L'Irlande près d'un accord sur un report de son paiement à la banque centrale
Date: 22/03/2012 @ 10h30
Source: Dow Jones News
L'Irlande est sur le point de conclure un accord avec ses partenaires internationaux sur le report d'un versement de 3,1 milliards d'euros prévu au titre du soutien financier du pays à ses banques, a déclaré Michael Noonan, le ministre irlandais des Finances.
L'Irlande négocie depuis plusieurs mois avec l'Union européenne et le Fonds monétaire international (FMI) en vue d'obtenir un rééchelonnement des paiements qu'elle doit effectuer au titre des "promissory notes", des instruments mis en place il y a plus de trois ans pour renflouer Anglo Irish Bank Corp. et Irish Nationwide Building Society, deux établissements nationalisés pendant la crise financière et maintenant réunis au sein d'un nouvel ensemble dénommé Irish Bank Resolution Corp.
Le précédent gouvernement irlandais s'est engagé à verser 31 milliards d'euros à ces établissements sous forme de "promissory notes" sur une période de plus de 10 ans.
Ces "promissory notes" sont utilisés comme garantie par les deux banques pour avoir accès à des prêts d'urgence de la banque centrale irlandaise.
Dans le cadre de ce dispositif, l'actuel gouvernement doit effectuer un versement de 3,1 milliards d'euros à la banque centrale irlandaise le 31 mars, après un premier paiement du même montant intervenu il y a un an. Ces échéances pèsent lourdement sur les finances publiques de l'Irlande.
Michael Noonan a informé les parlementaires irlandais que les discussions avec les autorités européennes et en particulier avec la Banque centrale européenne (BCE) avaient bien avancé. L'échéance du 31 mars "pourrait être réglée en apportant une obligation à long terme de l'Etat irlandais", a-t-il indiqué. Les détails du plan "sont en train d'être mis au point", a dit le ministre.
Patrick Honohan, le gouverneur de la banque centrale irlandaise, a demandé que le conseil des gouverneurs de la BCE accepte un report du paiement prévu ce mois-ci et a bon espoir d'obtenir gain de cause, a indiqué une personne proche du dossier.
-Eamon Quinn, Dow Jones Newswires
Date: 22/03/2012 @ 10h30
Source: Dow Jones News
L'Irlande est sur le point de conclure un accord avec ses partenaires internationaux sur le report d'un versement de 3,1 milliards d'euros prévu au titre du soutien financier du pays à ses banques, a déclaré Michael Noonan, le ministre irlandais des Finances.
L'Irlande négocie depuis plusieurs mois avec l'Union européenne et le Fonds monétaire international (FMI) en vue d'obtenir un rééchelonnement des paiements qu'elle doit effectuer au titre des "promissory notes", des instruments mis en place il y a plus de trois ans pour renflouer Anglo Irish Bank Corp. et Irish Nationwide Building Society, deux établissements nationalisés pendant la crise financière et maintenant réunis au sein d'un nouvel ensemble dénommé Irish Bank Resolution Corp.
Le précédent gouvernement irlandais s'est engagé à verser 31 milliards d'euros à ces établissements sous forme de "promissory notes" sur une période de plus de 10 ans.
Ces "promissory notes" sont utilisés comme garantie par les deux banques pour avoir accès à des prêts d'urgence de la banque centrale irlandaise.
Dans le cadre de ce dispositif, l'actuel gouvernement doit effectuer un versement de 3,1 milliards d'euros à la banque centrale irlandaise le 31 mars, après un premier paiement du même montant intervenu il y a un an. Ces échéances pèsent lourdement sur les finances publiques de l'Irlande.
Michael Noonan a informé les parlementaires irlandais que les discussions avec les autorités européennes et en particulier avec la Banque centrale européenne (BCE) avaient bien avancé. L'échéance du 31 mars "pourrait être réglée en apportant une obligation à long terme de l'Etat irlandais", a-t-il indiqué. Les détails du plan "sont en train d'être mis au point", a dit le ministre.
Patrick Honohan, le gouverneur de la banque centrale irlandaise, a demandé que le conseil des gouverneurs de la BCE accepte un report du paiement prévu ce mois-ci et a bon espoir d'obtenir gain de cause, a indiqué une personne proche du dossier.
-Eamon Quinn, Dow Jones Newswires
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Comment dire une chose et son contraire ...
Petite leçon de communication pour première année école de com.
PRESSE: La trajectoire de la dette grecque est fragile - troïka
Date: 21/03/2012 @ 13h52
Source: Dow Jones News
"La trajectoire de la dette est extrêmement sensible aux retards d'application du programme", a écrit la troïka -le surnom donné au trio Banque centrale européenne (BCE), Union européenne (UE) et Fonds monétaire international (FMI)- au sujet de la Grèce, rapporte mercredi Les Echos, citant une note confidentielle que le quotidien économique s'est procurée.
Le programme d'ajustement budgétaire pourrait ainsi être "exposé à des accidents de parcours", selon la note.
La troïka met en garde contre une résistance de la population à "une flexibilité accrue des salaires", une opposition à "la libéralisation des biens et services" ou des "retards administratifs", qui mettraient en danger le programme.
"Le programme peut placer la dette grecque dans une trajectoire viable", note toutefois la troïka.
Petite leçon de communication pour première année école de com.
PRESSE: La trajectoire de la dette grecque est fragile - troïka
Date: 21/03/2012 @ 13h52
Source: Dow Jones News
"La trajectoire de la dette est extrêmement sensible aux retards d'application du programme", a écrit la troïka -le surnom donné au trio Banque centrale européenne (BCE), Union européenne (UE) et Fonds monétaire international (FMI)- au sujet de la Grèce, rapporte mercredi Les Echos, citant une note confidentielle que le quotidien économique s'est procurée.
Le programme d'ajustement budgétaire pourrait ainsi être "exposé à des accidents de parcours", selon la note.
La troïka met en garde contre une résistance de la population à "une flexibilité accrue des salaires", une opposition à "la libéralisation des biens et services" ou des "retards administratifs", qui mettraient en danger le programme.
"Le programme peut placer la dette grecque dans une trajectoire viable", note toutefois la troïka.
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OCDE: la situation budgétaire de l'Espagne et du Portugal est gérable -Blommestein
Date: 21/03/2012 @ 13h24
Source: Dow Jones News
Le Portugal et l'Espagne sont tout à fait capables de rembourser leurs dettes, a indiqué mercredi un représentant de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), en réponse aux craintes que la crise grecque ne se propage à d'autres pays de la Zone Euro.
"La situation au Portugal et en Espagne est totalement différente [de celle de la Grèce]. Dans ces pays, elle est tout à fait gérable", a expliqué Hans J. Blommestein, responsable du pôle marchés obligataires et gestion de la dette publique de l'OCDE, à Dow Jones Newswires.
Hans J.Blommestein, qui dirige un comité de gérants obligataires des 34 pays membres de l'OCDE, a indiqué que le problème de la Grèce avait été rendu beaucoup plus important qu'il ne l'était en réalité, en raison des incertitudes entourant le pays.
Reconnaissant que le Portugal et l'Espagne étaient eux aussi confrontés à des difficultés politiques, le responsable a souligné qu'ils n'auraient pas besoin de restructurer leur dette.
-Khushita Vasant, Dow Jones Newswires
Date: 21/03/2012 @ 13h24
Source: Dow Jones News
Le Portugal et l'Espagne sont tout à fait capables de rembourser leurs dettes, a indiqué mercredi un représentant de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), en réponse aux craintes que la crise grecque ne se propage à d'autres pays de la Zone Euro.
"La situation au Portugal et en Espagne est totalement différente [de celle de la Grèce]. Dans ces pays, elle est tout à fait gérable", a expliqué Hans J. Blommestein, responsable du pôle marchés obligataires et gestion de la dette publique de l'OCDE, à Dow Jones Newswires.
Hans J.Blommestein, qui dirige un comité de gérants obligataires des 34 pays membres de l'OCDE, a indiqué que le problème de la Grèce avait été rendu beaucoup plus important qu'il ne l'était en réalité, en raison des incertitudes entourant le pays.
Reconnaissant que le Portugal et l'Espagne étaient eux aussi confrontés à des difficultés politiques, le responsable a souligné qu'ils n'auraient pas besoin de restructurer leur dette.
-Khushita Vasant, Dow Jones Newswires
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Zone euro: Une majorité d'opérateurs jugent qu'un autre pays restructurera sa dette-BarCap
Date: 19/03/2012 @ 09h53
Source: Dow Jones News
Une majorité d'investisseurs pensent qu'un autre pays de la Zone Euro, comme la Grèce, restructurera sa dette d'ici à un an, d'après une enquête de Barclays Capital, et beaucoup prévoient que la forte croissance de l'économie américaine soutiendra le dollar face à l'euro au prochain trimestre.
Quatre investisseurs sur dix estiment qu'au moins un autre pays pourrait sortir de la zone euro, révèle l'enquête de Barclays, une proportion en recul par rapport à l'enquête réalisée en novembre et qui faisait ressortir un taux de près de 50%.
Sur les 700 clients institutionnels sondés, près des deux tiers pensent que le Portugal ou l'Irlande restructurera sa dette publique mais la plupart considèrent que l'impact sur les marchés financiers internationaux sera moindre.
-Eva Szalay, The Wall Street Journal
(Version française Aurélie Henri)
Date: 19/03/2012 @ 09h53
Source: Dow Jones News
Une majorité d'investisseurs pensent qu'un autre pays de la Zone Euro, comme la Grèce, restructurera sa dette d'ici à un an, d'après une enquête de Barclays Capital, et beaucoup prévoient que la forte croissance de l'économie américaine soutiendra le dollar face à l'euro au prochain trimestre.
Quatre investisseurs sur dix estiment qu'au moins un autre pays pourrait sortir de la zone euro, révèle l'enquête de Barclays, une proportion en recul par rapport à l'enquête réalisée en novembre et qui faisait ressortir un taux de près de 50%.
Sur les 700 clients institutionnels sondés, près des deux tiers pensent que le Portugal ou l'Irlande restructurera sa dette publique mais la plupart considèrent que l'impact sur les marchés financiers internationaux sera moindre.
-Eva Szalay, The Wall Street Journal
(Version française Aurélie Henri)
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Aprés L'Espagne mercredi, le Portugal jeudi, l'Irlande aujourd'huis.
A qui le tour...
La prime du CDS de l'Irlande en nette hausse vendredi
Date: 16/03/2012 @ 12h44
Source: Dow Jones News
Le coût de l'assurance contre un risque de défaut sur la dette de l'Irlande a bondi vendredi matin, après l'annonce du gouvernement irlandais selon laquelle il a peu de chances de parvenir à un accord ce mois-ci avec la Banque centrale européenne (BCE) sur une restructuration des instruments utilisés pour renflouer le secteur bancaire du pays.
Vers 09h30, la prime du credit default swap (CDS) à cinq ans de l'Irlande augmentait de 16 points de base à 635 points de base, d'après le fournisseur de données de marché Markit.
Les CDS sont des dérivés qui fonctionnent comme une assurance contre le risque de défaut des émetteurs. En cas de défaut, le vendeur de protection rembourse l'acheteur.
L'Irlande tente d'obtenir un rééchelonnement des paiements qu'elle doit effectuer au titre des "promissory notes", des instruments mis en place il y a plus de trois ans pour renflouer Anglo Irish Bank Corp. et Irish Nationwide Building Society, deux établissements nationalisés pendant la crise financière.
Le précédent gouvernement irlandais s'est engagé à verser 31 milliards d'euros à ces établissements sous forme de "promissory notes" - une sorte de titre de créance - sur une période de plus de 10 ans.
Le pays veut également négocier un abaissement des intérêts annuels qu'il verse aux deux banques au titre des "promissory notes". Ces instruments sont utilisés comme garantie par les deux banques pour avoir accès à des prêts d'urgence de la banque centrale irlandaise.
Vers 09h30, la prime du CDS du Portugal était en recul de 1 point à 36 points en "upfront".
Une transaction "upfront", utilisée dans le cas d'investissements jugés très risqués, signifie que le vendeur de protection demande le versement d'une somme d'argent dès la conclusion du contrat.
Pour assurer 10 millions de dollars de dette à cinq ans émise par le Portugal, il faut maintenant payer en moyenne 3,6 millions de dollars à la conclusion du contrat, plus 100.000 dollars par an.
Peu convaincu que la Grèce soit un cas exceptionnel, comme l'affirment les dirigeants européens, le marché continue de redouter que le Portugal soit le prochain candidat à une restructuration de sa dette.
Le coût du CDS de l'Espagne était quant à lui en hausse de 1 point de base à 403 points de base, tandis que celui de l'Italie montait de 3 points de base à 365 points de base.
La prime du CDS de l'Allemagne était stable à 72 points de base et celle de la France progressait de 1 points de base à 174 points de base.
-Ben Edwards, Dow Jones Newswires
A qui le tour...
La prime du CDS de l'Irlande en nette hausse vendredi
Date: 16/03/2012 @ 12h44
Source: Dow Jones News
Le coût de l'assurance contre un risque de défaut sur la dette de l'Irlande a bondi vendredi matin, après l'annonce du gouvernement irlandais selon laquelle il a peu de chances de parvenir à un accord ce mois-ci avec la Banque centrale européenne (BCE) sur une restructuration des instruments utilisés pour renflouer le secteur bancaire du pays.
Vers 09h30, la prime du credit default swap (CDS) à cinq ans de l'Irlande augmentait de 16 points de base à 635 points de base, d'après le fournisseur de données de marché Markit.
Les CDS sont des dérivés qui fonctionnent comme une assurance contre le risque de défaut des émetteurs. En cas de défaut, le vendeur de protection rembourse l'acheteur.
L'Irlande tente d'obtenir un rééchelonnement des paiements qu'elle doit effectuer au titre des "promissory notes", des instruments mis en place il y a plus de trois ans pour renflouer Anglo Irish Bank Corp. et Irish Nationwide Building Society, deux établissements nationalisés pendant la crise financière.
Le précédent gouvernement irlandais s'est engagé à verser 31 milliards d'euros à ces établissements sous forme de "promissory notes" - une sorte de titre de créance - sur une période de plus de 10 ans.
Le pays veut également négocier un abaissement des intérêts annuels qu'il verse aux deux banques au titre des "promissory notes". Ces instruments sont utilisés comme garantie par les deux banques pour avoir accès à des prêts d'urgence de la banque centrale irlandaise.
Vers 09h30, la prime du CDS du Portugal était en recul de 1 point à 36 points en "upfront".
Une transaction "upfront", utilisée dans le cas d'investissements jugés très risqués, signifie que le vendeur de protection demande le versement d'une somme d'argent dès la conclusion du contrat.
Pour assurer 10 millions de dollars de dette à cinq ans émise par le Portugal, il faut maintenant payer en moyenne 3,6 millions de dollars à la conclusion du contrat, plus 100.000 dollars par an.
Peu convaincu que la Grèce soit un cas exceptionnel, comme l'affirment les dirigeants européens, le marché continue de redouter que le Portugal soit le prochain candidat à une restructuration de sa dette.
Le coût du CDS de l'Espagne était quant à lui en hausse de 1 point de base à 403 points de base, tandis que celui de l'Italie montait de 3 points de base à 365 points de base.
La prime du CDS de l'Allemagne était stable à 72 points de base et celle de la France progressait de 1 points de base à 174 points de base.
-Ben Edwards, Dow Jones Newswires
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L'ISDA publie la liste des banques qui participeront aux enchères liées aux CDS grecs
Date: 15/03/2012 @ 16h03
Source: Dow Jones News
L'International Swaps & Derivatives Association (ISDA) a publié jeudi la liste des établissements financiers qui vont participer à la journée d'enchères sur les titres de dette grecque pour lesquels des CDS ont été souscrits.
Quatorze institutions financières participeront à cette opération, parmi lesquelles Bank of America Merrill Lynch, Barclays, Goldman Sachs, Deutsche Bank, Nomura, Bnp Paribas et Société Générale, a indiqué l'ISDA.
Une commission spéciale de l'ISDA a déterminé vendredi dernier que la restructuration de la dette grecque constituait un "événement de crédit", en raison du recours du gouvernement grec aux clauses d'action collective, qui contraignent les créanciers réticents à participer à l'opération. L'association avait alors annoncé que les contrats de CDS souscrits sur la dette grecque seraient activés.
Les CDS sont des dérivés qui fonctionnent comme une assurance contre le risque de défaut des émetteurs. En cas de défaut, le vendeur de la protection rembourse l'acheteur.
L'opération qui doit permettre le règlement des contrats de CDS sur la dette grecque se tiendra le 19 mars.
Dans ce cadre, les 14 institutions financières sélectionnées feront une offre sur les titres de dette apportés par les détenteurs, et un administrateur indépendant déterminera leur prix.
Les acheteurs de protection seront ensuite remboursés d'un montant représentant la valeur nominale, ou pair, de l'obligation, moins son prix de rachat, ou valeur de recouvrement.
Les CDS sur la dette grecque se montent en net à 3,2 milliards de dollars, selon le Depository Trust & Clearing Corp., l'organisme américain de compensation et de règlement-livraison.
Site Internet de l'ISDA: http://www.isda.org/companies/HellenicRepublicCDS/HellenicRepublicCDS-part-bidder.html
-Serena Ruffoni, Dow Jones Newswires
Date: 15/03/2012 @ 16h03
Source: Dow Jones News
L'International Swaps & Derivatives Association (ISDA) a publié jeudi la liste des établissements financiers qui vont participer à la journée d'enchères sur les titres de dette grecque pour lesquels des CDS ont été souscrits.
Quatorze institutions financières participeront à cette opération, parmi lesquelles Bank of America Merrill Lynch, Barclays, Goldman Sachs, Deutsche Bank, Nomura, Bnp Paribas et Société Générale, a indiqué l'ISDA.
Une commission spéciale de l'ISDA a déterminé vendredi dernier que la restructuration de la dette grecque constituait un "événement de crédit", en raison du recours du gouvernement grec aux clauses d'action collective, qui contraignent les créanciers réticents à participer à l'opération. L'association avait alors annoncé que les contrats de CDS souscrits sur la dette grecque seraient activés.
Les CDS sont des dérivés qui fonctionnent comme une assurance contre le risque de défaut des émetteurs. En cas de défaut, le vendeur de la protection rembourse l'acheteur.
L'opération qui doit permettre le règlement des contrats de CDS sur la dette grecque se tiendra le 19 mars.
Dans ce cadre, les 14 institutions financières sélectionnées feront une offre sur les titres de dette apportés par les détenteurs, et un administrateur indépendant déterminera leur prix.
Les acheteurs de protection seront ensuite remboursés d'un montant représentant la valeur nominale, ou pair, de l'obligation, moins son prix de rachat, ou valeur de recouvrement.
Les CDS sur la dette grecque se montent en net à 3,2 milliards de dollars, selon le Depository Trust & Clearing Corp., l'organisme américain de compensation et de règlement-livraison.
Site Internet de l'ISDA: http://www.isda.org/companies/HellenicRepublicCDS/HellenicRepublicCDS-part-bidder.html
-Serena Ruffoni, Dow Jones Newswires
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Genre la Grece va tenir son engagement en 2020...
2020 c'est trééééééééééééééééééééééééééééés loin...
Bref, c'est mort tout le monde le sait.
Tout le monde attend gentiment que ca pete :D
Le portugal va pouvoir relancer son exportation sauf si les autres pays font de l'austérité !
Ah merde... L'austérité généralisée est imposée par l'Europe ?
Bon allez, c'est l'heure de penser à se proteger du choc non ?
2020 c'est trééééééééééééééééééééééééééééés loin...
Bref, c'est mort tout le monde le sait.
Tout le monde attend gentiment que ca pete :D
Le portugal va pouvoir relancer son exportation sauf si les autres pays font de l'austérité !
Ah merde... L'austérité généralisée est imposée par l'Europe ?
Bon allez, c'est l'heure de penser à se proteger du choc non ?
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Une pierre deux coup. C'est trés bien de l'avoir annoncé durant une phase d'euphorie. Aurait-ils pris des leçon de communication à l'américaine ?
Message complété le 15/03/2012 15:38:56 par son auteur.
auraient-ils pardon
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déjà il refusent la règle du jeu pour 2012. Ils ont revu leur objectif de déficit à -5.8%....
La suite ne devrait pas tarder....
La suite ne devrait pas tarder....
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BCE: le ratio dette/PIB du Portugal pourrait culminer à 124%
Date: 15/03/2012 @ 14h15
Source: Dow Jones News
La dette publique du Portugal ne dépassera pas 110% du produit intérieur brut (PIB) en 2020, même si le pays manque ses objectifs de réduction du déficit en 2012 et 2013, a déclaré jeudi la Banque centrale européenne (BCE).
Dans son bulletin mensuel, la BCE a indiqué que même si les projections de PIB du Portugal étaient abaissées de 2 points de pourcentage en 2012 et 2013, la dette publique du pays culminerait à 124% du PIB en 2013 avant de reculer progressivement jusqu'à 110% en 2020.
Selon un scénario de référence, prévoyant une contraction de de 3,3% du PIB cette année et une croissance de 0,3% en 2013, la dette se monterait à 115% du PIB en 2013 et à 96% en 2020, a indiqué la BCE.
Le ratio d'endettement s'établissait à 93,3% en 2010.
L'évaluation de la BCE intervient alors que le marché redoute de plus en plus que le Portugal ait besoin d'un nouveau plan de sauvetage et, éventuellement, d'une restructuration de sa dette similaire à celle de la Grèce.
Le gouvernement portugais et les dirigeants européens ont souligné que la dette portugaise était supportable et en aucun cas comparable à celle de la Grèce.
-Patricia Kowsmann, Dow Jones Newswires
Date: 15/03/2012 @ 14h15
Source: Dow Jones News
La dette publique du Portugal ne dépassera pas 110% du produit intérieur brut (PIB) en 2020, même si le pays manque ses objectifs de réduction du déficit en 2012 et 2013, a déclaré jeudi la Banque centrale européenne (BCE).
Dans son bulletin mensuel, la BCE a indiqué que même si les projections de PIB du Portugal étaient abaissées de 2 points de pourcentage en 2012 et 2013, la dette publique du pays culminerait à 124% du PIB en 2013 avant de reculer progressivement jusqu'à 110% en 2020.
Selon un scénario de référence, prévoyant une contraction de de 3,3% du PIB cette année et une croissance de 0,3% en 2013, la dette se monterait à 115% du PIB en 2013 et à 96% en 2020, a indiqué la BCE.
Le ratio d'endettement s'établissait à 93,3% en 2010.
L'évaluation de la BCE intervient alors que le marché redoute de plus en plus que le Portugal ait besoin d'un nouveau plan de sauvetage et, éventuellement, d'une restructuration de sa dette similaire à celle de la Grèce.
Le gouvernement portugais et les dirigeants européens ont souligné que la dette portugaise était supportable et en aucun cas comparable à celle de la Grèce.
-Patricia Kowsmann, Dow Jones Newswires
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