avec un consensus établi à 5,6%, soit une performance supérieure d'un point à celle de l'an dernier malgré un environnement toujours qualifié de 'difficile'.
BarCap explique que la rentabilité du constructeur devrait bénéficier d'une accélération de ses mesures d'efficacité et de progrès opérationnels provenant uniquement de ses propres efforts, et non plus d'effets de change ou d'autres éléments liés au marché comme en 2015.
Pour le courtier, les investisseurs n'accordent aujourd'hui aucune valorisation à la branche automobile, qui affichait pourtant sept milliards d'euros de trésorerie fin 2015, la capitalisation du groupe étant aujourd'hui basée à 95% sur la participation dans Faurecia.
Copyright © 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement. Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter.
Dans sa note, le broker dit atteindre une marge de 6% dans l'automobile, à comparer avec un consensus établi à 5,6%, soit une performance supérieure d'un point à celle de l'an dernier malgré un environnement toujours qualifié de 'difficile'.
BarCap explique que la rentabilité du constructeur devrait bénéficier d'une accélération de ses mesures d'efficacité et de progrès opérationnels provenant uniquement de ses propres efforts, et non plus d'effets de change ou d'autres éléments liés au marché comme en 2015.
Pour le courtier, les investisseurs n'accordent aujourd'hui aucune valorisation à la branche automobile, qui affichait pourtant sept milliards d'euros de trésorerie fin 2015, la capitalisation du groupe étant aujourd'hui basée à 95% sur la participation dans Faurecia.
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