Thales: attend un ROC négatif en 2010.
Actualité publiée le 14/02/11 09:05
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(CercleFinance.com) - Thales annonce que son résultat opérationnel courant (ROC) devrait être proche d'une perte de 100 millions d'euros en 2010, en raison notamment de charges complémentaires et provisions enregistrées sur les contrats et activités, qui dépassent 700 millions d'euros.
Pour le contrat de billettique au Danemark, un avenant a été signé fin décembre 2010, qui entérine les conditions de réalisation du programme jusqu'à son terme. Sur les contrats Meltem (patrouille maritime en Turquie) et A400M, les discussions sont toujours en cours, en vue de parvenir à un accord final.
Par ailleurs, dans l'avionique, la priorité donnée à la satisfaction des engagements opérationnels vis-à-vis des clients a nécessité une importante mobilisation de ressources. De plus, Thales a procédé à un renforcement des capacités de gestion de projets de Thales Security Solutions & Services. Enfin, des difficultés sur le contrat de contrôle de trafic aérien Lorads III à Singapour ont également pesé.
Les prises de commandes de l'exercice ont atteint 13,1 milliards d'euros, la pression attendue sur les budgets de défense en Europe ayant été partiellement compensée par la reprise progressive de l'aéronautique civile et un niveau de commandes exceptionnel dans le domaine spatial.
Les revenus devraient se monter à 13,1 milliards, en progression de 2% par rapport à 2009, compte tenu notamment d'un effet change favorable (-1% à périmètre et taux de change constants).
Le contrôle strict des coûts et du BFR ayant permis la génération d'un cash flow net d'environ 270 millions d'euros sur l'exercice (contre 800 millions l'an dernier), le groupe d'électronique et de défense a terminé l'année avec une trésorerie nette positive de près de 200 millions.
Confiant dans un redressement rapide de son résultat opérationnel courant, Thales se fixe un objectif de 5% en 2011, porté à 6% en 2012. Ceci s'inscrirait dans un contexte d'activité en légère progression grâce au secteur Aérospatial & Transport, avec des commandes annuelles demeurant sensiblement égales aux revenus.
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Pour le contrat de billettique au Danemark, un avenant a été signé fin décembre 2010, qui entérine les conditions de réalisation du programme jusqu'à son terme. Sur les contrats Meltem (patrouille maritime en Turquie) et A400M, les discussions sont toujours en cours, en vue de parvenir à un accord final.
Par ailleurs, dans l'avionique, la priorité donnée à la satisfaction des engagements opérationnels vis-à-vis des clients a nécessité une importante mobilisation de ressources. De plus, Thales a procédé à un renforcement des capacités de gestion de projets de Thales Security Solutions & Services. Enfin, des difficultés sur le contrat de contrôle de trafic aérien Lorads III à Singapour ont également pesé.
Les prises de commandes de l'exercice ont atteint 13,1 milliards d'euros, la pression attendue sur les budgets de défense en Europe ayant été partiellement compensée par la reprise progressive de l'aéronautique civile et un niveau de commandes exceptionnel dans le domaine spatial.
Les revenus devraient se monter à 13,1 milliards, en progression de 2% par rapport à 2009, compte tenu notamment d'un effet change favorable (-1% à périmètre et taux de change constants).
Le contrôle strict des coûts et du BFR ayant permis la génération d'un cash flow net d'environ 270 millions d'euros sur l'exercice (contre 800 millions l'an dernier), le groupe d'électronique et de défense a terminé l'année avec une trésorerie nette positive de près de 200 millions.
Confiant dans un redressement rapide de son résultat opérationnel courant, Thales se fixe un objectif de 5% en 2011, porté à 6% en 2012. Ceci s'inscrirait dans un contexte d'activité en légère progression grâce au secteur Aérospatial & Transport, avec des commandes annuelles demeurant sensiblement égales aux revenus.
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