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Solutions 30: acquisition en Allemagne. - Page 16

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cosmo2 cosmo2
01/05/2021 18:59:07
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Ça en fait donc davantage des filiales que des sous traitants.

Pas le premier groupe côté à se défaire des départements ou filiales qui grèvent l'ensemble

  
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gars d'ain gars d'ain
01/05/2021 18:14:44
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Sauf que les sous-traitants font partie du groupe...


ça me rappelle dernièrement un groupe publicitaire "Révolution 9" qui siphonnait les caisses pleines de ses filiales vertueuses pour faire de croissance en rachetant des entreprises à gogo (70 pour être exact)... et ça a fini en liquidation judiciaire.


https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/revolution-9-un-ogre-de-la-com-aux-methodes-touchy_1788307.html

  
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cosmo2 cosmo2
01/05/2021 17:55:03
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Ah bah Cool, si on en est réduits à publier sur un forum boursier les jérémiades de pseudo salariés soit disant insatisfaits, ça va pas chercher loin.

Ça me rappelle les restaurateurs ou les hôteliers qui font publier par leur entourage des avis negatifs sur leurs concurrents.


Sinon à part ça, les problèmes de trèso des sous traitants restent les problèmes de tréso des sous traitants

  
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gars d'ain gars d'ain
01/05/2021 15:14:00
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Solutions 30 : note d'évaluation AOF post publication du résultat annuel 2020


Points clés

- Groupe numéro 1 européen des services multi-techniques de déploiement et maintenance d’équipements numériques créé en 2003 ;

- Chiffre d’affaires de 682 M€ en 2019 réalisé à 64 % en France, devant le Benelux, l’Allemagne, l’Italie, la péninsule ibérique, et la Pologne ;

- Revenus tirés à 68 % des télécom (part de 30 % du marché français), à 16 % de l’énergie et à 11 % du secteur informatique ;

- Modèle d’affaires :

- combinant croissance interne et externe (30 acquisitions depuis la création) avec duplication du modèle français en Europe afin d’adresser les grands comptes et les nouveaux marchés, - fondé sur 3 piliers – maillage territorial avec 11 000 techniciens, plateforme S30net de partage d’expertises et de mise à disposition des compétences humaines et grands volumes d’intervention ;

- Capital ouvert, Gianbeppi Fortis, co-fondateur et président du directoire en détenant 16,2%, Alexander Sator présidant le conseil de surveillance de 6 membres indépendants ;

- Situation financière très solide avec des capitaux propres de 149 M€ à fin juin 2020 face à une dette nette de 27 M€ (trésorerie nette de dette de 46M€ hors impact IFRS 16) et une trésorerie de 152 M€ à fin juin.


Enjeux

- Stratégie ambitionnant à moyen terme le milliard d’euros de chiffre d’affaires via la taille critique sur chaque marché géographique, la qualité des ressources humaines et la mutualisation des expertises ;

- Stratégie d’innovation axée sur l’amélioration constante de la plateforme S30net (investissements annuels de 1 à 2 % du chiffre d’affaires) et sur la formation des techniciens aux nouvelles compétences ;

- Stratégie environnementale saluée par l’agence de notation Ecovadis et présentant 2 volets –offre de services innovants à impact environnemental moindre et implication des fournisseurs et partenaires à l’effort RSE du groupe ;

- Récurrence des revenus, tirés à 63 % des activités de maintenance ;

- Accélération de la génération d’autofinancement libre par le recours à l’affacturage ;

- Confirmation des percées dans la mobilité (bornes de recharge de véhicules électriques), les réseaux 5G et la maintenance des objets connectés.


Défis

- Sensibilité du chiffre d’affaires, pour 45 % du total, aux trois 1ers clients -télécom et énergie ;

- Croissance des affaires nouvelles tirée essentiellement par le déploiement des fibres optiques en Europe et des compteurs d’énergie, tels les Linky, en France ;

- Impact de la pandémie : hausse de 14 % du chiffre d’affaires à fin juin et recul de 32 % du bénéfice net, affecté par les pertes de change zloty polonais et la hausse des amortissements ;

- Réaction à la pandémie : adaptation des modes opératoires pour protéger la santé des collaborateurs, continuité des services (majeure partie des activités considérées comme essentielles), effort sur le BFR ;

- Objectifs 2020 : confiance dans la capacité à dégager une croissance rentable et à 2 chiffres des revenus.


Des emplois menacés

Selon les prévisions du Syndicat professionnel des acteurs du numérique (Syntec Numérique), le recul de l’activité devrait atteindre 4,6% pour l’ensemble de l’année 2020. Néanmoins la fin d’année a été plus clémente pour les professionnels. La situation s’est légèrement améliorée depuis septembre, au niveau des appels d’offres et du carnet de commandes.

Les acteurs du conseil en technologies auront particulièrement souffert en 2020, en enregistrant une chute de 12,3% de leur activité. Ils sont, en effet, très présents dans deux secteurs particulièrement impactés par la crise sanitaire, l’aéronautique civile et l’automobile. C’est dans le conseil en technologies que le risque de suppressions d’emplois est le plus important. Syntec Numérique évalue à 10.000 les postes en danger sur ce créneau.

Très prudents, les professionnels s’attendent à un rebond de 1% pour le secteur en 2021.

  
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gars d'ain gars d'ain
01/05/2021 15:08:37
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Portzamparc parle d'une "très bonne publication pour S30 qui devrait une nouvelle fois expérimenter une croissance rentable à deux chiffres pour 2021, pour se rapprocher du milliard de CA, avec près de 60% de CA récurrent"... De quoi viser un cours de 18 euros en restant à l'achat.

https://www.boursedirect.fr/fr/actualites/categorie/divers/solutions-30-retour-de-papier-boursier-b51e13121839a4f5ef19755b4df28a2f00d473b8

  
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gars d'ain gars d'ain
01/05/2021 12:01:47
0

Concernant le précédent message sur 3 entreprises affiliées à Solutions 30.


Il suffit de regarder sur "Société.com" (dont j'ai mis les liens) les bilans des 3 entreprises sous-traitantes de missions pour s'apercevoir que les actifs principaux sont des créances qui s'accumulent et donc ces 3 entreprises sont victimes de retards de paiements chroniques qui entrainent des problèmes financiers récurrents, notamment de trésorerie et qui font basculer ces entreprises dans le rouge.

ça me fait bien sourire qu'on demande au salariées d'être beaucoup moins payé alors que l'argent des créances a beaucoup de mal à rentrer.

c'est assez loin du discours concernant l'affacturage mentionné dans la communication du résultat annuel 2020. Il semblerait donc qu'on joue à l'élastique financier : on fait rentrer les facturations toute de suite, et on fait trainer ce que l'on doit. 9a permet d'avoir une trésorerie conséquente sans frais et notamment au détiennent des fournisseurs et des sous traitants...

Message complété le 01/05/2021 12:42:52 par son auteur.

Sans compter que quand on est traitant pour un client unique, c'est lui qui fait les prix au détriment de la rentabilité...

  
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cool13 cool13
01/05/2021 11:16:50
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Extrait avis de sous-traitant.

Territory • il y a 9 jours
Perte de nombreux contrats de Fujitsu avec une grosse perte de qualité justement à cause de "l'utilisation" de personnels lowcost et non formés.
Becky • il y a 4 jours

Pas étonnant qu'ils veuillent virée les anciens tech Fujitsu.
Les nouveaux tech dont je fait parti depuis 3 ans sont embauché à 1600 brut soit 50€ de plus que le smic et une prime repas de 6€ par jour.
Certain "tech" n'ayant aucune compétence en informatique d'autre comme moi avec un BAC +2 en info.
La sous-traitance à outrance à détruit l'emploie dans le domaine et l'arrivé de nouveau informaticien sortie d'école comme moi nous force à accepté des salaires sous payé pour être embauché.
Pour le prix d'un tech Fujitsu ils peuvent avoir 3 technicien low cost.
On est balancé sur les inter sans formation et on s'autoforme sur le tas ou avec les infos d'autres collègue.
Aujourd'hui technicien informatique est synonyme de précarité. Je pense quitter soit cette entreprise soit le métier d'informaticien.
C'est bien triste pour les collègues de TPS, bon courage à vous.

Territory Becky • il y a un jour
Solutions 30 est une société qui ne respecte absolument rien.
Ni les conventions collectives ni le droit du travail.
Beaucoup de jugement en leur défaveur (en décembre qu'il leur a coûté très très cher pour licenciements abusifs).
Également des gens licenciés par SMS.
Des primes pas payés et autres. Des actionnaires bien naïfs ou complices. Une société qui dit faire autant de bénéfices alors qu'ils ne font que le niveau bas des nouvelles technologies, c'est intriguant. Une enquête est en cours je crois.

  
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gars d'ain gars d'ain
01/05/2021 11:00:44
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Procédures collectives

Solutions 30 : trois filiales du groupe en redressement judiciaire


Channelnews.fr | le 21-04-2021 par Johann Armand

https://www.channelnews.fr/solutions-30-trois-filiales-du-groupe-en-redressement-judiciaire-102971

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Notons que :


"L’information a de quoi surprendre. Alors que groupe Solutions 30 est coté en bourse, que son activité est en développement rapide (+19,4% en 2020 dont +14% en organique) et que sa situation financière est parfaitement saine (trésorerie de 152 M€ à fin juin 2020), trois de ses filiales, représentant au total environ 140 collaborateurs, font actuellement l’objet d’une procédure de redressement judiciaire. Il s’agit des sociétés Telima Infoservices (TIS), Telima Professional Services (TPS) et Telima Onsite (TOS).

Ces sociétés font partie de l’unité d’affaires du groupe dédiée au secteur IT. Elles réalisent via des techniciens itinérants des interventions sur site de maintenance ou de remise en service de matériels IT dans le cadre de contrats de maintien en condition opérationnelle. L’une de ces sociétés, Telima Professional Services, est issue de la reprise en 2017 par Solutions 30 de l’activité de support informatique de proximité de Fujitsu France.


« Ces trois sociétés sont en grande difficulté depuis des années, justifie Nathalie Boumendil, directrice de la communication du groupe. Elles évoluent sur un marché qui s’est fortement transformé ces dernières années. Lorsqu’un matériel tombe en panne, les clients demandent de plus en plus qu’on remplace leur matériel – et éventuellement qu’on le répare en atelier – et non plus qu’on le répare sur place. La mission des techniciens de terrain a donc changé. Cette prestation est moins rémunératrice. D’où les pertes d’exploitation récurrentes des sociétés qui les emploient ». De fait, les trois sociétés font des pertes conséquentes sur leur exercice 2019 (dernier publié), représentant jusqu’à 57% du chiffre d’affaires dans le cas de TPS. Sur son exercice 2020, Solutions 30 a constaté un recul de 12,5% de son activité IT en France.

Après les avoir « longtemps soutenues » et avoir entrepris « de nombreux efforts pour les pérenniser », Solutions 30 s’est donc résolu à placer ces trois entités sous la protection du tribunal de commerce début novembre dans le cadre d’une procédure de sauvegarde. Une procédure qui a été convertie en redressement judiciaire le 15 mars dernier.


« Pourquoi cette procédure collective, s’étonne un salarié de TPS ? Le groupe est boni et enregistre de confortables revenus. S’il s’agissait d’organiser un plan de sauvegarde de l’emploi, il n’était pas nécessaire d’enclencher une telle procédure au risque de faire supporter les indemnités de licenciement des salariés par la collectivité ». Le même salarié met en doute les motivations économiques de Solutions 30. « On nous dit qu’il y a moins d’interventions et qu’il n’y a plus d’argent. On pense que le chiffre d’affaires est en réalité toujours là mais qu’il est dispatché à d’autres entités du groupe. Lors du transfert de son activité support informatique de proximité à Solutions 30 mi-2017, Fujitsu s’était engagé à lui assurer plus de 50 M€ de contrats sur 5 ans, soit 10 M€ par an. »

Et de pousser son raisonnement : « À l’époque, Solutions 30 avait besoin de nous pour assurer la continuité des contrats Fujitsu. Nos salaires et nos âges élevés n’étaient soi-disant pas un problème. Le groupe nous reprenait pour nos compétences et notre savoir-faire. On devait incarner la valeur ajoutée du groupe. En réalité, on a formé des salariés d’autres entités du groupe sur nos contrats ainsi que des auto-entrepreneurs travaillant pour le groupe. Et maintenant, ils veulent se débarrasser de nous. »


Au cours de la procédure de sauvegarde, l’administrateur judiciaire a tenté d’améliorer la structure de bilan des trois sociétés en proposant des baisses de salaire dans le cadre d’un accord de performance collective. Une proposition refusée par près de 90% des salariés concernés chez TPS : les salaires proposés étaient juste au-dessus du Smic, soit autour de 1.500-1.600 € brut par mois, assortis d’un variable à définir, alors que la plupart gagnent actuellement entre 2.500 et 3.000 € brut par mois et ont 20 à 35 ans d’ancienneté.

Une nouvelle consultation relative à des réductions des salaire, organisée cette fois par la direction, a été lancée mi-avril. Le résultat sera connu début mai et sera débattu lors d’une nouvelle audience au tribunal fin mai.

Message complété le 01/05/2021 11:09:34 par son auteur.

Telima Infoservices (TIS)
https://www.societe.com/societe/telima-infoservices-751319724.html
CA 2019 : 4 496 900 €
résultat net = -2 018 700 €

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Telima Professional Services (TPS)
https://www.societe.com/societe/telima-professional-services-817501471.html
CA 2019 : 2 566 600 €
Résultat net : -1 464 700 €

-----------------------------------------------------

TELIMA ONSITE
https://www.societe.com/societe/telima-onsite-512929779.html
CA 2019 : 1 042 400 €
Résultat net : -995 000 €

  
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cool13 cool13
01/05/2021 10:33:03
0

Suite a mon post du 22/02/2021 17:25:42.
Non actionnaires, je confirme une vaste blague.

solution30.
Fonctionne exclusivement, avec de la sous-traitance, de la chair a canon.
Je voudrais croire aux sirènes du bonheur !
Donc, solution30, il serait bon, de bien grattée avants de se marié.
Solution30, semble êtres le partenaire majeur et privilégier pour les opérateur majeurs en Europe.
-
Enquête, 60 millions de consommateurs.
Fibre optique : le grand bazar des raccordements
Le chantier du déploiement de la fibre optique en France avance. Mais en bout de ligne, les problèmes rencontrés par les consommateurs se multiplient.

https://www.60millions-mag.com/2021/02/23/fibre-optique-le-grand-bazar-des-raccordements-18348
-
TF1, Journal de 20h00 du 30 avril 2021.
Reportage sur le grand Bazar e la fibre regarder de la 21 minutes 25 à 25 minutes10.
https://www.lci.fr/replay-tf1/video-le-20-heures-du-vendredi-30-avril-2021-2184901.html
-
Solution30.
Rejoignez le plus grand réseau européen de sous-traitants dans les nouvelles technologies et utilise avec les plus grands donneurs d'ordres!
Afin d'accompagner sa croissance et renforcer sa collaboration avec ses partenaires sous-traitants, Solutions30 a décidé de s'associer à la plateforme web MySupplace. Les objectifs de cette plateforme sont multiples: faciliter le référencement de votre société et vos échanges avec Solutions30 mais aussi vous donner accès régulièrement à des opportunités sur l'ensemble de nos activités.
Vous souhaitez nous rejoindre et faire partie de l'aventure Solutions30 en qualité de partenaire, inscrivez-vous (sur voir le site solution30).
-
Effectivement avis perso, et non représentatifs.

  
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gars d'ain gars d'ain
30/04/2021 19:54:05
2

Investir dans son numéro du 30 avril 2021 est à "Acheter" avec objectif de 16,00 euros.

"Après tous les tourments qu'a vécu le groupe ces derniers mois (attaques répétées d'investisseurs), il est bon de revenir à l'activité de la société. Et, encore une fois, elle est très prometteuse; nous restons donc à l'achat."


  
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mgtthuy mgtthuy
30/04/2021 14:55:57
2

merci pour le partage gars dain

je teste haussier sur le titre dans l'attente dune confirmation

  
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gars d'ain gars d'ain
30/04/2021 11:42:58
1

Le T1 / 2021 voit sa croissance tiré par les besoins croissants en télécommunications afin d'organiser au mieux le télétravail dans de nombreux pays...


Solutions 30 : Croissance de + 19,0% du chiffre d’affaires au 1er trimestre 2021

• Une dynamique commerciale et des tendances de marché très favorables

• Des perspectives de croissance rentable à deux chiffres confirmées


Communiqué de Presse [PDF] • 28 AVRIL 2021,18H00

https://www.solutions30.com/wp-content/uploads/2021/04/S30_CAT1-21-FR.pdf

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gars d'ain gars d'ain
30/04/2021 11:37:43
1

On notera concernant la publication des comptes 2020 un résultat en retrait de -5% malgré une forte croissance du CA annuel.

On privilégie au sein de l'entreprise la liquidité des créances par le biais de l'affacturage, ce qui a pour conséquence d'abaisser la rentabilité, l'affactureur prélèvent une part significative de la facture pour se rémunérer et verser le solde en trésorerie immédiate.


Notons donc que :

"Une structure financière solide, socle d’une croissance durable

Au 31 décembre 2020, les capitaux propres du Groupe s’élèvent à 172,4millions d'euros contre 134,5 millions d'euros au 31 décembre 2019. La trésorerie brute du Groupe atteint 159,3 millions d'euros, en progression de 75,1 millions d'euros par rapport à fin décembre 2019. La dette bancaire brute augmente de 12,9 millions d'euros par rapport au 31 décembre 2019, à 100,0 millions d'euros. Le Groupe affiche doncunetrésorerie nette de dette bancaire (hors IFRS16) de 59,2 millions d'euros à fin décembre 2020, contre une dette bancairenette (hors IFRS16) de 3,0 millions d'euros à fin décembre 2019.

En incluant 63,5 millions d'euros de dette locative (IFRS16) et 24,6 millions d'euros de dette financière potentielle liée aux compléments de prix et options d’achats futures, le Groupe affiche une dette nette totale de 28,9 millions d'euros, contre 92,1 millions d’euros un an plus tôt. L’encours des créances cédées dans le cadre du programme d’affacturage déconsolidant du Groupe s’élève à 93,5 millions d'euros au 31 décembre 2020 contre 54 millions d'euros à fin 2019.

Engagé sur une trajectoire de croissance particulièrement soutenue, SOLUTIONS 30 a déployé depuis 2018 un programme d’affacturage sans recours, donc déconsolidant, à l’ensemble de ses filiales pour financer le besoin en fonds de roulement provenant des activités récurrentes qui ont atteint leur rythme de croisière. Le recours à l’affacturage permet de libérer la trésorerie mobilisée par ces créances pour la consacrer au financement de la stratégie de croissance du Groupe, en particulier aux montées en charge des nouveaux contrats, moyennant un coût inférieur à 1% du montant des créances cédées.

La capacité d'autofinancement s’est établie à 91,5 millions d'eurosen 2020. La croissance soutenue du chiffre d’affairesa généré une croissance du besoin en fonds de roulement de 45 millions d'euros. Les investissements opérationnels nets s’établissent à 11,6 millions d'euros, soit 1,4%du chiffre d’affaires contre 2,0% un an plus tôt. Ils sont sur des niveaux normatifs, généralement entre 1,5 et 4% du chiffre d’affaires, et sont essentiellement liés aux systèmes d’information du Groupe et aux équipements techniques.

Le cash-flow disponible du groupe atteint donc 124,8 millions d'euros. Hors IFRS16, le cash-flow disponible atteint 101,3 millions d'euros, soit 12,4% du chiffre d’affaires du Groupe. "

  
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gars d'ain gars d'ain
30/04/2021 11:29:45
0

Solutions 30 : Résultats annuels 2020


Très bonne résistance des performances opérationnelles

• Croissance de 18% du chiffre d’affaires à 819,3 M€

• Marge d’EBITDA en progression, à 13,0%

• Trésorerie nette de dettes bancaires de 59,2 M€

• Résultat net part du Groupe à 36,9 M€ et - 5%


Accélération de la transformation du Groupe :

• Des bases renforcées pour consolider la croissance


Des perspectives de long terme confirmées

Un potentiel de croissance soutenu par la transformation numérique et la transition énergétique, et renforcé par les plans de relance européens

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Message complété le 30/04/2021 11:30:11 par son auteur.

Communiqué de presse [PDF] • 28 AVRIL 2021, 18H00
https://www.solutions30.com/wp-content/uploads/2021/04/S30_RA2020-FR.pdf

  
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cosmo2 cosmo2
23/04/2021 17:54:49
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Les recherches de Muddy Waters sont peut-être très appréciées, mais la plupart des gens n'attendent pas de les lire avant de faire la transaction. Les actions chutent immédiatement après que Block les a nommées - et parfois avant : Les traders à haute fréquence, ou algorithmes, parcourent constamment son site Web à la recherche d'un nouveau rapport de vente à découvert, et voient parfois même le nom sur l'URL avant qu'il ne devienne public, selon Block. En Europe, où la réglementation l'oblige à divulguer ses positions courtes, le simple fait de savoir qu'il était à découvert sur une action - Solutions 30 - a fait chuter celle-ci de 20 % en une journée. (Plus d'un an plus tard, Block a accusé la société de blanchiment d'argent potentiel et de liens avec la mafia sicilienne et le crime organisé en Europe de l'Est, ce qu'elle nie).


Calomniez ! Calomniez ! Il en restera bien quelque chose ! Les preuves ? Quelles preuves ? Inutiles les preuves ! La rumeur suffit dans un monde de crédules suiveurs

  
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gars d'ain gars d'ain
23/04/2021 17:39:46
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"La rage de Carson Block

Les courtiers de premier ordre ont refusé de faire des affaires avec lui, tout en donnant des milliards à Bill Hwang. Qui rit maintenant ?"


The Rage of Carson Block (traduit)

Institutionnel Investor | Par Michelle Cellérier | 19 avril 2021

https://www.institutionalinvestor.com/article/b1rgry7qgc7t9f/The-Rage-of-Carson-Block

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Un an avant que Carson Block ne lance Muddy Waters Capital, sa société de fonds spéculatifs, il a commencé à essayer de trouver un prime broker, une banque d'investissement qui pourrait lui prêter des actions pour qu'il puisse ensuite les vendre à découvert. Mais la tâche s'est avérée ardue.


Le problème, selon lui : Block s'était fait un nom en dénonçant les fraudes en Chine, et Wall Street adorait la Chine.


Après avoir essuyé le refus de plusieurs grandes banques, Block a décidé de tenter sa chance auprès du Jefferies Financial Group, une jeune entreprise en plein essor connue pour ses talents de négociateur. Muddy Waters, qui n'était alors qu'une société de recherche, était basée à San Francisco. Il a donc organisé un entretien avec le PDG de Jefferies, Rich Handler, lors de sa prochaine visite à New York.

Mais la rencontre dans le bureau de Handler, dans le centre-ville, l'a décontenancé.


Le PDG lui a dit : "Vous êtes fou", se souvient Block.

"Je pense que vous êtes accro à l'attention", a poursuivi Handler. Block est passé de l'obscurité à la célébrité en 2011 après qu'un rapport de recherche qu'il a rédigé a fait tomber Sino-Forest Corp, une société chinoise qu'il accusait d'être une fraude, et a terni la réputation de la légende milliardaire des fonds spéculatifs John Paulson, qui était l'un de ses investisseurs.


Depuis lors, Block était devenu une présence régulière sur CNBC et Bloomberg TV, où il s'en prenait à sa dernière cible à découvert.

Handler a conseillé à Block qu'il pouvait gagner plus d'argent avec moins d'angoisse.

"Compte tenu de votre situation actuelle, vous devriez également faire des opérations longues. Si vous voulez simplement être court, vous pouvez passer à la télévision et dire : "Oui, nous sommes longs sur XYZ, mais nous sommes également courts sur cette chose", et vous n'avez pas besoin de sortir et de dire que cette chose est une fraude", a expliqué Handler. "Il y a des façons beaucoup plus subtiles de le faire et vous pourriez construire une meilleure entreprise".


Qui plus est, selon le PDG, c'était moins dangereux. "Vous n'auriez pas tous ces types qui veulent vous planter des couteaux dans le dos, et vous ne vivriez pas comme vous le faites", a déclaré Handler, répondant aux histoires que Block lui racontait sur les menaces de mort qu'il avait reçues et ses inquiétudes en matière de sécurité.

Block était surpris que Handler soit si direct, mais il y a réfléchi.


"Est-ce que je fais cela parce que je suis accro à l'attention ? Ou ai-je une meilleure raison de le faire ?" s'est demandé Block, alors âgé de 38 ans, en sortant.

Block, aujourd'hui âgé de 44 ans, savait que Handler avait raison en ce qui concerne le modèle à suivre pour gagner de l'argent en tant que gestionnaire de fonds spéculatifs. (Handler n'a pas répondu à une demande de commentaire).


Être un vendeur à découvert activiste limiterait la quantité d'argent qu'il pourrait lever. Il ne deviendrait probablement pas milliardaire.

Block savait aussi qu'il pouvait prendre la marque Muddy Waters et s'engager sur une longue période. "Mais cela ne m'a jamais plu d'être vraiment cela", dit-il, racontant l'histoire à Institutional Investor dans une série de conversations couronnées par deux Zooms de trois heures dans lesquels il a discuté - entre autres choses - des démons qui l'ont poussé à devenir le vendeur à découvert le plus effronté et le plus profane de la planète aujourd'hui.

"Je ne suis pas un drogué de l'adrénaline", a-t-il décidé après avoir quitté le bureau de Handler. "Ce que je fais est très, très personnel pour moi".

Il ajoute : "J'aime baiser avec les gens."


Block a lancé sa société de fonds spéculatifs fin 2015 - avec Jefferies comme l'un de ses premiers prime brokers, il faut le noter. Depuis lors, le marché haussier long et implacable a forcé un certain nombre de détracteurs partageant les mêmes idées à cesser leurs activités et a diminué la fortune d'autres. Mais malgré une période sombre au cours de laquelle il a menacé de démissionner, le rythme régulier des poursuites judiciaires et deux enquêtes menées par des régulateurs européens, Block a survécu.


Aucune des poursuites ou des enquêtes n'a donné tort à Muddy Waters, tandis que huit des entreprises qu'il a dénoncées comme frauduleuses ont été radiées des bourses. Deux autres ont réglé les accusations avec les régulateurs.

Toutes les campagnes de vente à découvert de Block n'ont pas fonctionné, bien sûr. Pourtant, au cours des cinq dernières années, Muddy Waters a dégagé un rendement annualisé d'environ 19 %, après déduction des frais de gestion de 2,5 % et des frais de performance de 30 %. Il a gagné environ 15 % l'année dernière, alors que le marché au sens large a augmenté de 18,4 %. En 2021, Muddy Waters a déjà gagné près de 6 %.

Block a commencé par critiquer la Chine, mais son regard caustique s'est posé partout, puisqu'il s'est attaqué à des entreprises en Europe et aux États-Unis également. Il a des opinions sur tout, de l'ESG - dont il a tweeté qu'il s'agissait de "la paille de papier de l'investissement" parce qu'elle est "symbolique, pas substantielle" - aux SPAC : "Il y a tellement de merde de chien là-dedans", dit-il, les qualifiant de "jeu prédateur cynique sur les investisseurs de détail".


Articulé et passionné, Block va plus loin dans ses condamnations que la plupart des gens, allant même jusqu'à se lancer dans l'arène politique.

Par exemple, il s'en prend maintenant aux avocats du cabinet américain Cooley. Dans un tweet récemment épinglé sur le profil Twitter de son cabinet, M. Block affirme que ces avocats sont "complices de violations des droits de l'homme en Chine". Invoquant la délicatesse de la situation, il a refusé de discuter de l'affaire plus avant, sauf pour dire que "les Américains ne se soucient peut-être pas de la comptabilité, mais ils se soucient des droits de l'homme." (Les représentants de Cooley n'ont pas répondu à une demande de commentaire).


Comme le dit l'ancien journaliste de CNBC Herb Greenberg, l'un des premiers à avoir interviewé Block, "Carson fait ce qu'il fait avec beaucoup de détermination".

Block dirige une petite entreprise - ses actifs avoisinent aujourd'hui les 260 millions de dollars - mais son influence dépasse son poids. Il a ses détracteurs (bien que plusieurs d'entre eux aient refusé de faire des commentaires pour cette histoire), mais il est admiré par les gestionnaires de fonds spéculatifs milliardaires et les vendeurs à découvert activistes.


Par exemple, le PDG de Pershing Square Capital Management, Bill Ackman, a renoncé à la vente à découvert après sa bataille meurtrière contre Herbalife, affirmant que les "dommages au cerveau" n'en valaient pas la peine. Quant à Block, Ackman déclare : "Je suis un fan. Il fait d'excellentes recherches".

D'autres voient Block comme un modèle à suivre. "Je n'aurais pas fait carrière dans le militantisme si Carson n'avait pas ouvert la voie", déclare Nate Anderson, dont le cabinet Hindenburg Research s'est fait connaître l'année dernière pour son exposé explosif sur le fabricant de camions électriques Nikola Corp.


Selon M. Anderson, M. Block ne "s'amuse" pas seulement avec les gens. "Il aime dire la vérité au pouvoir. Il s'en prend aux personnes qui pratiquent l'escroquerie, aux équipes de direction véreuses et à ceux qui les soutiennent, qu'il s'agisse de banques d'investissement ou d'auditeurs qui gagnent de gros honoraires en détournant le regard."

Les recherches de Muddy Waters sont peut-être très appréciées, mais la plupart des gens n'attendent pas de les lire avant de faire la transaction. Les actions chutent immédiatement après que Block les a nommées - et parfois avant : Les traders à haute fréquence, ou algorithmes, parcourent constamment son site Web à la recherche d'un nouveau rapport de vente à découvert, et voient parfois même le nom sur l'URL avant qu'il ne devienne public, selon Block. En Europe, où la réglementation l'oblige à divulguer ses positions courtes, le simple fait de savoir qu'il était à découvert sur une action - Solutions 30 - a fait chuter celle-ci de 20 % en une journée. (Plus d'un an plus tard, Block a accusé la société de blanchiment d'argent potentiel et de liens avec la mafia sicilienne et le crime organisé en Europe de l'Est, ce qu'elle nie).


En 2020, cependant, les marchés se sont retournés avec véhémence contre Muddy Waters. Alors que le fonds spéculatif a terminé l'année en beauté, deux entreprises accusées par Block d'être des fraudes ont défié son analyse et se sont envolées : À la fin de l'année, les actions de GSX Techedu et de Nano-X Imaging avaient gagné respectivement 40 % et 58 % depuis la date des rapports de Muddy Waters, selon Breakout Point, qui suit les activistes à découvert.

Cela a commencé avec GSX, une société chinoise d'éducation en ligne. Dans un rapport publié le 18 mai, Muddy Waters a affirmé qu'au moins 70 % de ses utilisateurs étaient des bots, ce que GSX a démenti.

Muddy Waters était le troisième vendeur à découvert à critiquer la société, mais l'action n'a pratiquement pas bougé. Le jour du rapport de Block, elle a clôturé à 32,84 dollars dans un marché très actif, soit une baisse de 7 % par rapport à la clôture de la veille. Mais en août, il avait atteint 141,78 dollars, avant de revenir à 51,71 dollars à la fin de l'année.

"Je veux dire, les choses ont augmenté, mais celui-ci a triplé en quelques mois", dit-il.


Block n'étant pas du genre à abandonner, il a commencé à essayer de comprendre ce qui se passait. Était-ce le trading à haute fréquence ? Les flux passifs des fonds indiciels et des fonds négociés en bourse qui ont fait grimper le titre ?


Bien qu'il pense que les deux ont joué un rôle, Block a également appris l'été dernier par deux initiés du monde de l'investissement entre les États-Unis et la Chine que certains Tiger Cubs - dont Bill Hwang, qui dirigeait un family office appelé Archegos Capital Management depuis qu'il avait été condamné pour délit d'initié, et son protégé Tao Li, qui dirige le fonds spéculatif Teng Yue Partners - étaient à l'origine de la hausse. Hwang et Li ont utilisé des swaps à fort effet de levier pour dissimuler leurs positions. Un autre Tiger Cub, Tiger Global Management de Chase Coleman, était également l'un des principaux actionnaires de GSX.


Pendant ce temps, le fondateur de QQQ Capital Management, basé à Singapour, a admis dans un tweet maintenant supprimé qu'il essayait d'écraser les shorts en vendant des options de vente GSX.


"Tout le monde sait que GSX est une fraude", déclare Block. "Le problème, ce sont les acteurs des fonds spéculatifs qui ont décidé de presser les shorts".

Fin mars, l'action GSX a chuté, victime de la liquidation massive du portefeuille de Hwang, créant une bonne dose de schadenfreude chez Muddy Waters. Notamment, les grandes banques d'investissement, connues pour avoir accordé à Archegos un tel effet de levier, ont refusé de faire affaire avec Muddy Waters, selon Block.

Un refus a été opposé il y a quelques années par le Credit Suisse, dont le vendeur de prime brokerage avait appelé Block alors qu'il se trouvait à l'hôpital pour attendre la naissance de son premier enfant. C'était la première fois que j'entendais la phrase suivante : "Le comité de risque de réputation nous a refusé de faire affaire avec vous", se souvient-il.

(Le Credit Suisse, qui dit avoir perdu 4,7 milliards de dollars lors de la liquidation d'Archegos, était le principal souscripteur de l'introduction en bourse de GSX).


Muddy Waters est toujours à court de GSX, qui a maintenant perdu plus de 50 % cette année, bien qu'il se soit déchiré en janvier pendant la frénésie commerciale de GameStop Corp.

"C'était une époque bizarre", dit Block en secouant la tête. "Tout le monde s'attendait à ce que nous soyons morts".

Pourtant, il éprouve une certaine sympathie pour les investisseurs de détail de Reddit à l'origine de la vente à découvert de GameStop. "Nous sommes tous tellement en colère en ce moment", dit-il, faisant référence à la pandémie de Covid. "Ils voulaient juste casser quelque chose".

Block sait ce que ça fait.



  
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gars d'ain gars d'ain
22/04/2021 10:08:34
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Graphe récent : On reste coince dans le No Man's land entre les 2 fourchettes avec 2 triples creux à terminer et 2 triple top à matérialiser (dont un trop loin).

A très court terme, on devrait finir le petit triple creux aux alentours du niveau actuel, et il reste encore une autre possibilité de triple creux plus bas non dessiné en cercle orange vers 9,48, juste avant l'éventuel triple creux sous 9.

On attend la publication annuelle dans 6 jours et les chiffres ont donc intérêts à être à la hauteur...

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gars d'ain gars d'ain
22/04/2021 09:58:40
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Graphe ancien : On est coincé sous la dent intermédiaire en pointillés bleus.


On n'a pas réussi à la hausse à intégrer la zone de biseau latéralisante dont la dent intermédiaire haute en pointillé marron constitue une résistance importante : à 2 reprise, il fallu s'extraire au dessus par gap haussier. et on a sauté la zone à la baisse dernièrement.

On est également coincé sous le support haussier vert de reprise issu du plus bas de la VAD en décembre dernier.

Résultats annuels : J-6.

  
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gars d'ain gars d'ain
15/04/2021 14:17:30
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La hausse du jour à 11.2 € et + 3.70% tient plus du rebond technique que d'un quelconque effet de la lettre aux actionnaires.

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gars d'ain gars d'ain
14/04/2021 11:57:55
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Toujours dans le "No Mans' Land" entre les 2 fourchettes : Test de résistance raté de la MM 20 rouge à 11,05


Direction la MM 60 orange à 10,61.

Les indicateurs ont stabilisé le reflux baissier.

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