OK
Accueil > Communauté > Forum Cac 40

Le gouvernement envisage de surtaxer les plus-values immobilières - Page 2

Cours temps réel: 8 088,24  0,89%



colet colet
05/12/2012 16:30:03
0
voici un lien donnant le niveau de la dette en fonction du pib, année par année, avec les personnes à la tête du pays.

45% des 85% sont du fait de Mitterand qui a ouvert la voie

Message complété le 05/12/2012 16:34:01 par son auteur.

oublié le lien

http://www.syti.net/Endettement.html

Message complété le 05/12/2012 16:44:19 par son auteur.

whatelse
j'en étais au message d'avant pour te répondre !!!

  
Répondre
JCROIPLU JCROIPLU
05/12/2012 16:23:03
0
"sacré JCROIPLU" heureusement que t'es là, ça me changera de carla"
  
Répondre
whatelse whatelse
05/12/2012 16:21:50
0
colet, concernant la dette du à F.M. tucolporte des idées de monsieur tout le monde mais pas des vérités. Regarde l'article que j'ai mis en ligne.
  
Répondre
whatelse whatelse
05/12/2012 16:16:28
0
Pour colet

A l'heure de la campagne présidentielle, les responsabilités sur l'échec de la dette seront mises en avant. Les candidats évoqueront la responsabilité des 35 heures, de la retraite à 60 ans, d'autres évoqueront le sauvetage irraisonné des banques, les facilités fiscales accordées aux plus favorisés... Quand on traite de la dette deux questions reviennent : quand et pourquoi la France a-t-elle perdu pied ? Existe-t-il dans cet échec un responsable ou plusieurs responsables à la fois ?

Remontons le temps. La France de Valéry Giscard d'Estaing et du premier ministre Raymond Barre était peu endettée. En 1974, elle avait un taux de dette publique autour de 20 % du PIB , il est resté le même tout au long du septennat. Et pourtant, ce septennat connaîtra deux crises pétrolières majeures (1974 et 1979). La dette ne fait pas partie du débat politique.
De 1981 à 1991, François Mitterrand est président et en 1991, le premier ministre est Michel Rocard, la dette progresse à pas mesuré. Dix ans de gestion socialiste et une dette qui progresse de 15 points sur la période (de 21 % à 36 %) avec des déficits annuels compris entre 2 % et 3 %. Une certitude, la retraite à 60 ans est entrée en vigueur depuis dix ans déjà. Mais la situation n'est pas catastrophique.

De 1991 à 1998 c'est le "grand bond" en avant de la dette publique. C'est une des deux périodes décisives qui vont constituer le point d'orgue de ce que sera l'endettement de notre pays. Un choc indescriptible. En six ans, le taux de la dette double et progresse de 24 points (36 % à 60 %), soit en moyenne 4 points par an. Les taux de déficit annuels plongent à plus de 6 % et c'est en 1998 que l'on revient à 3 %. François Mitterrand quitte le pouvoir en 1995 et Jacques Chirac lui succède, Lionel Jospin est premier ministre depuis 1997. La France travaille toujours 39 heures par semaine. Or, en 1998, la dette a atteint la cote d'alerte.

Suivent ensuite trois années exceptionnelles, 1999 à 2001, le taux de la dette diminue passant sous la barre fatidique des 60 %. C'est l'entrée en vigueur de l'euro. La France respecte les critères de Maastricht (60 % de dette publique, un taux déficit annuel du budget de 3 % avec une croissance de 2 % du PIB). Elle ne le refera plus. Le premier ministre est Lionel Jospin, le président Jacques Chirac. La France ne travaille plus que 35 heures.

De 2001 à 2005, on jette par-dessus bord les promesses du traité européen et la dette reprend alors son ascension. Le pourcentage de 65 % est dépassé. Jean-Pierre Raffarin est premier ministre et Jacques Chirac est de nouveau président. On invoque tour à tour la faute aux 35 heures et la retraite à 60 ans. Mais c'est l'indiscipline budgétaire qui est responsable de cette dérive. Le traité de Maastricht est jeté par-dessus bord.

De 2006 à 2007 court répit, le taux d'endettement marque le pas à 64 %. On a dépassé les critères de Maastricht mais ils le sont de peu (+ 4 points). Tout est encore possible. Le premier ministre est Dominique de Villepin. Le président est Jacques Chirac.

Vient alors le second choc, le plus terrible. Entre 2007 et 2011, le taux de la dette publique passe de 64 % à 87 %, soit une progression de 5 points par an, une progression moyenne supérieure à celle de la période 1991-1998. Un véritable "tsunami" financier qui fera grimper la dette à plus de 90 % en 2012. Nicolas Sarkozy est président et François Fillon premier ministre.

La raison est connue : la crise économique des subprimes qui conduit à déprécier les actifs du système bancaire, entraînant dans son sillage une crise sans précédent, accompagnée d'une croissance proche de zéro et d'une explosion des dettes souveraines. La dette a franchi un cap qui rend la situation insoutenable. Nous en sommes là.

Cette brève histoire de la France, au travers du prisme de sa dette, permet de tirer deux enseignements. Le premier concerne les accusations sur des coupables désignés. Ces coupables n'expliquent pas à eux seuls la situation financière. Dans les moments où le taux d'endettement s'est arrêté, la France a eu des premiers ministres de fermeté, y compris et surtout à l'égard du chef de l'Etat. Le second enseignement est le non-respect des engagements européens. C'est sans aucun doute le point crucial de la situation de la France. Peu de gouvernants, ces trente dernières années, ont eu la volonté de revenir aux critères du traité de Maastricht. Ces critères ont été critiqués et souvent méprisés. On découvre tard, bien tard, que le remède de la France, comme celui de toute l'eurozone, à la crise des dettes souveraines passe par le chemin de l'UE et par aucun autre chemin que celui-là.


--------------------------------------------------------------------------------

  
Répondre
ROUBESH ROUBESH
05/12/2012 16:15:30
0
comme tu y vas fort l'ami avec ces petites chévres qui n'on rien demandé......!!!

  
Répondre
whatelse whatelse
05/12/2012 16:06:58
0
colet, tu es partial, tu ne lis pas tout ce qui est écrit dans mon article. Il dit que Sarkozy s'est entêté à suivre son programme politique et c'était une erreur.
  
Répondre
colet colet
05/12/2012 16:00:50
0
regardez plutôt l'historique de la dette
la grande majorité provient de Mitterand (plus de 55% du PIB) et ce qu'il a emprunté ne vaut pas la même chose aujourd'hui avec l'inflation de l'époque.
les autres ont traîné le boulet, Chirac avait tenté de le diminuer, Srko aussi mais la crise est arrivée, et Hollande en rajoutera.
Bref, nous ne ferons pas mieux que l'Espagne, par exemple.
  
Répondre
whatelse whatelse
05/12/2012 15:53:14
0
JCROIPLU, demander au conseil constitutionnel le taux maximum qu'on pourrait nous piquer, là attention, ils sont capables d'arriver à 110% du salaire brut.
  
Répondre
whatelse whatelse
05/12/2012 15:47:55
0
excellent jcroiplu, suis de ton avis. Et d'autre part, mariage pour tous ou enc.....er les chèvres et si on laissait les gens disposer de leur c.l comme ils en ont envie sans discutailler sur des sujets dont, à part quelques intégristes, tout le monde s'en tape.
  
Répondre
JCROIPLU JCROIPLU
05/12/2012 15:43:11
0
Les gouvernements successifs pondent que des augmentations d'impôts et de taxes, et donc députés et sénateurs passent le plus grand temps à discutailler, pour finir par voter les décisions du gouvernement puisque le principe est que quand on a la majorité on se doit d'accepter les volontés du gouvernement.

Pour faire des économies: demandons au conseil constitutionnel de décider une bonne fois pour tout de donner directement le maximum que l'on puisse piquer au contribuable.

Une fois que ce taux est donné, plus besoin de députés et de sénateurs, supprimons ces parasites, cela fera des économies.

Quand au décision "sociétale", telle que le mariage dit "pour tous", ou bien la "possibilité d'enculer des chèvres" ou autre, seul le peuple par référendum se prononcerait, par un référendum, couplé à une élection de Président (pour éviter les frais)
  
Répondre
whatelse whatelse
05/12/2012 15:28:16
0
Pour Aliqujus, fin 2006, la dette de la France était de 64%, fin 2011 84.5%, surement l'effet 35h pour Sarkozy.

2005 66,8 % -2,9 % 1 147,6 -50,2
2006 64,1 % -2,3 % 1 152,2 -41,9
2007 64,2 % -2,7 % 1 211,6 -51,6
2008 68,2 % -3,3 % 1 318,6 -64,3
2009 79,0 % -7,5 % 1 492,7 -142,5
2010 82,3 % -7,1 % 1 591,2 -136,5
2011* 84,5 % Prev. 1 789,0 Prev.

*Les chiffres 2011 sont des prévisions.

Dette publique France 2011
L’historique de la dette publique montre une augmentation de 2007 à 2011 très rapide, du fait de la crise internationale et de la politique gouvernementale. Nicolas Sarkozy avait un programme politique en 2006, comme candidat, qui ne prévoyait pas la crise qui s’est déroulée (personne n’a su la prévoir telle qu’elle est arrivée). La crise s’est annoncée mondialement dès les premiers mois de son mandat mais il s’est acharné à mener son programme de candidat, sans réellement voir que le temps de son programme ne coïncidait pas avec son temps d’exercice du pouvoir.

En mars 2011, la dette publique s’élevait à 1646,1 milliards d’euros, soit 84,5 % du PIB. Fin 2011, ce définit pourrait atteindre quelque 1800 milliards d’euros. La France compte 65 millions d’habitants. La dette publique par habitant s’élève ainsi à 27692 euros.

Pour aller plus loin, Philippe Herlin, chercheur en finance et chargé de cours au CNAM, tient un blog consacré à la dette de la France.

  
Répondre
colet colet
05/12/2012 15:21:28
0
tu verras bien par la suite qui a retenue la France sur le fil de la crise,
et qui l'a plongée violemment.

mais Sarkozy a fait de grosses erreurs.
personne n'est parfait, seul compte l'ensemble du bilan.
  
Répondre
whatelse whatelse
05/12/2012 15:19:23
0
aliqujus, tes chiffres sont hyper fantaisistes, d'autre part renseigne toi bien sur ce qu'a dépensé Sarkozy sous son "règne".
  
Répondre
whatelse whatelse
05/12/2012 15:13:31
0
aliqujus, ne me parle surtout pas de la taxe professionnelle, si tu en parles aux petits commerçants, elle leur coûte aujourd'hui une fortune, ce qui n'était pas le cas avant. Quant aux sociétés, je peux t'affirmer que pour nous, cela n'a rien changé. Alors qu'on change l'assiette pour qu'à l'arrivée la plupart paie le même montant et ceux qui ne payaient pratiquement rien soit lourdement imposé, je ne vois pas le gain. Ni pour les uns, ni pour les autres. Il faudrait par contre arrêter de dire Sarko etait bon, Hollande mauvais, ce sont tous les deux des hommes politiques qui se moquent royalement de toi.
  
Répondre
whatelse whatelse
05/12/2012 15:08:44
0
Quand ils surtaxeront la co....rie des hommes politiques, la France n'aura plus de déficit.
  
Répondre
aliqujus aliqujus
05/12/2012 12:43:56
0
A WATLESE

Effectivement SARKO a créer un certain nombre d'imôpes et taxes mais en a diminuer d'autres :

RESTAURANT TRAVAUX PAR ARTISANS DROITS SUR LES SUCCESIONS ASSIETTE TAXES PROFESSIONNELLES ...

Il a du honorer aussi les dépenses renouvelables laissés par un certain JOSPIN et ses 35 H dans la fonction publique soit environ 25 milliards par an plus 60 milliards annuels pour le million de fonctionnaires embauchés par la gauche ( ceux là l'état doit les payer jusqu'à leur mort) etc etc

Ce n'est pas pour celà que j'approuve la politique économique qu'il a mené ses trois premières années , il beaucoup trop dépensé et "endormi les francais "au moment où il devanait patent qu'il fallait commencer à se serrer la ceinture , par contre pendant la crise je lui donnerai un bilan très positif .... mais incertain car je manque de connaissances en macro économie
  
Répondre
ROUBESH ROUBESH
05/12/2012 12:41:16
0
il me semble que mon ami JCroiplu avait mis un jour sur le forum cette petite histoire qui avait lancé un débat animé. je vous la remet , à méditer.

Imaginons que tous les jours, 10 amis se retrouvent pour boire une bière et que l’addition totale se monte à 100€. Normalement, cela ferait 10€ par personne).

Mais nos dix amis décidèrent de payer cette facture selon une répartition qui s’inspire du calcul de l’impôt sur le revenu, ce qui donna à peu près ceci :

• Les 4 premiers ne payeraient rien. (les 4 plus pauvres selon le système que nous connaissons… NDLR)

• Le cinquième paierait 1€

• Le sixième paierait 3€

• Le septième paierait 7€

• Le huitième paierait 12€

• Le neuvième paierait 18€

• Le dernier devrait payer 59€ (le plus riche selon le système de prélèvement par « niveau »… NDLR)

Les dix hommes se retrouvèrent chaque jour pour boire leur bière et semblaient assez contents de leur arrangement. Jusqu’au jour où le tenancier les plaça devant un dilemme:

« Comme vous êtes de bons clients, dit-il, j’ai décidé de vous faire une remise de 20€ sur la facture totale. Vous ne payerez donc désormais vos 10 bières que 80€. ». Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon qu’ils auraient payé leurs taxes. Les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement. Mais comment les six autres, (les clients payants), allaient diviser les 20€ de remise de façon équitable? Ils réalisèrent que 20€ divisé par 6 faisaient 3.33€.

Mais s’ils soustrayaient cette somme de leur partage alors le 5ème et 6ème homme devraient être payés pour boire leur bière. Le tenancier du bar suggéra qu’il serait plus équitable de réduire l’addition de chacun d’un pourcentage du même ordre, il fit donc les calculs.

Ce qui donna à peu près ceci :

• Le 5ème homme, comme les quatre premiers ne paya plus rien. (1 pauvre de plus?)

• Le 6ème paya 2€ au lieu de 3€ (33% réduction)

• Le 7ème paya 5€ au lieu de 7€ (28% de réduction)

• Le 8ème paya 9€ au lieu de 12€ (25% de réduction)

• Le 9ème paya 14€ au lieu de 18€ (22% de réduction)

• Le 10ème paya 50€ au lieu de 59€ (16% de réduction) (la plus grosse en montant, mais par forcément en pourcentage… NDLR)

Chacun des six « payants » paya moins qu’avant et les 4 premiers continuèrent à boire gratuitement. Mais une fois hors du bar, chacun compara son économie : « J’ai seulement eu 1€ sur les 20€ de remise », dit le 6ème, il désigna le 10ème «lui, il a eu 9€». « Ouais ! dit le 5ème, j’ai seulement eu 1€ d’économie »

« C’est vrai !» s’exclama le 7ème, «pourquoi aurait-il 9€ alors que je n’en ai eu que 2€? Le plus riche a eu le plus gros de la réduction »

« Attendez une minute » cria le 1er homme, «nous quatre n’avons rien eu du tout nous. Le système exploite les pauvres ». Les 9 hommes cernèrent le 10ème et l’insultèrent.

La nuit suivante le 10ème homme (le plus riche donc…) ne vint pas. Les neuf autres s’assirent et burent leur bière sans lui. Mais quant vint le moment de payer leur note ils découvrirent quelque chose d’important : ils n’avaient pas assez d’argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l’addition…

Message complété le 05/12/2012 12:43:20 par son auteur.

je sais c'est pas le sujet du post... mais vu qu'on parle de taxes, le sujet n'est pas si lointain.

  
Répondre
colet colet
05/12/2012 12:39:47
0
allez, penses qu'avant une console aurait considérée comme objet de luxe, et taxée à 33% ...
mince consolation malgré tout
  
Répondre
ROUBESH ROUBESH
05/12/2012 12:27:40
0
la droite, la gauche....tout ça pour moi ne veut plus rien dire, la politique francaise c'est taxer, taxer, taxer.!!

Message complété le 05/12/2012 12:29:13 par son auteur.

ps: cherche activement console de jeux pour essai dans mon canapé.

  
Répondre
colet colet
05/12/2012 12:15:57
0
Roubesh

c'était comme cela dans les pays de l'est , plus personne ne bossait, on voit où ces pays sont arrivés, à la ruine.
Quand on critique les locomotives, elles finissent par s'arrêter, ou partir ailleurs.
  
Répondre

Forum de discussion Cac 40

201212051630 316268

Investir en Bourse avec Internet

Ma liste