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Analyse de Petrole Brent (baril en $) - Page 11

Cours temps réel: 83,61  -0,08%



manuborelli manuborelli
20/12/2021 11:44:52
0

bonne nouvelle pour ma cuve à fioul.🥊👏😁

papy covid omicron fait de la résistance , il s’accroche à la balustrade. 📈👍

omicron président ✊🏆🥇

le 20/12/2021


  
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tirelire19 tirelire19
20/12/2021 10:35:40
0

Cours enregistré à 70.75 $

Pétrole en forte baisse conclusion en analyse Ichimoku le pétrole est passé baissier car

Lagging Span sous le cours et sous le nuage , cours sous tenkan et Kijun

Support à 68 $

  
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Ribo Ribo
18/12/2021 09:27:52
0

@Manu, tu n'as pas de jauge sur ta cuve ? La mienne est cassée car trop vieille (et en plastoc...), du coup j'ai un morceau de tube PVC qui me sert de jauge par la hauteur restante en cm multiplié par 17.6L (calculé grâce aux dimensions de la cuve). Attention car le prélèvement de la chaudière ne se fait jamais au fond de la cuve mais à quelques cm afin d'éviter de pomper de la crasse.

  
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manuborelli manuborelli
18/12/2021 09:01:25
0

je ne connaissais pas je vais regarder ça 👍

Message complété le 18/12/2021 09:16:25 par son auteur.

j’ai mis 759 litres je pensais qu’il manquait plus. 728.64€ 😩🥶💸💸💸💸

  
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Ribo Ribo
18/12/2021 07:41:07
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@Manu, je viens de faire une simulation (ma femme ne sait pas faire...),

pour 500L de Fuel Supérieur avec paiement en 1 fois, livré en PACA (84), c'est 0,991€ TTC le litre

pour 1000L mêmes conditions, c'est 0,941€ TTC/L

pour 2000L mêmes conditions, c'est 0,926€ TTC/L

il y a un service de commandes groupées (voisin, quartier, village), qui doit donner droit à une remise, mais en amont, car c'est un broker et il ne peut lancer l'appel d'offres auprès des fournisseurs (fin d'après-midi le vendredi) que lorsqu'il a le volume global de toutes les commandes localisées. Si t'es tout seul il n'y a pas de remise à attendre...

  
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Ribo Ribo
18/12/2021 07:08:15
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Pour les étalements le coût est de 1 cent par litre.

https://www.fioulmoinscher.fr/

  
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Luncyan Luncyan
18/12/2021 00:26:50
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Elle existe toujours cette option ?

  
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Ribo Ribo
17/12/2021 21:55:39
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J'espère que tu as pris l'option 'Paiement en 3 fois', avec l'inflation galopante il y a des sous à économiser !

  
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manuborelli manuborelli
17/12/2021 20:58:49
0

alors j’avais le choix les 500 litres à 1.02€ ou les 1000l à 0.96€

des marchands de tapis ✊🥊 6.25% de différence

  
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manuborelli manuborelli
17/12/2021 20:51:42
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Quoi de neuf docteur ? 📈📉📈📉📈📉📈

je viens d’aller voir sur prixdubaril 😎


le baril de brent 73.44$

euro dollar 1.1258$


73.44$/1.1258$/159= 0.410€ le litre


moyenne du prix des carburants en france (gazole). : 1.552€


pour passer de 0.410€ à 1.552€ à la pompe combien d’augmentation? 278.54% 🤔🤣👍🥊🥊🥊🥊


le 17/12/2021 vers 20h40 🤣👍



  
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tirelire19 tirelire19
17/12/2021 17:40:49
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Cours enregistré à 73.70 $
La Kijun bleu est plate à 75.61 $ stoppe tous les rebonds puisqu' elle est résistance majeure actuelle
Cercle noir : La Lagging Span verte rentre en collision avec le SSB du nuage , en tant qu' obstacle le pétrole va rebondir un temps , ce SSB est aussi le support majeur haussier du biseau .
Voyez ce que je veux dire , le pétrole est sorti à la baisse de son biseau puis a rebondi pour effectuer sion pull-back manque de chance la Kijun le renvoie vers le forage.
Si la Lagging Span passe sous le nuage , comme elle est actuellement sous le cours , faudra s' attendre à la poursuite baissière du pétrole .
Petit coup d' oeil à l' Awesome

  
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tirelire19 tirelire19
15/12/2021 15:27:50
0

Cours enregistré à 73.34 $
Regardez bien le travail de l' Ichimoku :
1 - la Lagging Span verte est sous le cours dans le nuage si elle vient à passer sous le nuage et çà ne devrait pas tarder avec la FED , le pétrole va accélérer à la baisse .
2 - le rebond du pétrole s' est arrêté , s' est écrasé contre le PLA DE KIJUN bleu situé à 75.61 $ pour être précis
3 - le cours du pétrole est sous le nuage
Conclusion : oui le prix des matières premières connaissent la décrue en cause les banques centrales qui vont siffler la fin de la partie ce que les marchés anticipent .
Le VORTEX VI- rouge indique la baisse

  
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Luncyan Luncyan
11/12/2021 11:41:41
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Non

  
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manuborelli manuborelli
08/12/2021 17:56:34
1

c’est reparti comme en 14 😩📈🥶

  
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Ribo Ribo
07/12/2021 22:28:57
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New York, (aw p/a fp) - 07/12/2021 | 21:54 ►Nouveau bond du pétrole, qui se libère de l'emprise d'Omicron

Les cours du pétrole ont enregistré mardi une seconde séance de forte hausse qui a de nouveau installé Brent et WTI au-delà de 70 dollars le baril, dans un marché qui ne croit plus à un effet significatif du variant Omicron sur l'économie mondiale.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février, coté à Londres, a bondi de 3,22%, pour finir à 75,44 dollars.

A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour le mois de janvier, contrat le plus échangé, a gagné 3,68% à 72,05 dollars.

Le WTI a progressé de plus de 5% en séance, avant de ralentir légèrement en clôture.

"D'après ce qu'on entend, le virus (Omicron) n'est pas aussi menaçant que d'autres variants (...), donc on ne s'attend pas à des confinements massifs", qui auraient pénalisé la demande de pétrole à court terme, a résumé James Williams, du cabinet WTRG Economics.

Il est "quasiment certain" que le variant Omicron n'est pas plus grave que Delta, a ainsi déclaré mardi à l'AFP le conseiller de la Maison Blanche sur la crise sanitaire, Anthony Fauci.

L'élan du brut a néanmoins été un peu coupé par des prises de bénéfices, mais aussi par la publication de nouvelles estimations de l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), qui table désormais sur un baril de Brent autour de 70,05 dollars en moyenne en 2022, contre 71,91 dans son rapport précédent, début novembre.

Quant au WTI, l'agence voit le baril désormais à 66,42 dollars contre 68,28 précédemment.

Pour l'EIA, en 2022, "la croissance de la production de l'Opep+, des Etats-Unis et de pays non membres de l'Opep dépassera la demande, qui ralentit, en particulier à la lumière de l'inquiétude accrue quant aux variants du Covid-19".

L'organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés de l'accord Opep+ se sont pour l'instant tenus à leur calendrier de relèvement mensuel de la production de 400.000 barils par jour.

A court terme, de nombreux opérateurs s'attendent néanmoins à un nouveau coup de chaud. Avant la séquence qui a vu les Etats-Unis puiser dans ses réserves stratégiques, l'apparition d'Omicron et l'Opep+ relever sa production pour janvier, "beaucoup pensaient à 100 dollars" le baril, rappelle James Williams. "Je pense qu'il n'en est plus question. Mais nous pourrions aller au-delà de 80 dollars" d'ici à la fin de l'année, avance l'analyste.

"Le marché est mûr pour monter encore car les niveaux de production sont faibles du fait du manque d'investissements dans de nouveaux puits", a abondé, dans une note, Edward Moya, d'Oanda. "Le président (américain Joe Biden) a peut-être célébré un peu vite la petite baisse du prix de l'essence", poursuit-il, évoquant, lui aussi, un baril à 80 dollars "si le froid revient" dans l'hémisphère nord.

  
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Ribo Ribo
03/12/2021 23:17:41
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New York, (a w p/a f p) - 03/12/2021 | 22:01 ►le pétrole en ordre dispersé à l'issue d'une semaine très volatile

Les prix du pétrole ont terminé en ordre dispersé vendredi, au lendemain d'un sommet des producteurs de l'Opep+ et dans le sillage de la chute du marché boursier.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a avancé de 0,30% à 69,88 dollars.

À New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour le mois de janvier a lâché 0,36% à 66,26 dollars.

Témoins de la forte volatilité des marchés ces derniers jours, les deux contrats grimpaient de plus de 2% plus tôt en séance. Sur la semaine, le Brent a perdu 3,01 % et le WTI a lâché 4,14%.

"Il y a une volatilité accrue sur le marché du pétrole mais également sur les marchés en général, en raison des incertitudes sur le nouveau variant Omicron, sur notre position dans le cycle économique et sur le déroulement du resserrement monétaire potentiel", a résumé à l'A F P Matt Smith, responsable de l'analyse pétrole pour le fournisseur de données spécialisées dans les matières premières Kpler.

La semaine mouvementée a été marquée par un sommet jeudi des producteurs de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de leurs alliés via l'accord Opep+.

Les pays de l'Opep+ emmenés par l'Arabie saoudite et la Russie ont décidé à l'occasion de cette réunion à huis clos, tenue en visioconférence, de continuer d'augmenter leur production en janvier de 400.000 barils par jour.

"Cette décision inattendue suggère que le groupe n'est pas gêné par la récente chute des prix du pétrole", déclenchée par la menace sur la demande que fait planer le nouveau variant de Covid-19, "ni par la perspective d'une libération des réserves stratégiques de brut" par plusieurs pays consommateurs, États-Unis en tête, commente l'analyste de PVM Stephen Brennock.

Certains analystes s'attendaient au contraire à ce que le cartel mette sa politique sur pause et vise en janvier une production identique à décembre.

Les pays producteurs "ont donné confiance au marché en continuant d'accroître leur production car ils voient toujours une solide demande, ce qui est positif", a noté Matt Smith.

L'analyste relevait toutefois que l'Opep+ s'est gardé le droit "d'ajuster leur attitude" avant la prochaine réunion du cartel "s'il y a un impact du variant sur l'économie", a ajouté l'expert.

L'Opep+ se réserve en effet le droit de revoir sa décision "en fonction des développements de la pandémie" d'ici à la prochaine réunion, prévue le 4 janvier, a précisé son communiqué.

Washington, qui avait appelé à plusieurs reprises le cartel à desserrer le robinet d'or noir afin de calmer la flambée des prix, s'est d'ailleurs "félicité" jeudi de la décision de poursuivre l'augmentation de la production.

  
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Ribo Ribo
03/12/2021 05:45:31
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Les Etats-Unis moins tentés de puiser dans leurs réserves ?

[..] l'irruption du variant Omicron, le 25 novembre, dans le paysage de la pandémie de Covid, a fait brutalement décrocher le baril de brut de plus de 20% en quelques jours, ce que l'annonce du déblocage des réserves US n'était pas parvenu à réaliser... Il n'est désormais plus certain que Washington et ses alliés (dont la Chine et l'Inde) puisent dans leurs réserves, après ce brusque ajustement des prix.

Ainsi, David Turk, le vice-secrétaire américain à l'Energie, a déclaré que l'administration Biden pourrait ajuster le calendrier du déblocage des réserves stratégiques de pétrole du pays si les prix chutent considérablement. Washington et d'autres grands pays consommateurs réclamait depuis des semaines au cartel d'ouvrir davantage les vannes pour freiner l'inflation.

Les cours du pétrole avaient grimpé de plus de 65% depuis début janvier avant leur récente correction (+39% désormais pour le WTI).

  
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Ribo Ribo
03/12/2021 05:08:37
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New York (a wp /a fp) - 02/12/2021 | 22:03 ►Hypervolatil après la décision de l'Opep+, le pétrole repart de l'avant

Les cours du brut ont eu droit à un tour de montagnes russes jeudi : en hausse en amont de la réunion de l'Opep+, ils ont fortement chuté à l'annonce d'une augmentation de la production en janvier par le cartel avant de revenir dans le vert.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a gagné 1,16% à 69,67 dollars.
À New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour le mois de janvier a avancé de 1,41% à 66,50 dollars.

Les cours ont glissé de 16% à 20% en dessous de leur récent sommet du 9 novembre, autour de 84 dollars le baril, avec l'apparition du variant Omicron et l'annonce de la Maison Blanche d'un prélèvement sur les réserves stratégiques.

Le temps fort de la journée a incontestablement été jeudi le sommet des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de leurs alliés via l'accord Opep+.

Le groupe de producteurs emmené par l'Arabie saoudite et la Russie a décidé d'augmenter en janvier sa cible d'offre conjointe de 400.000 barils par jour, comme il le fait chaque mois depuis juillet 2021.

Les investisseurs s'attendaient au contraire à un gel des augmentations du fait de la détection du nouveau variant du Covid-19, menace pour la demande d'or noir.

Dans un marché très volatil depuis la fin de la semaine dernière, les cours ont donc temporairement plongé de près de 5%.

Les deux contrats de référence de part et d'autre de l'Atlantique ont alors touché respectivement 65,72 dollars et 62,43 dollars, des plus bas depuis le 23 août, alors qu'ils gagnaient près de 3% en début de journée.

"Le marché est extrêmement volatil. Il essaye de trouver un équilibre avec très peu d'informations car il y a beaucoup d'incertitudes quant à l'impact du variant sur la demande", a indiqué Andrew Lebow, de Commodity Research Group.

Il estime que, même si certains analystes misaient sur une pause de l'Opep+ dans l'augmentation de sa production, le marché avait anticipé dans l'ensemble que le groupe des pays producteurs maintiendrait le cap d'une hausse de 400.000 b/j au moins en janvier.

"Il y a eu un mouvement de +vendre sur la rumeur-acheter sur la nouvelle", a poursuivi le spécialiste, expliquant que les cours du brut avaient chuté considérablement depuis trois semaines.

Avant le sommet, "je n'ai jamais entendu les ministres de l'Arabie saoudite et de la Russie, qui ont une influence surdimensionnée au sein du groupe à cause du volume de leur production, indiquer qu'ils n'allaient pas accroître la production". "Si vous écoutez ce qu'ils disent, c'est ce qui va se passer", a résumé l'analyste.

Il estime, en termes politiques, que l'Arabie Saoudite a pu écouter les appels de l'administration Biden "à au moins ne pas réduire la production". "Je suis sûr qu'ils avaient beaucoup de pression et c'est probablement un bon geste politique de leur part", a souligné M. Lebow.

Pour Benjamin Louvet, analyste chez OFI AM, "malgré les hausses de production de l'organisation déjà actées pour les mois passés, les pays producteurs peinent à faire repartir leurs volumes d'extraction".

"On pourrait donc au final constater dans les semaines à venir que même si le seuil de production a été relevé, il n'est pas en réalité atteint par les pays producteurs", reprend-il auprès de l'A F P.

A moyen terme, les spécialistes de JPMorgan Commodities, qui publiaient leurs perspectives jeudi lors d'une conférence téléphonique, prévoyaient que la demande mondiale de pétrole dépasserait celle de 2019 en mars prochain et que le prix moyen du pétrole atteindrait 88 dollars le baril en 2022 et 83 dollars en 2023.

JPMorgan Commodities n'envisageait par ailleurs qu'avec "une très faible probabilité un accord avec l'Iran en 2022", alors que des discussions se tiennent à Vienne.

L'Iran a fait deux propositions sur une levée des sanctions au troisième jour des discussions pour un accord sur son programme nucléaire.

De leur côté, les Etats-Unis ne sont pas très optimistes, mais "il n'est pas trop tard" pour parvenir à un accord, a déclaré le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken.

  
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Ribo Ribo
01/12/2021 22:52:41
1

Baisse à nouveau ce soir :

Brent 68.74
WTI 65.455

  
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manuborelli manuborelli
01/12/2021 17:56:19
0

fausse nouvelle: omicron ne se présente pas.

le brent est soulagé 😩🥶

  
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Forum de discussion Petrole Brent (baril en $)

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