TF1: voudrait entrer au capital de la SPS.
Actualité publiée le 20/01/10 15:38
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(CercleFinance.com) - Selon le Monde citant des sources internes, TF1 devrait racheter à Serendipity, le fonds d'investissement fondé par Patrick Le Lay, ses parts dans la société de paris sportifs SPS dont l'autre partie du capital est détenue par Eurosport. Aucun montant n'a été précisé.
Le quotidien indique que ce rachat constituerait un lot de consolation pour M. Le Lay, qui a quitté TF1 le mois dernier pour cause de divergence avec le PDG de la première chaîne, Nonce Paolini.
Dans le cadre du fonds Serendipity, Patrick Le Lay voulait faire de SPS, sous la marque Eurosportbet, un concurrent de Bwin, BetClic ou Unibet. Les actionnaires de Serendipity, Bouygues et le holding Artemis de François Pinault, ne l'avaient suivi qu'à distance, étant donné le flou réglementaire qui entoure le secteur des paris, dont l'ouverture à la concurrence est attendue en juin prochain.
Eurosportbet, qui a finalement renoncé à se lancer en Italie, a demandé l'an dernier une licence pour les paris sportifs et le poker au Royaume-Uni. Ses ventes restent marginales et le sort de ses 70 salariés, dont 15 bookmakers parisiens, reste incertain. Le Monde estime que 'soit [Eurosportbet] intéresse un partenaire avec lequel discute TF1', soit elle sera fermée.
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Le quotidien indique que ce rachat constituerait un lot de consolation pour M. Le Lay, qui a quitté TF1 le mois dernier pour cause de divergence avec le PDG de la première chaîne, Nonce Paolini.
Dans le cadre du fonds Serendipity, Patrick Le Lay voulait faire de SPS, sous la marque Eurosportbet, un concurrent de Bwin, BetClic ou Unibet. Les actionnaires de Serendipity, Bouygues et le holding Artemis de François Pinault, ne l'avaient suivi qu'à distance, étant donné le flou réglementaire qui entoure le secteur des paris, dont l'ouverture à la concurrence est attendue en juin prochain.
Eurosportbet, qui a finalement renoncé à se lancer en Italie, a demandé l'an dernier une licence pour les paris sportifs et le poker au Royaume-Uni. Ses ventes restent marginales et le sort de ses 70 salariés, dont 15 bookmakers parisiens, reste incertain. Le Monde estime que 'soit [Eurosportbet] intéresse un partenaire avec lequel discute TF1', soit elle sera fermée.
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