Peugeot: suppression du régime de retraite supplémentaire.
Actualité publiée le 17/12/15 09:06
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(CercleFinance.com) - PSA Peugeot Citroën a annoncé mercredi soir la suppression de son régime de retraite supplémentaire destiné aux dirigeants, une mesure qui devrait lui permettre de réaliser des économies substantielles.
Le nouveau dispositif génèrera une économie de 34 millions d'euros dès l'exercice 2015 du constructeur automobile, nette du coût de passage d'un dispositif à l'autre.
Le système s'avérera par la suite moins coûteux pour le groupe.
A titre d'exemple, la charge pour le président du directoire sera divisée par plus de trois.
Dans son communiqué, PSA précise avoir décidé de redistribuer à l'ensemble des salariés les économies ainsi réalisées portant sur le régime de retraite des dirigeants.
L'ensemble de ces dispositions sera soumis aux votes des actionnaires lors de la prochaine assemblée générale en avril 2016.
'Nous étions convaincus qu'il était nécessaire de faire évoluer le régime de retraite supplémentaire dans l'environnement actuel', a expliqué Louis Gallois, le président du conseil de surveillance.
'Le nouveau dispositif sera plus transparent, moins coûteux et plus directement lié à la performance économique de l'entreprise', explique le dirigeant.
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Le nouveau dispositif génèrera une économie de 34 millions d'euros dès l'exercice 2015 du constructeur automobile, nette du coût de passage d'un dispositif à l'autre.
Le système s'avérera par la suite moins coûteux pour le groupe.
A titre d'exemple, la charge pour le président du directoire sera divisée par plus de trois.
Dans son communiqué, PSA précise avoir décidé de redistribuer à l'ensemble des salariés les économies ainsi réalisées portant sur le régime de retraite des dirigeants.
L'ensemble de ces dispositions sera soumis aux votes des actionnaires lors de la prochaine assemblée générale en avril 2016.
'Nous étions convaincus qu'il était nécessaire de faire évoluer le régime de retraite supplémentaire dans l'environnement actuel', a expliqué Louis Gallois, le président du conseil de surveillance.
'Le nouveau dispositif sera plus transparent, moins coûteux et plus directement lié à la performance économique de l'entreprise', explique le dirigeant.
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