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Un marché immense sans concurrence avérée - Page 15

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Ptitchat72 Ptitchat72
23/11/2017 18:03:33
2
un nouveau débouché dans les pesticides biologiques des vignes sur une colline

Publié le 23/11/2017 à 12:37 - Mis à jour le 23/11/2017 à 12:38

La société spécialiste du traitement de l’eau sans produits chimiques a annoncé des résultats encourageants pour utiliser sa technologie dans un autre domaine : la lutte contre les maladies des plantes. L’action Amoeba réagit bien mais les investisseurs attendent un feu vert européen pour le produit phare de l’entreprise avant de s’emballer.

Il y a quelques semaines, le PDG d’Amoeba, Fabrice Plasson, nous avais confié attendre, «d’ici la fin de l’année», des résultats sur l’utilisation de son amibe (être vivant unicellulaire) en tant qu’anti-levure et anti-moisissure.

Ces résultats viennent d'être révélés et ils sont plutôt encourageants, des tests réalisés in vitro s'étant montrés positifs.

Ils «mettent en évidence la possibilité d’utiliser Willaertia Magna C2c Maky» (l’amibe d’Amoeba) comme un moyen de lutter contre deux champignons, le mildiou et le botrytis, qui présentent «des résistances aux fongicides» et «sont responsables de maladies de la vigne», a indiqué la société dans son communiqué de presse.

Suite au succès de ces tests in vitro, Amoeba prévoit de réaliser des tests en serre dès l’été 2018. S’ils sont concluants, le groupe pourrait chercher à se rapprocher d’un acteur du marché afin de signer un partenariat.

Des tests en champ seraient ensuite prévus pour 2019.
Verdict européen attendu

L’action Amoeba a bien réagi à ces annonces. Le 23 novembre en fin de matinée, elle s’adjugeait plus de 2%, à 15,60 euros.

Si cette publication est clairement positive, elle n’aura pas d’impact significatif sur les comptes de la société avant plusieurs années.

À court terme, les investisseurs restent focalisés sur le projet phare de l’entreprise dans le traitement de l’eau des tours industrielles.

L’agence européenne des produits chimiques doit rendre son verdict en avril prochain. Plusieurs fois repoussée, cette décision autorisera (ou non) Amoeba à commercialiser son produit.

D’ici là, le groupe devrait obtenir un premier avis de l’autorité sanitaire américaine (FDA). Attendu en décembre, il pourrait jouer un rôle de catalyseur à la hausse (si la FDA ne demande pas d’éléments complémentaire) ou à la baisse (si elle demande des éléments ce qui repousserait sa décision finale au-delà d’octobre 2018).
  
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dimitrievich dimitrievich
22/11/2017 20:46:10
1
Bonsoir,

<p>Ref/ Agriculture

<p>Tests in vitro encourageants.
Une autre porte s’entrouvre,
Communiqué de presse (22/11/17) depuis leur site :</p>
http://www.amoeba-biocide.com/fr/news/willaertia-magna-comme-agent-de-biocontrole
Via le laboratoire Conidia et plus spécifiquement via Coniphy....pour Phytopatologie.
http://conidia.fr/laboratoire-expert-phytopathologie-maladie-des-plantes/



Bonne lecture


+++++++



</p>

Message complété le 22/11/2017 21:22:22 par son auteur.

Grr!...Phytopathologie !..encore un H .. aspiré..

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
10/11/2017 11:55:25
4
Amoeba : les six prochains mois seront décisifs
Par Johann Corric

Publié le 10/11/2017 à 10:29 - Mis à jour le 10/11/2017 à 10:29

La petite société qui a développé un procédé innovant de traitement de l’eau sans produits chimiques a suscité beaucoup d’espoir avant de décevoir (presque) autant. Son avenir se joue dans les prochains mois avec, notamment, un rapport qui doit, ou non, donner l’autorisation à Amoeba de commercialiser son amibe.

Introduit en Bourse en juillet 2015, Amoeba a reçu un accueil très bienveillant de la part des investisseurs. En quelques mois, son cours a été multiplié par près de quatre, atteignant un maximal le 12 janvier 2016, à 38,45 euros.
Après l’euphorie, ce fut la douche froide. En un an et demi, l’action a chuté de 65%.

La technologie de la société n’est pas en cause. Testée chez plusieurs industriels avec succès, elle permet de remplacer l’utilisation de produits chimiques, le chlore notamment, par celle d’amibes (êtres vivants unicellulaires) dans le traitement de l’eau des tours industrielles.

Le groupe fondé et dirigé par Fabrice Plasson s’est déjà rapproché de nombreux distributeurs et est prêt à commercialiser son procédé en Europe. Il ne lui manque qu’un élément, de taille : l’autorisation de mettre sur le marché son produit.

Initialement attendue en 2016, elle a été repoussée à plusieurs reprises et la décision est désormais prévue pour avril 2018.


Les mois qui viennent seront ainsi décisifs pour l’avenir de la société. Nous avons rencontré le PDG d’Amoeba, Fabrice Plasson. L'occasion pour Le Revenu d'apporter des réponses à quelques questions que pourraient se poser les investisseurs.

Quelles sont les prochaines étapes avant une commercialisation en Europe ?

Le groupe de travail («working group») de l’Agence européenne des produits chimiques se réunira physiquement en janvier mais aucune information officielle ne devrait être communiquée à cette occasion.

Il rendra ensuite son rapport et donnera ses recommandations sur le produit d’Amoeba. Des conclusions attendues pour fin mars 2018.

Un mois plus tard, entre le 24 et le 27 avril, le comité des produits biocides, qui regroupe l’ensemble des représentants des États membres de l’Agence des produits chimiques votera pour donner, ou non, son autorisation à la commercialisation du produit d'Amoeba.

Habituellement, ce comité suit la recommandation du «working group».

La remise du rapport, fin mars, sera donc un moment clé pour la société.

Si l’autorisation est obtenue, un délai de six mois sera encore nécessaire pour que la Commission européenne fasse enregistrer le produit dans tous les États membres.

La commercialisation pourrait ainsi débuter, au plus tôt, en octobre 2018.


Pour rappel, Amoeba dispose d’une usine d’une capacité de 400 mètres cubes près de Lyon. Elle permet d’adresser 10% du marché européen visé. À pleine capacité, cela représenterait un chiffre d’affaires supérieur à 40 millions d’euros.

Où en sont les demandes d’autorisations aux États-Unis ?

Amoeba a déposé le dossier auprès de l’agence compétente, l’EPA (Environmental Protection Agency), en septembre dernier. Cette dernière «est moins exigeante que sa consœur européenne puisqu’elle n’a demandé un accès qu’à un tiers de l’ensemble des documents transmis à l’Europe», note Fabrice Plasson.

En décembre prochain, l’EPA fera un premier point lors duquel elle communiquera son besoin, ou non, d’éléments complémentaires.

Si elle ne demande rien de plus, elle devrait donner son verdict en octobre 2018.

Aux États-Unis, Amoeba ne dispose pas d’unité de production. «Nous pourrions décider de lancer la construction d’une petite usine, d’une capacité de 60 mètres cube, dès l’été 2018 selon les retours que nous aurons de l’EPA», indique le président.


La société ferait le choix d’une usine à «faible capacité» afin de gagner du temps. Une telle unité prendrait, en tout et pour tout, huit mois à construire.

Le groupe développe-t-il d’autres applications ?

Le marché est quasi-uniquement focalisé sur les avancées réglementaires du programme d’Amoeba dans le traitement de l’eau.

Pourtant la société a communiqué en juin dernier sur un projet intéressant dans le traitement des plaies profondes. Les amibes du groupe se sont révélées «efficaces contre les bactéries multirésistantes aux antibiotiques» présentes dans ces blessures soignées en milieu hospitalier «tout en épargnant les bactéries favorisant la cicatrisation de la peau», explique Fabrice Plasson.

Sur ce marché, estimé à 700 millions de dollars aux États-Unis, Amoeba s’est allié à l’américain Viscus Biologics qui se chargera des aspects réglementaires puis de la distribution.

Le dossier n’a pas encore été déposé auprès de l’autorité sanitaire américaine qui prendra ensuite environ deux ans avant de rendre sa décision.

Par ailleurs, la société travaille actuellement sur une utilisation de son amibe en tant qu’anti-levure et anti-moisissure pour l'agriculture. «S’ils sont positifs, nous devrions annoncer des résultats d’ici la fin de l’année», confie Fabrice Plasson.



De quelle visibilité financière dispose Amoeba ?
Le groupe a récemment obtenu un prêt de 20 millions d’euros de la part de la Banque européenne d’investissement.

Ce financement est découpé en trois tranches dont les montant ne sont pas spécifiés par la société.

La première est déjà accessible et sera levée prochainement. La seconde pourra être exercée si l’autorisation de mise sur le marché est obtenue. Pour tirer la dernière, Amoeba devra avoir atteint 10 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel.

En intégrant le montant de la première tranche, la société «dispose d’une visibilité financière jusqu’en septembre 2018, à périmètre constant», indique Fabrice Plasson.


Si l’AMM est obtenue en avril, le groupe devra probablement se dégager de nouvelles marges de manœuvre financières. Sera alors décidé de tirer la deuxième tranche du financement de la BEI et/ou de lancer une augmentation de capital et/ou de signer un partenariat hors d’Europe et des États-Unis.

Conclusion

En résumé, quatre évènements sont susceptibles de faire varier l’action au cours des prochains mois :

- Une potentielle annonce d’une nouvelle application dans l’agriculture, d’ici fin 2017.

- Un premier retour de la FDA aux États-Unis prévu en décembre.

- La remise du rapport du «working group» fin mars 2018.

- La décision du comité des produits biocides, entre le 24 et le 27 avril 2018.
  
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CRI74 CRI74
08/11/2017 20:30:48
1
CRI74 CRI74
09/10/2017 23:20:16
1
Cela vient répondre aux doutes sur le financement à l'horizon 2018 en tous cas ; le fait qu'un organisme européen finance ne peut que démontrer les attentes pour une telle évolution susceptible d'ouvrir certaines portes .
  
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Ptitchat72 Ptitchat72
09/10/2017 21:30:42
1

un pas en avant .. un pas en arrière .. et un nouveau pas vers l'avant.


Publié le 09/10/2017 à 18:56 - Mis à jour le 09/10/2017 à 18:56
Alors que l’avenir du spécialiste du traitement de l'eau est entre les mains de l’agence européenne des produits chimiques, la banque d’investissement de l’UE vient, de son coté, d’accorder un prêt de 20 millions d’euros à la société.

Amoeba a développé une technologie -sans chlore- pour traiter l’eau des tours de refroidissement des industriels.
Il y a un an, la société semblait prête à conquérir le monde, multipliant les préaccords de distribution. Depuis, elle n’a pas arrêté de décevoir.

L’autorisation de mise sur le marché de son produit est toujours repoussée. Dernier décalage en date, Amoeba a annoncé fin septembre que l’Agence européenne des produits chimiques donnerait son avis sur son produit en avril 2018, alors qu’il était attendu dès décembre.
Sur cette information, son action a chuté de 9,4% en deux séances de Bourse.



La BEI en soutien

Mais, quelques jours plus tard, la valeur regagnait du terrain soutenue par… une autre institution européenne.

Plus précisément, la Banque européenne d’investissement (BEI), a indiqué qu’elle octroyait un prêt de 20 millions d’euros à Amoeba «pour révolutionner le traitement des eaux».
«Ce financement européen va permettre à la société Amoéba d’accélérer sa capacité de production tout en soutenant le développement de son marché à l’international. Il sera également un précieux concours à ses investissements en matière de Recherche, Développement et Innovation (RDI)», a précisé la BEI dans son communiqué.
Ajouté aux 8,6 millions d’euros de trésorerie (à fin juin), cet emprunt «renforce significativement les marges de manœuvre d’Amoeba», se sont réjouis les analystes de Portzamparc qui maintiennent par ailleurs leur conseil d’achat sur la valeur.

Au-delà des aspects financiers, ce soutien accordé par une institution européenne alors qu’une autre -l’agence des produits chimiques- n’a pas encore donné son verdict peut sembler étonnant.
À moins que l’engagement de la BEI ne soit annonciateur de bonnes nouvelles pour avril 2018 ?

Le 9 octobre, l’action a dans tous les cas applaudi la nouvelle, clôturant sur une hausse de 9,39%, à 16,20 euros.
  
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CRI74 CRI74
29/09/2017 19:29:44
1
Il s'agit d'admettre dans l'environnement courant un nouveau biocide , molécule complexe qui demande de multiples vérifications aussi pointues que pour un médicament afin de s'affranchir de tout danger .
Les délais issus de cette complexité réglementaire s'en ressentent , certes , mais il n'y a pas péril en la demeure .
Le fait que l'argumentaire de la société soit étudié dans sa totalité est un bon point même si cela ne présume pas de la décision .
On aura peut être perdu 9 à 12 mois au niveau industriel , cela rentre dans la norme pour de tels process .
Le carnet de commandes est plein à craquer , en attente de l'AMM
  
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Ptitchat72 Ptitchat72
29/09/2017 19:24:06
0

c'est bizarre..
plus on avance dans le temps, plus l'horizon s'éloigne.
on marche à reculons ou je me trompe ? O-o

  
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CRI74 CRI74
29/09/2017 18:34:29
2
CRI74 CRI74
14/09/2017 18:27:52
1
CRI74 CRI74
14/09/2017 18:26:18
0
dimitrievich dimitrievich
22/05/2017 22:19:10
2

Bonsoir,


Amoeba a signé un premier contrat de distribution aux Etats-Unis


Boursier le 22/05/2017


© Amoeba


Amoeba a signé un premier contrat de distribution pour son biocide biologique aux Etats-Unis avec Earthwise. Ce contrat couvre les Etats du Texas, Oklahoma, Illinois, Indiana et du Wisconsin.


Earthwise est une société spécialisée dans le traitement de l'eau, basée à Chicago. Elle offre une gamme variée de services pour le traitement de l'eau industrielle et commerciale, d'équipements de maintenance, de systèmes sur-mesure, et d'installations techniques pour répondre aux besoins de ses clients dans la gestion de l'eau et des eaux usées.


Earthwise va participer à la première mise en application du Biomeba aux Etats-Unis, notamment pour le traitement des tours aéroréfrigérantes.


+++++


Tout juste rentré de mon périple. ..pour trouver en rentrant ..cette très bonne nouvelle !
  
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CRI74 CRI74
15/05/2017 21:48:31
1
Amoeba , producteur d'un biocide biologique capable d'éliminer le risque bactérien dans l'eau, annonce aujourd'hui la signature d'un contrat de distribution pour son produit BIOMEBA avec NOVOCHEM Water Treatment.
Cet accord est sous réserve de l'obtention de l'autorisation de mise sur le marché (AMM) aux Pays-Bas, en Belgique et au Luxembourg.



<p>La collaboration entre NOVOCHEM et AMOEBA a débuté en 2015 lors de la signature d'une Lettre d'Intention (LOI).
En 2016, un premier test industriel a été déployé aux Pays-Bas auprès d'un client de NOVOCHEM, évoluant dans le secteur tertiaire. Après un premier succès de dix mois, ce test, toujours en cours, a confirmé l'efficacité du BIOMEBA et conduit NOVOCHEM à débuter un second test industriel au courant du mois de mai avec un client dans le secteur de l'industrie lourde.


A travers la signature de ce contrat de distribution, avant même l'obtention de l'AMM, NOVOCHEM démontre sa confiance dans la poursuite du processus réglementaire et dans l'efficacité du produit BIOMEBA. D'ailleurs, NOVOCHEM s'est engagé au côté d'AMOEBA pour l'aider à défendre son dossier réglementaire auprès des instances européennes.




"Les tests sur sites industriels nous ont prouvé l'efficacité du produit BIOMEBA. Nous croyons en cette technologie innovante et aujourd'hui, nous souhaitons pouvoir offrir cette alternative biologique aux biocides chimiques à nos clients industriels" indique Robin WITTE, Directeur NOVOCHEM Water Treatment</p>
  
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CRI74 CRI74
04/05/2017 18:26:04
1
dimitrievich dimitrievich
24/03/2017 01:08:58
1
Waine.....N'est-ce pas l'endroit idéal pour un tel millésime ?
Un quart de tour tous les trimestres...ce n'est pas la mer à boire...


Ceci dit,

Beaucoup de choses dans cet interview. .
<p>C.A...Usa + UE prestations payantes ou similaires... (Marché USA only : 200$/Litre ×1000×1000)= 200M $
Ak/partenariat/usines de productions supplémentaires (1/usa) ...
Il en faudra d'autres sur ce troisième continent, l'Asie.
(Nb..personnel. ..L'Inde possède 20 réacteurs en services (et en veux 250 d'ici 2030... )

Chine bien sûr avec ses 25, mais pas que..+ (T.A.R)

++++++++++++++++
L'obtention de ces deux brevets en Chine nous permet de développer notre influence sur un territoire à fort potentiel commercial et d'envisager des partenariats en Chine en s'appuyant sur notre savoir-faire et notre portefeuille de brevets.» a déclaré Fabrice PLASSON, Président du Directoire d'AMOEBA. « Naegleria fowleri est présente principalement dans les eaux chaudes telles que les eaux de refroidissement des centrales nucléaires, un marché estimé à 1,7 milliards d'euros et ciblé par Amoéba dans un futur proche.» a ajouté Fabrice PLASSON.
(pour rappel)...Selon le type de refroidissement propre à chaque centrale....
+++++++++++++++


Hors sujet....Toutes fois puisque l'on parle Chine et centrales nucléaires. ...de 2020...

un article de fin Nov 2016...

.........
Des centrales nucléaires flottant dans les eaux les plus disputées du monde :
le plan a de quoi inquiéter. Deux entreprises d’Etat chinoises travaillent sur des projets de petites centrales nucléaires, destinées à être installées sur des plateformes ou des bateaux pour alimenter en électricité des infrastructures isolées – civiles, comme des plateformes de forage en haute mer, mais aussi militaires, alors que la Chine affirme sa présence en mer de Chine du Sud en construisant des bases sur les îles qu’elle revendique.


Le 4 novembre, China General Nuclear Power Group a annoncé le lancement de la construction de l’ACPR 50S, un réacteur de faible puissance avec 200 mégawatts contre plus de 1 000 MW pour la plupart des centrales françaises, conçu pour être fixé sur un bateau ou une plateforme en mer. Le premier prototype doit être terminé en 2020. Son concurrent, China National Nuclear Corporation, prévoit de faire voguer un premier bateau-centrale dès 2019. Il embarquera une version adaptée d’un réacteur ACP 100 tout juste terminé, d’une puissance de 100 à 150 MW. Les deux entreprises travaillent avec la société de construction navale CSIC pour élaborer des projets de navires et de plateformes qui accueilleront les réacteurs.c


« Un concept à l’étude, pas plus »


D’abord évoqué en janvier, le projet a été approuvé en avril par la commission au Plan chinoise. En juillet, la presse d’Etat avait érigé les centrales en symbole de la puissance du pays. C’était peu après la décision, le 12 juillet, de la cour de justice de La Haye : saisie par les Philippines, la haute juridiction avait remis en cause les revendications territoriales de Pékin sur la mer de Chine du Sud. Le gouvernement chinois n’a pas reconnu la sentence et a promis plus de constructions dans les zones disputées, riches en hydrocarbures et en poissons. La presse chinoise spécialisée a alors évoqué une vingtaine de plateformes nucléaires prévues entre la mer de Bohai, à l’est de Pékin, et la mer de Chine du Sud.


Pour la Chine, ces réacteurs plus modestes s’inscrivent aussi dans un plan de transition énergétique qui prévoit de doubler la capacité nucléaire du pays, de 31 gigawatts aujourd’hui à 58 en 2020. « Tout le monde s’intéresse à ces petites centrales en ce moment, explique Lin Boqiang, le directeur du centre de recherche sur l’économie du nucléaire de l’université de Xiamen. C’est une source d’énergie propre. Les petites centrales nécessiteront moins d’investissements,...

++++++++++++


Ça promet pour ...Cette mer de Chine...


</p>
  
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Waine 70 Waine 70
23/03/2017 21:23:26
2
Un an de cave alors !


avec de temps en temps quelques soubresauts afin que les investisseurs ne l'oublient pas ... ? ...
  
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CRI74 CRI74
23/03/2017 20:38:17
1
La problématique est ainsi bien explicitée .
Rallongement des délais et besoin de relais de financement avant commercialisation potentielle vers mars 2018
  
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dimitrievich dimitrievich
23/03/2017 20:11:44
2

Bonsoir,

http://la bourseetlavie.com/strategie-et-resultats/fabrice-plasson/


Voilà. ..L'interview que j'attendais suite aux dernières publications..
(comme je viens de rentrer après 1 semaine d'absence ..pas eu le temps de faire le calcul....,

<p>C'était pour moi, " l'épisode " attendu.... Ptitchat72. ..



</p>
  
Répondre
CRI74 CRI74
18/03/2017 09:27:07
0

Extrait du "Revenu" concernant la procédure d'homologationl'Anses a indiqué au Revenu qu'il agissait d'une «procédure normale».
«Pour toutes les substances actives, l’évaluation de l’Etat membre de référence est suivie d’une phase de "revue par les pairs" et d’échanges avec les autres Etats membres et le soumissionnaire, avant la décision finale sur l’approbation (ou non) de la substance active», nous a précisé une porte parole de l'Agence .
Pas grand chose de changé hormis une psychologie plus négative liée aux retards imprévus , ce qui expliquerait que les analystes n'aient fait varier leur objectif qu'à la marge ( 31 et 34€)
Amoeba poursuit ses efforts de commercialisation sous protocole de test ou R&D
  
Répondre
dimitrievich dimitrievich
17/03/2017 18:17:32
0
Ben, Bubu. ...
Si c'est vrai ...c'est des vendus ...pardon c'est défendu.
Reste la bonne étoile ...
Comme tous les pieds-lourds (scaphandriers) qui se respectent j'ai un cordon ombilicale (pharma) qui
j'espère m'apportera un peu d'oxygène si besoin...
Evidemment reste la bonne étoile. .


En revanche Quid des autres fond ?
Si tout cela est vrai...le cours en aurait témoigné non ?









  
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