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Un marché immense sans concurrence avérée - Page 13

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CRI74 CRI74
14/05/2018 13:05:51
2
Le refus du biocide par l'Echa a constitue un véritable coup de massue pour l'entreprise, qui avait développé son maillage commercial en Europe en multipliant les lettres d'intentions avec les industriels, l'autorisation de mise sur le marché devant déboucher sur autant d'accord définitifs.
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Amoeba a notamment signé l'an dernier de nouvelles lettres d’intention en vue de la conclusion de contrats pour la distribution de ses produits avec NCR Biochemical (Italie), Blue Neon (Roumanie) et H20 Facilities (Suisse), ainsi que les américains Garratt Callahan, Momar et Kroff Chemical.
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Aujourd'hui, la société peut encore miser sur les Etats-Unis, où elle a déposé un dossier de demande d’enregistrement de sa substance active auprès de l’Agence Américaine de Protection de l’Environnement.
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Par ailleurs, Amoeba travaille sur d'autres applications pour sa substance active. Elle destine en particulier sa solution à la viticulture pour la lutte contre le mildiou. De premiers tests réalisés ont montré une efficacité de plus de 90% sur le mildiou, nettement supérieure à l’efficacité habituelle des agents de biocontrôle d’environ 50% en serre.
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Des travaux ont aussi été effectués par la société sur l’utilisation de sa substance active dans de nouveaux marchés tels que le traitement des plaies humaines ou le bio-contrôle phytosanitaire. Ces nouvelles opportunités doivent faire l’objet de travaux de recherche approfondis sur 2018 et 2019.


Extrait TDS complété
  
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CRI74 CRI74
11/05/2018 23:18:11
4
L'action Amoeba a vigoureusement rebondi vendredi 11mai , terminant la séance en hausse de 21,05% à 6,90 euros, soit la meilleure performance de tout le marché parisien, dans des volumes étoffés de 406 312 titres, soit 6,77% du capital .
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Après le récent avis négatif du comité européen des produits biocides sur l'homologation de son amibe Willaertia magna C2c Maky tueuse de bactéries , la société, qui ne pèse plus que 40 millions d'euros en Bourse, peut encore rebondir.
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La sortie de crise pourrait ainsi venir des Etats-Unis, où la décision de l'Environmental Protection Agency (EPA) sur la demande d'homologation est attendue à partir d'octobre.
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Amoeba réfléchit par ailleurs à d'autres applications pour sa substance active.
Elle destine en particulier sa solution à la viticulture pour la lutte contre le mildiou.
De premiers tests réalisés ont montré une efficacité de plus de 90% sur le mildiou, nettement supérieure à l’efficacité habituelle des agents de biocontrôle d’environ 50% en serre.
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Une nouvelle série de tests est planifiée sur 2018 afin de préparer les essais au champ prévus en 2019.
  
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CRI74 CRI74
11/05/2018 11:27:25
1
Retour en grâce , titre réservé à la hausse alors que la seconde initiation du biocide dans le traitement de la vigne ouvre une deuxième voie pour la société
  
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CRI74 CRI74
05/05/2018 19:27:05
4
http://www.amoeba-biocide.com/sites/default/files/180504_cp_amoeba_resultats_efficacite_en_serre_90_fr_vedf.pdf


Second domaine d'activité pour le biocide d'Amoeba dont les premiers résultats apparaissent très supérieurs aux traitement existants de la vigne , ces derniers largement condamnés par les riverains des vignobles concernant leurs effets toxiques
  
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CRI74 CRI74
04/05/2018 16:04:26
1
Il n'existe pas de concurrence car c'est le premier produit de biochimie proposé dans cette application
Actuellement, on utilise de la chimie relativement nocive mais souvent rien du tout avec les problématiques que cela engendre

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
04/05/2018 14:50:32
3
Publié le 03/05/2018 à 09:50 - Mis à jour le 03/05/2018 à 09:51
Suite à la non-autorisation de mise sur le marché de son amibe, le spécialiste du traitement de l’eau se retrouve en difficulté. Son cours de Bourse s’est effondré et une augmentation de capital se profile. Dans ce contexte, le PDG Fabrice Plasson précise ses griefs contre l’Agence de sécurité sanitaire française.

Depuis le 26 avril Amoéba est dans la tourmente.

L’autorisation de mise sur le marché européen de son produit phare, une amibe, permettant de traiter l’eau des tours industrielles a été refusée par l’Agence européenne des produits chimiques (Echa).

Le comité des produits biocides de l’Echa a jugé que le produit d’Amoéba n’affichait pas «une efficacité suffisante» et que des «risques inacceptables pour la santé humaine ne [pouvaient] être exclus, en lien avec un effet «cheval de Troie» par lequel l’amibe agirait comme un réservoir pour des bactéries pathogènes».

Cette décision a entrainé un effondrement du titre de 77% en deux séances.

Le PDG contre-attaque

Face à cette situation critique, le PDG de l’entreprise, Fabrice Plasson a décidé de contre attaquer en s’en prenant à l’Agence française de sécurité sanitaire (Anses).

Selon lui, l’Anses «qui aurait du soutenir [leur] dossier a toujours maintenu son opinion négative alors que les Agences des autres pays tentaient de lui faire adopter un avis plus conciliant».

Il est également revenu sur les risques liés à un effet «cheval de Troie» mis en avant par l’Echa.

Selon lui, les craintes de l’Agence reposeraient uniquement sur une étude du Docteur Greub datant de 2004 qui évoquait de possibles risques liés à l’absorption par l’humain d’amibes contenant des bactéries. Or, «l’auteur même de cet article a publié une nouvelle étude en 2014 remettant en cause ces inquiétudes, jugeant qu’aucun risque n’avait finalement pu être identifié», explique Fabrice Plasson.

Sur ce thème, «l’Anses a même refusé de regarder une de nos études, réalisée sur des rats, qui démontrait l’innocuité de notre produit sous le prétexte fallacieux qu’une référence était manquante», ajoute le PDG. 

Au global, Fabrice Plasson rejette les deux critiques de l’Echa. Le risque pour la santé humaine est jugé «hypothétique», ce qui «ne peut pas constituer un argument pour décider d’une non-approbation».

Quant au manque d’efficacité, le fondateur d’Amoéba juge que «même si cela était vrai, ça ne devrait pas empêcher une mise sur le marché avec un contrôle à posteriori». Sur ce point, il met en avant le cas d’un produit chimique, le CMIT MIT Isothiazolinone, qui «a été autorisé par l’Anses alors que son efficacité n’était pas démontrée».

L'Anses se défend

Contactée, l’Anses s’est défendue en rappelant que ce n’est pas elle qui «autorise ou n’autorise pas les substances actives biocides, mais bien les autorités compétentes de l’ensemble des États membres, sur la base de l’opinion adoptée par le comité des produits biocides de l’Echa.»

L’Agence indique aussi que «ces décisions sont prises à l’issus d’un processus collégial et contradictoire effectué au niveau européen sous coordination de l’Echa».

Un processus auquel a participé Amoéba qui «ne peut donc pas ignorer le fonctionnement et les détails de ce processus», conclut l’Anses.

Malgré les explications du PDG, nous recommandons toujours la prudence sur le titre.

Levée de fonds au programme

Sans autorisation de mise sur le marché, la société se retrouve avec une unité de production française inutile et voit ses espoirs de lancer la commercialisation de son produit s’évanouir à court terme. 

Sa situation financière ne lui permet de tenir que jusqu’à fin 2018 à périmètre constant. Pour pouvoir accélérer sur ses autres projets (traitement des plaies humaines, lutte contre les champignons de la vigne), le groupe «devra rapidement faire appel au marché», reconnait Fabrice Plasson.

Une perspective qui n’est pas de nature à favoriser un rebond de l’action. La forte baisse de la capitalisation boursière de la société risque en effet de rendre toute levée de fonds particulièrement dilutive.

Un avenir américain ?

La lumière pourrait toutefois venir des États-Unis. Amoéba attend le verdict de l’Agence environnementale américaine au quatrième trimestre de cette année.

Une première «revue technique» devrait lui être communiquée en juillet prochain. Elle permettrait d’en savoir un peu plus sur l’orientation que pourrait prendre l’Agence.

Par ailleurs, la décision finale quant à une mise sur le marché en Europe est entre les mains de la Commission européenne. Le PDG espère que Bruxelles prendra le contre-pied de l’Echa.

«Cela ne s’est jamais vu dans un dossier traditionnel, reconnait Fabrice Plasson, mais le cas d’Amoéba n’a rien de traditionnel».

D’autant «que c’est la Commission qui portera la responsabilité juridique et contre qui nous comptons porter plainte, et non pas l’Anses ou l’Echa».

Le PDG espère aussi un coup de pouce du ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, qui a récemment dévoilé un plan pour favoriser le développement de solutions de traitement biologique au détriment des produits phytosanitaires.

Restez à l’écart de l’action Amoéba.
  
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pmichaud pmichaud
04/05/2018 11:42:45
1
la facilité dirait la Chine. Ce sont des pros pour recycler tout et n'importe quoi........alors des amibes! de la rigolade.Ils intègrent déjà les résidus de culture virale sur les œufs ds l'alimentaire. Je pense qu'une amibe bien nourrie à la légionelle ne devrait pas leur poser problème. En tout état de cause rentrer sur amoeba à 5 € c'est cadeau. Les technos de rupture ne sont jamais comprises et surtout par les barons qui protègent leur part de marché ou alors trop bien comprises.......à suivre
  
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CRI74 CRI74
01/05/2018 22:15:35
0
Il semble plausible que l'embarras du choix pour s'expatrier soit le prochain problème à gérer pour le staff ..... ?
  
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ettircs ettircs
01/05/2018 19:53:54
2

La liste des experts pour les biocides:
Source anses
Mandat 2016-2018 :
Président : Georges DE SOUSA
Vice-président : Jean-Christophe CAHUZAC

Membres
Olivier ADAM
Alain AYMARD
Jean-Marc BERJEAUD
Romain BONAFOS
Jean-Christophe CAHUZAC
Emmanuel COMOY
Georges DE SOUSA
James DEVILLERS
Philippe HARTEMANN
Claire HELLIO
Pierre MARIS
Vincent RICHARD
Annick VENANT
  
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CRI74 CRI74
30/04/2018 18:02:28
3

Extrait de Boursier :Vous avez fait part de votre incompréhension suite à l'avis émis par l'Agence européenne des produits chimiques qui n'approuve pas votre produit. Quels sont aujourd'hui vos arguments pour contester leur recommandation ?
.
Fabrice.Plasson. : Nous n'avions pas le droit de communiquer sur le fond du dossier, mais uniquement sur la conclusion...
Néanmoins l'Agence française de sécurité sanitaire (ANSES) a enfreint ces règles et a répondu à un de vos confrères sur le fond, donc je m'autorise à le faire, ces éléments étant désormais publics...
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En premier lieu, concernant le prétendu effet "cheval de Troie" par lequel l'amibe agirait comme réservoir de bactéries, je rappelle que le mode de fonctionnement de l'amibe est de manger les bactéries, lesquelles sont, à un moment donné, logiquement dans l'amibe .
En outre, sur un plan juridique, la Cour européenne de Justice de Luxembourg a clairement défini qu'un risque hypothétique ne pouvait en aucun cas servir de non approbation et qu'il faut un risque avéré pour invoquer le risque de précaution.
C'est un cas de jurisprudence de la cour européenne de Justice.
Or, aucun risque avéré n'a pu être mis en évidence entre cet effet " cheval de Troie " et un potentiel risque pour l'homme et l'environnement. L'ANSES emploie d'ailleurs le conditionnel dans ses conclusions... C'est une honte que le droit et la jurisprudence européens soient bafoués pour délivrer une non-autorisation. Nous ferons valoir nos droits.
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CV : D'après les éléments dévoilés par un confrère, l'ANSES a aussi jugé que le produit n'avait pas suffisamment démontré d'efficacité...
.
F.P. : En 2015, l'ANSES a accepté une substance chimique dont l'efficacité était non démontrée. Le rapport explique clairement que la substance n'a pas démontré d'efficacité.
Un deuxième principe européen consiste dans l'obligation de traiter de manière équivalente la chimie et la microbiologie. L'ANSES ne semble pas non plus en tenir compte. Mais sur le fond, nous avons réalisé toutes les études nécessaires pour confirmer l'efficacité du produit.
En résumé, notre dossier est rejeté sur des éléments inadmissibles juridiquement parlant; et sans aucun élément tangible scientifiquement parlant !
.
CV: Vous décrivez un processus injuste pour Amoeba... Quelles en seraient les raisons ?
.
F.P. : Je suis curieux de le savoir !
Lorsque la France amène devant l'Europe une société française, elle est censée la défendre, face aux autres membres... Là c'est tout l'inverse qui s'est produit...
.
CV : Une décision de la Commission Européenne allant à l'encontre de l'avis du comité d'experts, constitue-t-elle un scénario plausible ?
.
F.P. : Nicolas Hulot vient de s'engager publiquement à promouvoir et favoriser l'homologation des solutions de bio contrôle des start-ups biologiques.
L'écart semble énorme entre son discours et les décisions de son administration. Je l'engage à prendre le dossier à bras le corps avant la décision finale de la commission Européenne en octobre 2018.
Si Monsieur Hulot veut écrire une jurisprudence sur une nouvelle substance, biocide, il peut le faire !
Dans le cas contraire, cela aurait des conséquences désastreuses pour l'innovation française dans le domaine de l'eau, ressource essentielle, et cela pour des années.
.
CV : L'opinion émise par l'Agence européenne des produits chimiques résulte d'un processus contradictoire impliquant l'ensemble des États membres européens ainsi que le demandeur. Dans ce contexte comment pouvez-vous faire une demande d'autorisation auprès d'un nouvel état membre ?
.
F.P. : Nous pouvons soumettre à nouveau le dossier à d'autres pays, mais nous aurions alors perdu trois ans...
La France est le pays le plus prolifique en termes de créations d'entreprises, mais il faut la fuir dès qu'on arrive au niveau réglementaire !
CV : Avez-vous la Trésorerie suffisante pour faire face à vos prochaines échéances ?
F.P. : Notre Trésorerie nous mène jusqu'à fin 2018 et vraisemblablement, la société devra lever de l'argent sur la base de nouvelles applications, mais aussi sur sa capacité à contrer l'opinion de non-approbation et à déposer le dossier dans un autre pays.
Concernant notre usine française, c'est malheureux, mais elle n'a plus lieu d'être et nous allons consacrer toute notre énergie aux Etats-Unis, puisque nous attendons la décision pour cette application en octobre 2018.
Nous avons aussi la possibilité de nous développer en Chine dans cette même application.
.
Par ailleurs, nous développons d'autres applications comme l'utilisation de l'amibe dans le biocontrole en agriculture. Les tests d'efficacité sont menés à Bordeaux.
Nous allons accélérer le dépôt de ce dossier, mais pas en France !
  
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CRI74 CRI74
29/04/2018 00:17:03
2
Il semblerait que les analystes ne soient pas aussi dépités que le marché et voient encore de l'avenir pour Amoeba , certes de manière plus difficile


Dans une note du 27 avril, les analystes de Bryan Garnier ont réduit leur objectif de cours sur la valeur de 28,50 à 13 euros .


13 € contre 5.5 € actuel , voilà qui laisse une certaine marge après la purge logique .
  
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CRI74 CRI74
28/04/2018 13:00:41
0
Merci Ptichat .


Cependant , on peut émettre quelques doutes quant aux éléments probatoires demandés tel celui ci :
S'agissant d'un élément présent naturellement dans l'environnement , l'Anses demandait de prouver l'absence de rejet dans le milieu naturel .... alors qu'il s'y trouve déjà !
On voudrait tuer le produit qu'on ne s'y prendrait pas autrement .


Il faudra voir au delà de l'Anses puisqu'il semblerait que les atouts et l'absence de nocivité ont convaincu bien d'autres spécialistes européens .
Les avis au delà du continent apparaissent également nécessaires .
La demande est là en tous cas pour remplacer quantité de produits chimiques dont le lobby résiste ardemment
  
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CRI74 CRI74
27/04/2018 17:42:55
1
Augustus , une preuve de plus de l'inefficience de l'AT qui ne peut absolument pas prévoir les nouvelles des sociétés et leur impact logique .Dans l'autre sens , on doublait aisément le cours
CQFD !

Message complété le 27/04/2018 19:15:16 par son auteur.

Communiqué de la société :
Amoeba , producteur d’un biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau, annonce que son dossier de demande d’autorisation de la substance active biocide Willaertia magna C2c Maky pour un usage en type de produit 11 (TP 11 - Produits de protection des liquides utilisés dans les systèmes de refroidissement et de fabrication) a été discuté au cours de la session du Comité des Produits Biocides du 26 avril 2018.

L’opinion adoptée par le Comité des Produits Biocides est la non-approbation de la substance active
Willaertia magna C2c Maky pour un usage en TP 11.
.
Cette opinion devra être confirmée par la Commission Européenne à travers un règlement d’exécution
selon la procédure réglementaire. Le règlement d’exécution est attendu courant du quatrième
trimestre 2018.
La Commission Européenne n’est pas légalement tenue de suivre l’opinion du Comité des Produits
Biocides. Dans le cas où la Commission Européenne confirme l’opinion du Comité des Produits
Biocides, la Société fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire respecter ses droits. Notamment la
Société déposera une demande d’annulation de la décision auprès des juridictions compétentes
européennes, conjointement avec une demande de suspension de la décision. La suspension pourrait
intervenir rapidement après la publication du règlement d’exécution.


« Cette opinion est incompréhensible au regard des éléments du dossier et de l’absence de risque avéré.
Les experts du Groupe de Travail, lors de la revue collective européenne, ont apporté énormément
d’éléments positifs en faveur de notre dossier, mais l’ANSES est restée campée sur sa position, qui a
servi de base pour l’opinion du Comité des Produits Biocides.
.
Nous prévoyons d’ores et déjà la soumission d’une nouvelle demande auprès d’un autre Etat Membre convaincu par notre technologie et qui supporterait l’approbation de la substance active, comme aurait dû le faire l’ANSES.», déclare Fabrice PLASSON, Président Directeur Général d’AMOEBA.

  
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CRI74 CRI74
27/04/2018 17:40:27
1
LibelléQtéPRUCoursValo+/- Val.var/PRUvar/Veille%
AMOEBA ... 7,45351 €
Pour la truffre bousomaniesque qui ne cesse de raconter âneries sur âneries
  
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pmichaud pmichaud
27/04/2018 16:44:09
2
je ne pense pas que la chine et les US s'arretent à la frilosité technocratique européenne. on assiste en live à une spoliation de R et D bien orchestré pars les hedges. dommage pour notre économie.

Message complété le 27/04/2018 16:49:39 par son auteur.

on va assister gentiment à la remonté de la mèche en direction des 9,6.....en avant le retracement. Les PP une fois de plus BAI.

  
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BIOA BIOA
27/04/2018 16:01:00
0
sans con currence .. maintenant oui (;o))
  
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Augustus Augustus
27/04/2018 15:42:49
0
Bonjour Cri je viens de regarder le graph , je sais que vous n’êtes pas très porté pour les graphs , mais franchement il n'y avait qu'en UT mensuel que l'on pouvait voir une dégradation du cours (graphique) si non les autres UT était bien orienté , comme quoi il faut regarder tout les UT .

Bonne chance et bon courage

CIAO



  
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CRI74 CRI74
27/04/2018 15:31:05
1
Pour le coup , lourde rechute du titre mais il reste heureusement des acquéreurs de poids .
Le biocide n'est sans doute pas en cause , on peut plutôt y voir comme on sait le faire en Europe ,les influences mal placées de quelques industriels lobbyistes .
Mais l'Europe n'est pas encore le centre du monde , l'intérêt peut venir d'ailleurs , Chine en tête dont les besoins sur ce type de biochimie sont considérables .
Titre renforcé sous les 5 , ligne doublée (PRU 7.45 )
Les ventes réalisées auparavant (30 , 32 , 24 etc ...) laissent encore une très belle PV sur ce titre
(note pour les nuls type bouso )
  
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Pictou Pictou
27/04/2018 15:29:30
0
le minimum serait qu'ils donnent les motifs de leur refus, d'autant qu'ils avaient donné leur accord pour les essais.

pas investi, tout bénef pour moi ...j'avais un peu flairé, sans plus
  
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BIOA BIOA
27/04/2018 15:22:23
0
encore une perle du cricri (:o))

Message complété le 27/04/2018 15:25:37 par son auteur.

A mon avis tout ce qu'un PP doit prendre en compte avant de se lancer sur la marché des biotechs en général.
1/ Analyser ce qu'il est prêt à perdre au cas ou le marché dans ce secteur venait à fortement chuter.
2/ mettre que l'argent dont il n'aura pas besoin dans l'immédiat
3/ être 100% sur ce secteur me parait de la pure folie de joueur de poker.
Il va de soit qu’être 100% sur une seule de ces valeurs c'est carrément de la roulette Russe mais inversée (5 balles sur 6 dans le barillet)
4/ Passé ce cap reste encore à faire le tri entre celles qui paraissent avoir un avenir et celles qui pourraient tomber dans une longue léthargie suite à une mauvaise new ..
Maintenant que vous avez fait votre choix:
1/vous devez savoir que ce marché est hyper volatile.. des 20% et plus sont fréquents.. sur un simple teewt ou une simple recommandation d'analyste.
Reste à savoir pour quel fond opère cet analyste lorsque cette recommandation sort .
La plupart du temps la valeur en question reperd une bonne partie les séances suivantes.
2/Vous devez savoir egalement que rare sont celles qui n'appellent pas le marché pour se financer..du fait de bénéfice insignifiant..hors la recherche coute cher et dure des années
et parfois mais ça n'engage que moi .. pourquoi tuer la poule aux œufs d'or .. on se comprendra!!
pour résumer investir sur ce marché demande un minimum de connaissances scientifiques et de connaissances procédurières à suivre avant que la molécule arrive sur les comptoirs de votre pharmacien préféré
bien sur ce message concerne la grande majorité des biotechs
Message complété le 23/03/2016 09:42:07 par son auteur.
perso comme je n'ai ni les compétences scientifiques ni les compétences de procédure et je suis prudent de nature .. j’évite ces valeurs en général sauf peut etre en intraday en coupant mes pertes rapido

  
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